HUGO – 1
Lorsqu’Hugo est arrivé à l’hôpital, il était dans un mauvais état. Il était tellement faible, qu’il avait perdu beaucoup d’autonomie. Il ne mangeait quasiment pas, il ne faisait que dormir. Les infirmières et médecins s’occupaient de sa maladie, tandis que les aides-soignants se chargeaient de lui faire sa toilette souvent sur son lit. C’est là qu’il a compris qu’il fallait laisser sa pudeur dehors.
Les aides-soignants le lavaient de partout avec un gant de toilette, même les parties intimes qu’ils appelaient « la petite toilette ». Ils n’hésitaient pas à le décalotter alors que son prépuce était très enflammé. Cela lui faisait mal, mais ne disait rien.
Les traitements ayants fait effet bien qu’il n’ait pas retrouvé complètement son autonomie, il fut transféré dans une maison de convalescence, La chambre était spacieuse, avec salle de bain privée.
Il découvrait de nouvelles têtes. Il y avait toujours plus de femmes, et seulement deux hommes comme aides-soignants, un jeune et un plus âgé. La règle était la même qu’à l’hôpital, ce sont les aides-soignants qui se chargeaient de la toilette.
Il y avait un roulement selon leur planning.
Au fur et à mesure des semaines, la relation avec le personnel devenait plus conviviale, il appelait l’aide-soignant d’une quarantaine d’année par son prénom. Son état de santé s’améliorait. Bien qu’il devienne un peu plus autonome, il ne pouvait pas faire sa toilette seul à cause d’un manque d’équilibre. Le jeune et les femmes aides-soignants lui demandèrent de faire sa « petite toilette », alors que le quadragénaire prenait un grand soin à laver son sexe, le décalottant à fond et bien nettoyer le gland et les testicules. Hugo n’a pas fait de remarque appréciant sa prestation.
Les progrès firent qu’Hugo pouvait rester assis quelques heures sur un fauteuil, se mettre debout avec l’aide d’aides-soignants. Le premier agréable moment fut quand Hugo pris une douche avec une aide. Le même scénario pour la « petite toilette ». Avec certains il la faisait lui-même, Thomas, le quadra, faisait la toilette complète, passant entre les fesses jusqu’à atteindre les boules, puis revenait sur le sexe d’Hugo.
Hugo progressait un peu plus chaque jour. L’équilibre revenait doucement, avec l’aide d’une personne. Hugo pouvait faire sa toilette encore assis. Les aides-soignants se contentaient de lui laver le dos et les fesses.
Je ne sais pas si les soins de Thomas y étaient pour quelques choses, mais un matin il s’est réveillé avec une belle érection. Il était des plus heureux de voir que sa libido revenait.
Les aides-soignants avaient un roulement. Ce n’était pas toujours les même. Maintenant qu’Hugo avait retrouvé les sensations agréables d’être en érection, il regrettait de ne pas voir plus souvent le quadragénaire.
Dans ses progrès, Hugo pouvait se tenir debout ce qui était très chouette pour la douche, bien que les aides-soignants devaient toujours lui laver le dos et rester proche, soit dans la chambre, ou dans la salle de bain en cas de chute d’Hugo.
Tous après avoir lavé de dos d’Hugo allaient dans la chambre et revenaient pour l’essuyer, sauf le quadragénaire qui après lui avoir lavé le dos et toujours les fesses très attentionné sur le sexe qui commençait à gonfler et les boules d’Hugo, restait dans la salle de bain pour nettoyer le lavabo et le miroir. En regardant vers le miroir, il vit que le quadragénaire avait les yeux fixés sur le miroir les détourna rapidement pour revenir à sa tâche.
Un matin, Hugo était face au miroir. Il s’aperçu que le miroir permettait de voir celui qui se douchait – peut-être pour la sécurité pensa-t-il ! -, mais l’attitude du quadragénaire lui fit penser qu’il le matait. Il décida de lui en montrer plus la prochaine fois.
Lors de la douche avec le quadragénaire comme assistant, lorsqu’il lui lavait le dos, Hugo écarta les jambes comme une autorisation au quadragénaire d’en faire plus. Il ne se fit pas prier. La main du quadragénaire glissa entre les jambes d’Hugo, saisit les testicules les tira doucement vers le bas en regardant le prépuce découvrir lentement le gland. Il lui dit doucement à l’oreille que si quelqu’un frappait à la porte – ce qui était obligatoire – il devrait se retourner vers le mur -. Une fois du savon bien étalé, le quadragénaire se mit face à Hugo qui continuait sa toilette devant le quadragénaire. A regarder Hugo qui se savonnait, levant les bras, pour laver ses aisselles, le torse en se titillant les tétons, revenant sur son entre jambes, le quadragénaire bougeait ses mains dans les poches de son pantalon. Hugo se doutait qu’il se tripotait en voyant le spectacle qu’il lui offrait, toujours le sexe au garde au vous.
Les toilettes d’Hugo étaient mornes lorsque ce n’était pas le quadragénaire qui la faisait. Il le prévenait lorsqu’il n’était pas dans le service. Hugo alors se branlait avant sa toilette pour calmer ses ardeurs, réserver son excitation pour son aide-soignant préféré.
Hugo était joyeux lorsque le quadragénaire franchit la porte de sa chambre. La toilette s’annonçait agréable. Une fois tout nu, Hugo se glissa sous le jet chaud de la douche. Le quadragénaire lui lava le dos et les fesses. Hu ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur