Ce récit a été noté : 3.8 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
L'Arabe à la camionnette

Publié par : bilaurent7829 le 21/07/2020

Enfin les grandes vacances ! Ma première année au lycée s’est plutôt bien passée. Côté sexe, par contre, ce fut le calme plat…hormis les branlettes quotidiennes qui ont été nourries de mes expériences de l’été dernier au camping de mon oncle. Trop timide et timoré pour tenter quoique ce soit avec des mecs du lycée, la peur d’être repéré et de subir les moqueries, tout cela m’a conduit à attendre les grandes vacances dans l’espoir de vivre de nouvelles aventures.
Ce premier week-end de juillet, je suis seul à l’appart. A l’époque point d’internet pour trouver un mec, et je ne connais pas de lieu de rencontres. Le dimanche, je décide de déjeuner à la cafétéria du Géant Casino, ouverte alors que le magasin est fermé, comme les autres commerces de ce grand centre commercial. Au menu steak haché frites. Je m’installe dans la partie la plus calme.
Alors que j’ai déjà bien entamé mon repas, un mec vient s’installer de l’autre côté de l’allée, presque face à moi. Vu les places libres, son choix n’est pas dû au hasard, et la manière dont il me regarde me le confirme. C’est un arabe, je dirai de 25 ans à peu près. Plutôt baraqué, et très viril, son sourire qui m’est adressé me plonge immédiatement dans un état second. J’ai le cœur qui bat à tout rompre, et du coup je n’ai plus goût à finir mes frites ! J’ai du mal à soutenir son regard, mais je sens qu’il a perçu mon trouble, et cela l’encourage à me mater sans aucune retenue. Je me sens maintenant la proie d’un mec qui veut me baiser. Ne suis-je pas venu un peu pour ça ? C’est souvent la même histoire, on veut quelque chose et quand on est sur le point de l’obtenir…on a envie de partir sur les chapeaux de roues. J’arrive à lui décrocher un sourire afin de donner le change. Ça y est la connexion est faite, il a compris que je suis à lui…je commence à bander…
Il se lève le premier pour poser son plateau tout en me faisant signe de le suivre. J’emboite le pas le plus discrètement possible. Nous sommes maintenant, à distance l’un de l’autre, dans la galerie marchande qui est presque déserte. Il prend la rampe qui mène au rez-de-chaussée, là où se trouve le parking couvert. J’hésite…et puis je me raisonne pour me donner du courage. J’attends depuis un an de me faire défoncer le cul, et j’ai là un mec qui est certainement apte à me combler. On dit que les arabes ont de grosses queues. En plus, il est bien plus proche de mon âge que ceux qui m’ont initié l’été dernier, çà devrait être une autre expérience. Il m’a attendu en bas de la rampe. Il est tout sourire et je le trouve vraiment beau et sympa. Je suis conquis et la suite me donnera raison.
Amir, c’est son prénom, travaille actuellement sur un gros chantier en bâtiment. Le dimanche, seul jour de repos, il est plutôt désœuvré car là où il loge il ne peut guère se divertir. Ma rencontre est un vrai rayon de soleil, et il ne tari pas d’éloges à mon encontre. Je ne suis évidemment pas insensible à tous ses compliments, même si j’ai conscience qu’il en rajoute un peu. N’est-ce pas le jeu de la séduction ?
Nous sommes tous les deux parfaitement conscients de la raison pour laquelle nous sommes en train de discuter. Je lui indique être puceau (j’ai l’intuition que c’est toujours très excitant pour un mec de se faire un jeune puceau), alors que ce n’est plus le cas. Il en est ravi et me promet d’être un professeur très attentionné. Il m’indique la camionnette de chantier qu’il utilise dans laquelle il y a moyen de prendre ses aises pour une bonne partie de jambes en l’air. J’ai de nouveau un peu peur, il le sens, et il me rassure en me montrant que la cabine de conduite communique directement avec la partie arrière. C’est une camionnette qui semble avoir bien vécue et qui a fait l’objet de pas mal d’aménagements. Ce n’est pas le confort de la caravane de l’été dernier, mais ce n’est pas pire qu’une cabine de douche de camping ! En plus l’intérieur est bien dégagé et il y a une chauffeuse, certes pas très récente, mais semble-t-il plutôt propre. Après avoir déplié cette chauffeuse qui sera le champ de tir, Amir se colle à moi et commence à me tâter. Je bande comme un malade et lui aussi, sauf que la bosse dans son pantalon n’a rien à voir avec la mienne.
Nus en un rien de temps, nous sommes prêts pour mon initiation. Quel beau mec…et quelle queue ! Je n’en reviens pas. Elle fait, d’après Amir, 20X5. C’est très gros pour une première sodo, et il me montre un tube de gel qui devrait, selon ses dire, grandement facilité les choses. Je n’en doute pas, mais quand même…çà promet d’être hard ! J’ai la trouille et en même temps ça m’excite grave. A genou devant cette queue, je commence ma suce. Il me trouve très doué pour un puceau… Je lui dis que j’ai vu des films pornos et que je mets maintenant en pratique ce que j’ai vu. Avec ses propres conseils je m’applique à faire courir mes lèvres et ma langue sur toute la longueur de ce chibre. Le gland est un vrai délice, je le suce avec délicatesse, en faisant tournoyer ma langue autour. Il adore et me complimente pour ma performance. Alors que je le pompe goulument, il entreprend de s’occuper de ma rondelle. Le gel étalé sur son index, il commence le travail de dilatation de mon orifice anal. Tout cela est fait avec douceur, et je tortille du cul pour lui signifier mon envie. Le signal est bien reçu et je sens maintenant ses deux doigts bien enfoncés et actifs dans mon ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : En partie vraie, Gay, Sodomie, Maghrebin(s)