Nous sommes le dimanche suivant mon dépucelage, comme promis à mon initiateur je retourne à l’Atomic.
Panique, à l’entrée le caissier est pointilleux : « tu as quel âge ? » 18 ans lui dis-je avec une assurance qui me surprend, il sourit et me donne mon ticket. Une foi dans la salle, je m’installe dans une rangée déserte. Je veux voir si les mecs vont venir rapidement, je porte un jean taille basse blanc très fin, je n’ai pas de slip et le jean me moule très bien les fesses et la bite, j’ai aussi un tee shirt blanc un peu court, j’ai le ventre à l’air. C’est moins mouvementé que la semaine dernière, je décide d’aller faire un tour aux toilettes. Je me lève en me caressant les fesses et me dirige vers la porte et descend vers les chiottes, contrairement à l’autre foi il n’y a personne sur le chemin. En bas, à l’entrée des toilettes un vieux attend, les cabines sont libres je rentre dans l’une d’elles et laisse la porte légèrement entrebâillée. Je sors ma queue et commence à me branler, j’aperçois le vieux qui me regarde faire et ça m’excite, je continue en baissant franchement mon jean, le vieux à l’œil hagard la bouche ouverte et il se branle, il ne veut pas entrer mais me fait signe de continuer, le regard de ce mec sur moi m’excite terriblement. Le vieux finit par éjaculer, l’air satisfait, il me fait un petit signe et s’en va. Je me rhabille et sort.
Je décide d’attendre en bas à l’entrée des chiottes, je suis appuyé contre le mur, le ventre en avant, mon jean moule vraiment bien ma queue. J’entends quelqu’un descendre, je guette son arrivée, c’est mon c’est mon initiateur. Il vient vers moi : « tu es venu, c'est bien ! On va s'amuser. » Il me prend par la taille, me pousse devant lui avec une main au cul, je sens ses doigts se glisser entre mes fesses, je me trémousse. Il me fait tourner sur moi-même me regarde de haut en bas : « Il est bien ton jean, il ne cache rien, tu vas faire des ravages. » Il déboutonne mon pantalon, écarte les pans de façon à ce qu’on devine ma queue, puis il remonte un peu mon tee shirt, j’ai le ventre dégagé.
« Voilà, c’est parfait, tu es bien en blanc on te voit de loin. Vient on remonte, quand on va s’installer tu passes devant les mecs, tourné vers eux, tu laisses faire mais ne t’arrêtes pas. »
On remonte, il me fait passer devant lui. On croise deux gars qui me déshabillent littéralement des yeux. Je pénètre dans la salle, il me pousse devant lui et me montre la rangée du fond, il y a deux places tout au fond.
Je passe devant les types installés là, le premier me pose la main sur le ventre et descend vers ma queue, comme je ne m’arrête pas il tire sur mon jean qui descend un peu, j’ai presque la queue à l’air. Le suivant fini de la sortir, comme je ne m’arrête toujours pas il finit de me baisser le froc, le dernier qui a bien vu le manège me glisse la main entre les cuisses et tire pour me faire asseoir à côté de lui.
Mon pote vient s’assoir de l’autre côté, il rigole et finit de baisser mon pantalon puis il sort sa bite et me demande de le branler avec la main droite, de cette façon je suis obligé de tourner le dos à mon autre voisin qui s’empresse de me peloter les fesses, les cuisses, il arrive jusqu’à ma bite. Il a des grosses mains rugueuses, j’aime bien la sensation je le laisse faire pendant que mon mentor me tire vers lui pour que je le suce, ce que je m’empresse de faire ce qui m’oblige à offrir mon cul aux grosses mains rugueuses qui s’en accommodent très bien. Les gros doigts cherchent à me pénétrer, comme c’est sec il me crache sur le cul et me mouille bien la rondelle, un doigt me pénètre profondément, va et vient puis est suivi du deuxième et du troisième doigt et il s’applique à bien me travailler pour que je m’ouvre bien. Pendant ce temps mon pote me tient fermement la tête et m’enfonce sa queue dans la gorge, je le sens durcir et d’un coup il explose dans ma bouche j’avale son foutre et lèche longuement cette merveilleuse bite. Il me fait relever.
« Vient on descend, ils vont suivre. »
Je me lève malgré les protestations de mon voisin. Je remonte mon jean sans le fermer et me dirige vers les toilettes, suivi par mon pote.
Arrivé en bas il me pousse vers la dernière cabine « fout-toi à poils » je m’exécute pendant qu’il me regarde, j’aime ce regard sur moi.
« Viens par-là »
Je ne veux pas, je n’ose pas. Il m’attrape par le bras me tire vers lui, me gifle violement
« Tu fais ce que je te dis, compris »
Il me prend par le cou et me tire en dehors de la cabine. Il y a quatre mecs dont celui qui m’a ouvert le cul avec ses gros doigts.
« Il est giron, non ? je vous l’offre, baiser le bien et il s’écarte.
« Je fais le guet dépêchez-vous »
Les mecs se précipitent, m’empoignent me retournent, les gros doigts me pénètre sans douceurs, me travaille le cul jusqu’à ce qu’il puisse mettre quatre doigts, j’ai mal mais je bande et ça leur plait l’un d’eux me force à me pencher et me fourre sa queue dans la bouche pendant qu’un mandrin énorme me défonce, je gémis ce qui les excite encore plus. Celui que je suçais me crache dans la bouche un sperme amer, ça me va. L’autre qui me baisait me fait mettre à genoux, me tient la tête en arrière et m’asperge de foutre pendant que les deux derniers se branlent et m’inonde à leur tour. Tout le monde se barre et mon initiateur revient : « qu’est-ce qu’ils t’ont mis, ça t’a plu ? » Il me tend un paquet de kleenex en se marrant « essuie toi, tu en veux encore, ça se voit »
« Quelqu’un arrive met toi dans la cabine et ne ferme pas la porte »
J’entends mon pote dire : « il y a une petite fiotte dans la cabine qui n’attends que ça »
Un vieux black ouvre la porte et me regarde avec envie, je m’agenouille devant lui, ouvre sa braguette et sort un engin imposant, j’ai du mal à la mettre dans ma bouche mais je la lèche du mieux que je peux. Il me relève et me plaque contre le mur et m’encule doucement commence un va et vient très agréable, très profond. Mon pote regarde tout en se paluchant. Le black passe ses bras sous mes aisselles et croise ses doigts derrière ma nuque, il se penche en arrière j’ai les pieds qui touche à peine le sol à grand coup de reins il me défonce sans aucune retenue et je bande, à chaque coup de reins ma queue se dresse un peu plus.
« Plus fort, je viens ! oui plus fort !!!»
Mon pote rentre dans la cabine et se met à me gifler la queue à la cadence du black, je sens le plaisir monter, monter mais le black jouit avant moi, se retire dit merci et s’ ...
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