Ce matin de juin, je rentrais d'une semaine de congés. J'arrivais à la bourre, Nicole était déjà à son poste au standard.
Un mois s'était passé depuis notre premier baiser puis, dans la foulée notre première partie de baise.
Nous nous rencontrions 2 à 3 fois par semaine, pendant midi, chez moi. Au travail elle m'évitait " c'est trop risqué, et tu, et je, ne sais pas m'arrêter quand tu me caresses ", elle avait raison mais nos parties du midi devenaient des routines, où je prenais certes mon pied, et vu comment elle inondait mon drap, elle aussi, mais ça manquait de piment.
De plus elle me refusait son petit trou, qui pourtant s'ouvrait à mon index quand je la faisais jouir avec ma langue.
Ce matin là, assis à côté d'elle une jeune et jolie brune.
"Je vous présente Karine, la fille de notre magasinier, elle est en BTS attachée de direction et effectue 2 mois de stage chez nous. Il faudra s'en occuper pendant mon absence."
Nicole avait à peine fini sa phrase que je la reprenais " je pense que vous vouliez dire l'occuper, s'en occuper est différent " j'éclatais de rire en même temps que la stagiaire qui me semblait, à première vue, vu sa réaction, émancipée...
Vexée Nicole ajouta de suite " Méfies toi de lui c'est un célibataire ", " Depuis une semaine, moi aussi ajouta Karine."
Le regard noir de Nicole qui suivit me conseillait de ne rien ajouter, il signifiait " ne la ramènes plus sinon..."
5 minutes plus tard, elle profitait que je sois seul dans mon bureau pour venir me le confirmer de vive voix, mais en chuchotant tout en restant à 2 mètres " si tu la touches, tu ne me vois plus. D'ailleurs je ne viendrais pas ce midi."
" Ok je vois que je ne t'ai pas manqué pendant mes congés."
J'étais célibataire, je n'avais pas baiser depuis 10 jours, et j'avais le droit à une scène par une femme mariée...nous allions jouer.
Le midi, elle ne vint pas. Je revenais au bureau, elle sourît sans me regarder, je m'adressait donc à la stagiaire " Karine, le vendredi après-midi, Nicole ne travaille pas, nous regarderons à ton sujet de rapport de stage." " D'accord, dès ce vendredi ?"
" bien sûr, ne perdons pas de temps, tu n'es là que 2 mois"
Les 3 jours suivant j'étais en déplacement.
Le vendredi matin, l'interphone sonne vers 7h alors que j'étais sous la douche. " c'est moi ouvres vite"
Nicole me laissa à peine le temps d'entrouvrir la porte que sa bouche prenait la mienne d'assaut.
"Petit salaud tu m'as énervé, mais je ne vais pas te laisser bosser avec cette gamine les couilles pleines."
Elle n'avait pas de soutif sous un chemisier transparent, quels s ...

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