________________________________________
Cette histoire se passe dans la maison au bord de la mer dont mon père m’a laissée les clefs avant de partir en vacances .
Ma cousine que je fréquente régulièrement me demande si elle peut venir avec moi. Je ne lui avais pas proposé car c’est une fêtarde sans limite.
Je lui dis oui, mais par contre pas de soirée alcoolisé avec des inconnus, ni de sortie dans des bars ou boîtes de nuit, car je veux passer quelques jours sans histoires.
Elle me dit t’inquiète pas je ne vais pas mettre en péril ta vie de Mr casanier.
Ma cousine s’appelle Sandra 23, elle est mince plutôt jolie elle est casse-pied sans être méchante c’est pour ça que je l’adore.
Et moi j’ai 26 ans un physique normal, plutôt sportif donc je me trouve assez beau gosse.
C’est l’été, il fait très chaud impossible de mettre un pied dehors.
Arrivée à la maison, elle me raconte sa vie, son voyage, etc.
Elle décide de prendre une douche et de se mettre en maillot de bain pour aller faire quelques brasses dans la piscine.
Pendant ce temps je décide d’aller terminer mon rapport d’étude, ce qui me prend 1h30.
Un fois terminé, je retourne la voir au bord de la piscine. Au moment où j’entre sur la terrasse elle sort de l’eau avec élégance et se secoue les cheveux avec un charme que j’avais jamais remarqué chez elle, je suis resté là debout sans dire un mot en la fixant.
Elle a juste gardé le bas de maillot de bain qui laisse apparaître les lèvres de son minou. Elle est seins nus avec de jolis tétons que je vois pour la première fois, si mignons que j’ai envie de les caresser.
Elle se sèche en remarquant mon regard et me dit:
— Bah quoi, t’as jamais vu des seins?
— Arrête tes bêtises, tu veux boire quelque chose?
— Oui, un jus d’orange ou autre, ce que tu as.
Je commence à avoir une érection très visible je pense. Et oui, mince elle l’a remarqué. J’en suis encore plus gêné en retournant dans la maison.
Le temps de me calmer, je lui prépare un plateau avec sa boisson et quelques gâteaux.
Quand je reviens, elle est allongée sur le transat avec ses lunettes de soleil, toujours seins nus et son bas de maillot ridiculement petit. Il faisait tellement chaud qu’elle est déjà sèche. Elle affiche un grand sourire quand je pose le plateau à côté d’elle.
En me relevant j’en profite pour regarder avec envie le corps magnifique de ma cousine.
— Tu me mets de la crème solaire sur le dos ?
— Heu… oui si tu veux.
Je commence à étaler la crème sur son dos tout en dévorant des yeux ses fesses rebondies qui paraissaient si fermes.
Je commence à bander tellement dur que je me demande comment je vais me relever sans que ça se remarque: vu que je suis en short, torse nu ça aller être difficile.
Elle se retourne et j’essaie de ne pas regarder ses seins mais c’est trop dur. Elle me dit:
— Sur les bras maintenant. Allez obéis, esclave!
— Tu abuses, tu peux le faire toi-même.
— J’appelle ton père et je lui dis que tu es désagréable avec moi?
— OK, après je file, j’ai des trucs à faire.
— Dépêche-toi, esclave.
— M’appelle pas comme ça, ce n’est pas sympa.
— Tais-toi et obéis à ta maîtresse!
J’arrête de lui répondre car ça en finirait plus.
Je commence à passer la crème sur ses bras, je caresse ses mains, et je bande dur, très dur.
— Sur mon ventre aussi, esclave!
Je le fais sans discuter en espérant qu’elle me demande de lui en mettre sur les seins, je les regarde, puis sa bouche avec son joli sourire. Elle sait qu’elle m’excite.
Je monte tout doucement et le touche ses seins. Comme elle ne réagit pas, je les prends à pleine main et pince légèrement ses tétons entre mon pouce et mon index.
PAFFF!!
Je ressens un sifflement dans l’oreille avant de comprendre qu’elle m’a giflé. J’étais tellement perdu dans mes pensées, en train de fantasmer sur elle, que je ne réalise pas que je viens de me faire gifler.
— As-tu reçu l’ordre de me toucher les seins, esclave?
— Heu, non.
PAFF!! Une deuxième gifle.
— Tu dois dire ’’maîtresse’’ à chaque fin de phrase. Tu as compris?
— Oui… maîtresse.
— Va chercher une paille pour ma boisson, esclave.
— Oui maîtresse.
Je retourne à la maison. Que s’est-il passé? Je me fais dominer par ma cousine, mais j’avoue que ça plaît, même si j’ai du mal à comprendre comment on en est arrivé là.
Je suis en train de chercher une paille activement pour ma cousine quand je reçois un SMS d’elle
’’Coucou mon cousin chéri, je souhaite jouer avec toi. Je veux que tu sois mon esclave sexuel et que tu obéisses sans discuter à mes ordres. Si tu acceptes, je veux que tu sois nu quand tu reviens. Si tu veux arrêter tu me le dit tout simplement.’’
Après avoir trouvé une paille pour ma maîtresse, je me mets nu pour la rejoindre.
J’ai certainement une drôle d’allure pour la rejoindre, une paille dans la main et ma queue qui pointe dur en avant, comme la première fois que j’ai fait l’amour avec la femme de mon père.
— Voila votre paille, maitresse.
Elle éclate de rire et me dit:
— Tu fais quoi? C’était une blague voyons! Je pense que je suis allée trop loin cette fois.
— Mais… le SMS? (couvert de honte, je cache mon sexe)
— Oooh, arrête, soit pas stupide! Quand je te charrie, d’habitude tu me dis: arrête tes bêtises, c’est quand tu vas grandir?
— Pauvre conne…
Je repars en courants avec les larmes aux yeux, car je viens de m’humilier tout seul devant ma cousine.
Elle me court après et me rattrape dans le salon, me tire sur le bras. Je me débats et elle me retourne violemment contre le mur.
Je me retrouve face à elle prêt à pleurer. Elle a l’air triste, vraiment triste de m’avoir mis dans cet état.
Elle me prend dans ses bras et s’excuse:
— Je suis désolée, je ne pensais pas que ça irait si loin, ni te faire autant de peine.
— C’est de ma faute.
— Non c’est moi, je n’ai pas été gentille avec toi. T’inquiète, ça restera entre nous.
— Merci.
Je monte dans ma chambre je me rhabille et reste enfermé quelques heures. Pendant ce temps la nuit est déjà tombée.
Toc toc toc.
— Je peux entrer mon cousin chéri?
— Oui.
Elle porte maintenant un débardeur blanc serré et je vois ses jolie tétons à travers. Elle a en bas un joli short rouge très serré qui lui moule bien son minou. Je crois deviner qu’elle n’a pas de culotte dessous.
Je la regarde rapidement, mais elle a compris que je suis attiré par elle car elle m’a fait un petit sourire.
Je suis allongé sur le lit, elle s’assoit à côté de moi.
— Ça va mieux mon cousin chéri?
— A ton avis ?
— Fais-moi de la place, s’il te plaît.
Elle s’allonge à côté de moi.
— Je m’excuse encore une fois de ce que je t’ai fait. Je t’ai toujours taquiné, fait les pires vacheries, mais là j’ai dépassé les limites, j ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur