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Jeux interdits

Publié par : virgile30 le 09/12/2020

Jeux interdits

Adèle va donc rentrer au bercail après que nous ayons l'un et l'autre bien profité de cette parenthèse dans notre vie de couple et donné libre cours à nos envies les plus extrêmes.
Je l'ai toujours plus dans le coeur et la peau : plus jeune que moi de 20 ans, mince, brune, un visage d'ange, une poitrine superbe et une abondante touffe bouclée au haut de ses cuisses longues et bronzées.
C'est donc le jour de son retour et pour rendre meilleures encore nos retrouvailles elle prend un avion beaucoup plus tôt que celui prévu et arrive à l'improviste chez nous.
Elle sonne, elle est là derrière la porte, splendide, nous nous jetons dans les bras l'un de l'autre. Elle me dit son impatience, je lui prouve la mienne. Elle est en tenue de voyage, robe stricte, manteau, à peine maquillée mais je sens en enlaçant son corps que, fine mouche, elle a dissimulé la surprise qu'elle me destine. Pas de soutien-gorge, pas de string, seul le relief d'un porte-jarretelles sous sa robe et la douceur soyeuse de ses bas. Elle est nue ou presque et provocante pour mon plaisir et mon désir. Je voudrais la déshabiller au débotté comme un soudard tant j'ai envie d'elle. Elle pose un doigt sur mes lèvres et me chuchote qu'il faut prendre son temps, qu'il faut laisser le désir s'affiner et que nos retrouvailles méritent mieux qu'une chevauchée sauvage.
Elle se dresse donc devant moi, orgueilleusement, et sans m'y aider me laisse lentement, précautionneusement, retirer son manteau pour libérer sa robe qui laissent nues ses épaules. Je fais glisser les bretelles de la robe et, peu à peu, en retenant le tissu léger, je découvre ses seins majestueux qu'elle fait saillir en cambrant légèrement ses reins. Ses aréoles larges et brunes s'épanouissent autour de tétons érigés et fermes. Je jouis tout mon soûl du spectacle. Puis plus lentement encore j'accompagne la chute de sa robe qui montre son ventre blanc, puis son pubis renflé sous le buisson d'épines le plus doux du monde, puis la naissance de son sexe ombré et fendu d'un trait rose puis la blancheur crémeuse de ses cuisses si parfaitement rondes au dessus du liseré de dentelle de ses bas noirs. Je presse ma bouche sur son ventre, je lèche amoureusement son nombril. Enfin elle tressaille, elle se cambre, elle saisit ma tête entre ses mains pour l'enfoncer davantage dans la chaleur de sa chair odorante. Nous n'y tenons plus et, enlacés, mesurant nos pas car il faut dit-elle laisser le désir faire pleinement son oeuvre, nous gagnons notre lit. Envahi d'amour, ensorcelé, hypnotisé, je me couche sur le dos, je l'admire, je l'attends, je l'appelle. Elle me chevauche, je lui lèche la chatte, je mordille son clitoris, petit sexe épais et dressé, je m'affaire : elle me jouit dans la bouche, elle m'inonde de son liquide, je la bois délicieusement puis elle enfourne mon sexe, bref nous faisons l'amour comme des amants et non comme des époux, jusqu'à l'épuisement de nos désirs et de nos forces.
Je respire ses odeurs magiques, je m'enduis de ses humeurs subtiles, je pars en quête des endroits secrets de son corps, de sa raie sombre et ourlée à l'endroit de sa rosette, des espaces tendres et serrés entre ses orteils, de ses aisselles parfumées et du creux de sa nuque chaude.


22

La nuit venue, nous nous parlons, embrassés dans la chaleur et l'odeur de notre fornication. Nous nous disons ce que nous n'avions jamais osé nous dire : elle sait que j'ai vécu des aventures avec des hommes et avec des transsexuelles, elle a comme moi envie de partager un partenaire de notre choix commun, elle sait que je désire cela et elle me dit qu'elle aimera aussi. Je ne bande plus aussi fermement et longuement qu'autrefois, elle par contre est encore chaude et pleine de désirs : sa chatte a besoin de jouissance, elle me le dit, j'ai envie de la voir baiser devant moi, je le lui dis. Nous sommes tout excités de ces aveux et je lui promets d'organiser cela très vite.

Dès le lendemain je me mets en quête sur un site coquin d'un partenaire qui nous satisferait tous les deux et qui cherche à partager des moments chauds avec un couple. Je fais une première sélection et finalement nous choisissons un certain Alain, la cinquantaine sportive, cheveux poivre et sel, bel homme grand et musclé doté, semble-t-il, d'un sexe impressionnant et... bisexuel ce qui ne me déplaît pas. Je dialogue avec lui, nous nous téléphonons, rendez-vous est pris pour le dimanche suivant.

