Comme beaucoup de mes amies, j'adore que l'on me regarde, et lorsque je sors en ville, habillée plutôt BCBG, j'adore détailler les passants croisés, soutenir leurs regards sans baisser les yeux, et surtout sentir qu'eux me regardent, en se demandant quelle part de mystère recouvre mon apparence féminine...
Cette propension à l'exhibition, je la cultive aussi dans des tas d'endroits publics où je m'offre – parfois de façon très provocante – aux regards des hommes rencontrés.
Mais il y a un « jeu » qui me procure de fantastiques sensations, et qui consiste à m'exhiber en voiture (à l'arrêt ou en roulant) pour d'autres automobilistes.
Je m'habille d'abord de dessous sexy particulièrement excitants : corset avec porte-jaretelles de satin noir, bas dentelles de même couleur, mini-culotte de voile noir bordée d'une légère dentelle rose... Pas de jupe ni de chemisier, juste un foulard de soie panthère noué autour de mon cou, puis j'enfile sur le tout un manteau de fourrure si l'on est en hiver, ou un imperméable en skaï noir si l'on est en été. Mes gants, mon sac, et je file au garage prendre ma voiture.
Engagée sur le périphérique parisien, je réusis à me mettre à la hauteur d'un poids lourd qui circule sur la voie de droite. J'entrouve ma fourrure, dégage mon toit ouvrant transparent et allume mon plafonnier en roulant à sa hauteur. Je surprends son regard, ses gestes pour attirer mon attention, puis ses appels de phares lorsque j'accélère pour le doubler...et rejoindre un autre poids lourd que je longe lentement, mon corps et mes dessous de soie noire exposés à ses regards...
Je fais ce manège pendant plus d'une heure, m'excitant à chaque fois que des appels de phares ou un coup de klaxon saluent mon exhibition. Une excitation inouïe, le plaisir de découvrir les regards de ces hommes inconnus. J'imagine leur trouble, leur envie de me toucher, de me caresser...
Et tout commença lorsqu'un soir, porte de Charenton, près du bois de Vincennes, je suis sortie du périphérique, entraînant un camion à ma suite. J'eus envie de le semer, ce qui aurait été facile, mais je réussis à me persuader que j'avais envie de pousser le jeu un peu plus loin...
Je me suis arrêtée dans un coin tranquille derrière le château de Vincennes, et j'ai attendu, le coeur battant, que le camion s'immobilise derrière ma voiture.
C'était un homme d'environ trente-cinq ans, avec un beau visage d'adolescent. Il s'approcha timidement de ma voiture, et s'arrêta à la hauteur de ma vitre, que j'avais légèrement entrebaillée.
Je me souviens de lui avoir dit « -Vous pouvez regarder, c'est tout » puis, écartant alors les deux pans de mon manteau, je lui montrai que je ne portais qu'un petit bustier de satin. Il s'était approché du pare-brise et plongeai son regard sur mes cuisses que j'entrouvris légèrement. Il me regardait tandis que je glissais deux doigts sous l'élastique de ma culotte pour caresser mon petit sexe replié sous le voile noir de ma culotte. Il me regardait, et n'eût pas un geste lorsque j'extirpai ma petite colonne de chair du voile noir pour le caresser lentement...
L'excitation me gagnait, et il me manquait quelques caresses et des doigts pour pétrir mes tétons percés... J'ai dégagé mes seins du bustier et pris la pointe de l'un de mes seins tandis de l'autre main, je continuais le mouvement sur ma h ...

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