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Fontaine, je ne boirai pas de ton eau

Publié par : estak le 01/01/2025
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J’ai rencontré Louna grâce à nouslibertins en 2018. Elle venait de s’inscrire, mon gentil message lui avait donné envie de me répondre. La cinquantaine, divorcée.
Sa photo de profil était très soft, une vue plongeante sur un décolleté raisonnablement rempli. Ce qui m’avait attiré était la texture de sa peau. Elle semblait satinée et sans doute était-elle un régal à caresser.
Nous échangeâmes nos numéros assez rapidement et nous nous appelâmes. Elle avait une jolie voix d’alto, légèrement voilée et terriblement excitante. Elle accepta tout aussi rapidement de m’envoyer une photo de ses seins : pas gros, joliment dessinés et ronds, des tétons presque noirs dus à ses origines berbères sans doute.
Je lui avais dit que j’étais marié et pas disponible au pied levé, cela avait semblé la refroidir un peu. Elle se montra distante dans ses réponses. Mais je persistais et bien m’en prit.
Un dimanche après-midi en hiver, seul à la maison. Ma femme était sortie avec ses cousines pour jouer au loto. Je lui fis un SMS demandant de ses nouvelles et si elle était disponible pour qu’on se voie. Elle me répondit de suite, me disant qu’elle avait eu une grosse soirée, qu’elle était fatiguée et qu’elle avait mal au dos.
J’insistai et lui dis que je pouvais la masser pour la détendre. Elle ne me répondit pas pendant dix minutes, puis un SMS. Son adresse ! Je lui répondis que j’arrivai dans 30 mn. Lavage rapide de la queue et des dents, et me voilà parti pour Gardanne.
Je me garai près de chez elle et sonnai à la porte de son immeuble. Elle répondit de suite et je montai au premier étage d’un immeuble vieillot mais propre. Elle m’ouvrit la porte quand je tapai et je la découvris pour la première (et dernière) fois.
Elle était grande, 1m74, cheveux de jais bouclé, des lunettes d’intello, pommettes hautes et saillantes, des dents éclatantes. Elle portait une sorte de gandoura blanche et était pieds nus. Par contre, elle paraissait vraiment fatiguée, des cernes entouraient ses beaux yeux noirs. Elle me fit entrer et me proposa un café que j’acceptai. On s’assit dans sa cuisine et elle fit couler deux espressos. Elle s’écroula sur une chaise.
- Grosse soirée, lui demandai-je ?
- Oui, avec un mec de nouslib. Je suis rentrée tôt ce matin.
- J’espère que tu as pris du plaisir ?
- Oui, c’était pas mal.
Elle était un peu distante, presque sur la défensive. Je lui proposai de la masser pour la détendre. Elle eut un petit sourire et se leva péniblement. Elle posa la tasse dans l’évier, passa devant moi et me prit par la main.
- Viens.
Je me levai et la suivis dans sa chambre qui sentait bon. Elle fit passer sa gandoura par-dessus tête et se retrouva nue. Elle avait de jolies fesses qui semblaient fermes, des hanches bien dessinées. Elle s’allongea sur le ventre, la tête sur le côté gauche regardant par la fenêtre, ses bras au-dessus de sa tête. Je me dessapai et me retrouvai nu également. Je passai à califourchon sur ses fesses, et pris la bouteille d’huile de massage posée sur la table de nuit. Mon zob reposait entre ses fesses, déjà tendu par la douceur de sa peau.
Je versai de l’huile dans ma main et la posai dans le creux de ses reins. Elle sursauta, sans doute la froideur de mes mains, puis se détendit. Je la massai délicatement, points de compression dans ses reins douloureux, massages lents, un peu d’huile à nouveau, effleurements de ses seins. Sa peau avait une texture extraordinaire, satinée. Elle m’électrisait. Je faisais courir mes mains le long de son dos, sur ses épaules, sur ses reins. Je descendis sur ses cuisses pour avoir accès à ses fesses que je me mis à malaxer tendrement. Sa respiration était profonde et calme, entrecoupée de soupirs où plaisir et soulagement se mêlaient.
Mes deux mains à plat descendirent le long de sa colonne vertébrale. Arrivant sur ses fesses, elles s’écartèrent pour les caresser tendrement en rond, puis mes pouces épousèrent sa raie culière. Je fis ce mouvement plusieurs fois, et au bout du troisième, elle souleva légèrement son cul quand je l’atteignis. Y voyant une invitation, j’écartais doucement ses fesses et plongeais ma langue sur sa raie. Elle sentait bon, je titillai son œillet qui palpita de plaisir.
Je me levai et écartant ses fesses, je mis ma tête dans son cul, le dégustant à pleine bouche. Elle se mit à quatre pattes pour m’y donner un meilleur accès, le bombant bien. Je léchai ses fesses, ma langue s’électrisait au contact de sa peau. Ah ! sa peau me donnait le tournis, je m’accroupis pour avoir accès à sa chatte qu’elle avait épilée en laissant un ticket de métro. Je me tordis le cou pour la laper mais la position étant inconfortable, je me relevai et la fis basculer sur le dos. Je pus enfin voir ses tétons d’un rouge sombre de ses jolis seins ronds.
Je remis de l’huile sur mes mains, l’enfourchai et pétris ses seins de mes mains huilées. Je flattai et titillai ses tétons, les faisant rouler entre mes doigts ; ils commençaient à durcir. Les yeux fermés, perdue dans son plaisir, ses lèvres entrouvertes exhalaient des soupirs d’aise. Je me remis debout et continuai à masser son ventre, ses seins, effleurant son sexe sans m’y attarder. Elle fléchit ses jambes et les écarta impudiquement. J’eus une vue plongeante sur son antre, et j’en profitai pour frôler son bourgeon de mon majeur. Elle sursauta.
Je me penchai et embrassai sa grotte à pleine bouche. Elle avait un goût divin et mouillait beaucoup. Je dois vous dire qu’une femme qui a un sexe qui a bon goût, ça me rend raide dingue. Je peux passer de très longues minutes à le déguster, de très longues minutes oui. Ce que je fis, la fouillant de ma langue, la lapant, titillant son clito turgescent. J’en eus mal aux ...

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