J’avais accueilli en Provence l’été passé une amie de longue date qui venait de se faire quitter par son mari. Elle n’avait pas le moral pour organiser des vacances, je lui ai offert de passer quelque temps dans un mas que j’avais restauré au fil des années. Elle s’installe donc chez moi début juillet avec son fils de 17-18 ans, également ébranlé par la fuite du père.
Je les ai laissés vivre leurs vacances, parfois nous étions ensemble pour le dîner ou le barbecue ou pour une baignade dans la piscine mais je les laissais le plus souvent seuls. Personnellement je passais mes journées nu au bord d’une rivière des collines pour mes jeux et plaisirs.
Un soir tard, je reviens au mas avec un copain rencontré au bord de la rivière. On se met nu au bord de la piscine, on se suce, on se branle… le copain finit par éjaculer une énorme salve et rentre chez lui. Il est passé 1 h du matin.
Je reste dehors sur une chaise longue, nu, la bite encore dure. J’ai une grosse envie de baiser. J’entends un bruit, un froissement d’herbe ou de feuilles, je me retourne et je vois dans la pénombre le fils de mon amie, debout à quelques mètres de moi. Il est en boxer, torse nu et je devine dans la pénombre une grosse bosse dans son caleçon. Il nous a évidemment matés… Je lui souris et me lève, la queue inexorablement tendue et m’avance doucement vers lui. « Tu nous as regardés ? » - Oui, souffle-t-il. « ça t’a plu, on dirait ? » lui dis-je en souriant vers le renflement de son boxer. Il souffle à nouveau un « oui » intimidé… J’approche ma main de son short et effleure sa bite, que je sens bien dure sous le tissu. Du coup ma queue se dresse à la verticale. Impossible de cacher ses envies, c’est ce que j’aime dans le nudisme.
Je m’agenouille devant lui et baisse son boxer pour en sortir une jolie bite fine et dure avec un long prépuce, dont le gland émerge à moitié. Je le prends en bouche pour le décalotter avec les lèvres, il sent le rut et le sperme. Je lui aspire le gland entre les lèvres et lui glisse une main sous les couilles, qui sont dure et pleines. Je passe ma langue sous son gland, sur le frein, le long de la tige, sur les couilles… puis je le reprends en bouche en lui excitant les couilles avec les ongles. J’ai envie de son foutre, il m’excite. Je lui pompe le gland sans retenue et lui malaxe les boules lorsqu’il me lâche soudain en plusieurs jets interminables un foutre épais et amer au fond de la gorge… je le garde en bouche pour le vider complètement.
Après nos premiers jeux dehors, nous sommes entrés à pas de loup dans la maison. Je n’aurais pas aimé être surpris par sa mère, nu avec une trique d’enfer aux côtés de son fils également nu et encore en érection… J’ai immédiatement disparu dans ma chambre en lui chuchotant bonne nuit.
Une fois au lit, je n’ai évidemment pas pu dormir. Ma bite ne débandait pas. J’ai dû finalement m’assoupir et c’est un léger bruit qui m’a réveillé. J’ai distingué dans la pénombre la silhouette du jeune homme qui se glissait dans ma chambre.
Tu dors, m’a-t-il soufflé ? Plus vraiment, ai-je répondu, que t’arrive-t-il ?
Je suis trop excité, je ne parviens pas à m’endormir, je repense à tout à l’heure et je bande.
Je tends la main dans l’obscurité et effleure sa bite dure et chaude. Je l’attire vers mon lit et reprends sa queue en bouche en lui malaxant les boules. Il est beaucoup plus détendu que tout à l’heure et sous l’effet de ma bouche sur sa queue, ses hanches font maintenant des mouvements copulatoires très suggestifs qui m’excitent.
J’abandonne sa queue pour me coucher sur le dos et lui dis de se mettre à cheval sur mon visage, face à ma queue, comme pour un 69. Dans la pénombre je redresse ma tête pour aller à la rencontre de ses couilles et de sa raie, qui sont à quelques centimètre au-dessus de moi… Avec mes mains sur ses hanches, je lui imprime un léger mouvement pour qu’il descende encore plus vers mon visage. Mon nez et ma langue effleurent ses couilles dures et pleines et remontent vers sa raie du cul. Le parfum sauvage à forte dominante de sperme est magique et je sens ma propre queue durcir sans complexe.
Ma langue se glisse dans sa raie profonde et cherche son chemin vers le trou… chaque parcelle du sillon est explorée et effleurée jusqu’à ce que ma langue parvienne sur le renflement doux de son anus. Il doit apprécier car il s’est littéralement empalé sur ma langue et mon nez et je perçois des mouvements saccadés réguliers qui m’indiquent qu’il est en train de masturber sa queue.
Sachant moi-même combien c’est bon, je laisse ma langue parcourir et brosser son sillon pendant de longues minutes. Puis ma langue redescend sur ses couilles odorantes, à la recherche de sa tige… Sa bite est joliment dure et le bout de son gland sort cochonnement du prépuce. Il est déjà très mouillé, il sent l ...
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