Tout excité à l'idée de cette rencontre, je me précipite pour acquérir dans un magasin de lingerie féminine, une panoplie de sous-vêtements à faire bander un saint : bas-jarretieres noirs et fins, string minimaliste orné de strass, nuisette courte et transparente, soutien-gorge noir à balconnets. Et pour compléter la tenue, une mini-jupe ras la touffe et un petit haut qui ne cachera rien de son opulente poitrine. Je lui offre tout cela à mon retour et nous amusons à faire des essayages, Elle est terriblement provocante dans cette tenue sexy, elle s'effeuille devant moi pour laisser jaillir ses seins lourds aux pointes épaisses hors des balconnets de son soutien-gorge ; son string pénètre dans sa fente et laisse se hérisser librement les poils drus de ses grosses lèvres... elle marche en ondulant des hanches sur ses hauts talons qui mettent en valeur le galbe de ses jambes fines gainées de soie noire ; son maquillage est un peu outré pour accompagner sa tenue provocante.

Elle a le visage presque grave et me regarde avec des yeux de pute, c'est follement excitant. Je saisis mon appareil photo, elle prend des poses, cuisses écartées sur le canapé, nichons dressés entre ses mains, à genoux montrant ses fesses et sa raie où se niche le string, string ôté et jambe droite levée appuyée sur une chaise de face pour bien exposer sa fente poilue et sa fleur rose qui s'épanouit entre ses grosses lèvres gonflées. Elle expose sans pudeur son gros clitoris qui bande d'excitation puis se retournant me laisse photographier l'orifice sombre de son cul qui s'ouvre au creux de sa raie ourlée de poils noirs et drus.

Je mitraille ses poses, sexe sorti de ma braguette et envahi d'un désir pervers.

C'est pour demain...


23
Le dimanche nous déjeunons de bonne heure et nous allons nous préparer, Marie dans sa tenue sexy et moi chemise et pantalon légers, sans slip, et mocassins sans chaussettes. Nous sommes l'un et l'autre douchés et parfumés. Elle a même ajouté une discrète touche de Guerlain sur sa chatte.
Nous frémissons d'impatience, elle s'assoit sur la canapé du salon, sa minijupe retroussée sur ses cuisses, on voit sa chair au dessus des bas et on aperçoit presque sa touffe. Ses gros seins tendent son petit haut et l'on voit la forme de ses pointes... notre attente est fiévreuse.
Enfin on sonne, je vais ouvrir, c'est Alain. Il est grand et aussi beau que je l'espérais, lui aussi en habits légers. On s'embrasse furtivement et je le conduis au salon pour lui présenter Adèle. Visiblement ils se plaisent. Il s'assoit sur le canapé à côté d'elle. Je me place sur un autre siège puis je vais faire le sercice d'usage pour les invités : café, petits fours et quelques mignardises sucrées. C'est une situation insolité. Adèle est vêtue, si je puis dire, de façon si sexy et provocante que ni notre partenaire ni moi ne peuvent penser à autre chose que d'entreprendre des joutes amoureuses, pensée tellement attisée par l'invitation que je lui ai faite de venir faire l'amour à ma femme devant moi. C'est donc par simple convenance malgré la perversité de l'intention que nous devisons, sachant qu'Adèle est impatiente et que sa tenue elle-même excite ses sens. Les cafés sont vite bus, les gourmandises à peine entamées, les banalités sur le temps et la médiiocrité de la société vite oubliées. Je prends l'initiative et je passe derrière le dossier du canapé : doucement, tendrement, sans préambule, je fais glisser le petit haut d'Adèle qui apparaît en jolie combine transparente et si courte, tendue par ses seins nus aux pointes érigées qui se dressent au dessus des balconnets... Je fais prestement glisser les fines bretelles de soie noire et le léger vêtement tombe sur sa taille dénudant d'un coup les deux nichons magnifiques qui s'exhibent fièrement aux yeux d'Alain, fermes, lourds, dressés, couronnés de leurs larges aréoles brunes d'ou pointent deux grosses tétines épaisses, longues et dures. Le spectacle est affolant. Adèle écarte les cuisses faisant ainsi remonter sa jupette qui dévoile le string enfoncé dans sa chatte... Alain se penche vers elle pour embrasser et titiller ses seins avec sa langue tout en ouvrant sa braguette, elle saisit la grosse queue qui gonflait le pantalon, l'extirpe d'un coup et la laisse se déployer, aussi énorme et majestueuse que nous l'attendions, longue, épaisse et dure avec un gland sculpté et gonflé qui la couronne.
J'embrasse fiévreusement Adèle tandis que la bouche de notre invité descend vers son sexe. Il se met à genoux entre ses cuisses, remonte la minijupe jusqu'à la taille, écarte le string de la chatte et plonge avidement sa bouche entre les lèvres gonflées pour faire une politesse à son méat niché entre les ailes du papillon qui haubannent son clitoris puis sucer d'un ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Bisexuel, A plusieurs