Je me souvenais de ses paroles « tu peux crier tout ce que tu voudras, personne ne va t'entendre » je répétais le phrase.
- non, non je veux une bite s’il vous plait je veux une bite.
Il caressait mon cul avec la cravache
- mieux que ça mon chou
je repétais encore en mettant le plus d’envie possible dans ma phrase. La cravache claqua violement contre le canapé. J’étais affolé, je criais la phrase paniqué, deux fois, trois fois, je suppliais, je pleurais.
- Continue ! !
Je ressentit une brûlure sur une cuisse, bien que supportable, je me mis à hurler et à supplier de plus belle, même brûlure sur l’autre cuisse, je ne savais plus ce que je disais, je réclamais des bites, disais que j’étais une putain, que je voulais être baisé, le tout ponctué de s’il vous plais, de maître je suis à vous.
Apparemment c’était ce qu’il attendait car il tapota mon cul avec le manche de la cravache puis me l’introduisit, et entrepris de me calmer: Il mit l’autre main sur mon visage et me pinça le nez, et me donna ses doigts à sucer, ce que je me mis à faire en gémissant. Je sentais le manche de la cravache aller et venir dans mon cul, ce qui me semblait à cet instant, la sensation qui me procurait le plus de plaisir depuis que j’étais monté dans la voiture en début d’après midi. Il retira ses doigts de ma bouche sans arrêter le va et viens dans mes fesses.
- C’est bon la ?
- Ho oui, oui
- Qu’est ce qu’on dit ?
- Merci, ho merci Maître.
- Bien ! et qu’est que t‘es ?
- Votre putain maître
- Et qu’est ce que je peux faire d’une putain ?
- Ce que vous voudrez maître, je ferais tout ce que vous voudrez, tout, tout.
- De quoi est ce qu’a besoin le plus une putain comme toi ?
- De bites maître.
Le manche de la cravache s’arreta dans mon cul.
- De bites ? ça serai pas plutôt des coups qu’il te faut pour te dresser ?
Ho non, ça n’allait pas recommencer, je me pinçais les lèvres, mais je me remis à pleurer. Il sorti la cravache de mes fesses.
- tu réponds pas salope ? avec quoi je te dresse depuis tout à l’heure petite merde ? c’est pas sous les baffes et la cravache que t’a fais des progrès ?
Je fis oui de la tête, j’avais peur, j’allais encore être battu, j’allais subir ça toutes la semaine, des tortures et de coups ? que je me donne totalement à eux ne leur suffisait donc pas ? je pleurais de plus belle
- Alors je repose la question : De quoi est ce qu’a besoin le plus une putain comme toi ?
- Des coups. J’avais répondu entre deux sanglots d’une voix étranglée.
- Tu aimes recevoir des coups ?
- Oui
- Réclame !
- Je veux des coups.
Il me tapota la joue. – Alors, tu vois que tu y arrives
- tu aimes les coups de martinet ?
- oui
- et les coups de cravache ?
- oui
- réclame !
il tenait la cravache dans sa main. je me fis une raison, il fallait y passer de toute façon.
- je veux des coups de cravache maitre
je serrais les dents. Mais il se contenta de rire.
- tu as peur mon chat?
- Oui
La cravache caressa mon cul
- T’as des jolis fesses, tu veux te les faire défoncer à coup de godillots ?
Je me remis à pleurer de plus belle. Il me pris par les cheveux
- allons je veux t’entendre réclamer de te faire défoncer le cul à coup de godillots
je m’exécutais, la phrase sorti entrecoupée de sanglots
- je veux me faire - défoncer - le cul à coup de go de godillots, s’il vous plais
il s’approcha de moi , déposa un baiser sur mon front et me dit d’une voix doucereuse
- Tu vois c’est pas si terrible. Soit une bonne salope et un bon jouet et je sens qu’on va bien s’amuser avec toi! On à toute la semaine.
Puis il se leva d’un seul coup.
- Bon fini les conneries, on reprend la leçon, redis moi ton état de pute et ton désir d’avoir des bites, je t’écoute. Je vais à la cuisine, je veux t’entendre de la bas, si ça faibli gare à toi
il parti et, attaché seul sur mon canapé, je me remis à réclamer les bites en pleurant et criant, je disais que j’étais une pute, je mettait les phrases dans n’importe quel ordre. Il revint bientôt et caressa mes fesses. Le pire c’est que je fus surpris de constater que j’étais vraiment excité et que j’avais réellement envie de ce que je réclamais.
- S’il vous plais, je veux une bite, s’il vous plais
- C’est pas mal, mais tu dois encore faire des progrès !
Il passa ses doigts sur ma bouche, je me mis à les téter goulûment.
Il les retira et m’enfila un entonnoir dans la bouche et au autre dans les fesses, qu’avait il encore inventé après les coups ? le peur me repris. Il s’en rendit compte et retira l’entonnoir de ma bouche.
- qu’est ce que tu veux ?
- Des bites s’il vous plais. - La phrase était sorti d’elle même, il rit en me remettant l’entonnoir. - t’en fais pas , tu vas en avoir !
En fait je vis qu'il avait amené un bouteille de vin.
- Tiens, tu vas en boire une peu, et tu verras tout ira bien pour ce soir .
Il versa doucement le vin. Le gout n’était pas si désagréable. Je pense qu'il m'en fit boire l'équivalent d'un bon verre. La tête me tournait déjà.
- Et la qu’est ce qu’on va mettre ? - ce disant il tapota l’entonnoir dans mon cul et enleva celui de ma bouche.
- Alors qu’est qu’on va mettre ?
- Des bites s’il vous plais, des bites.
Il rit.
- oui, bien t’a bien appris la leçon, l’entonnoir c’était juste pour te faire marcher une peu. Il l'enleva et je fu rassurer de le voir repartir en emportant ses entonnoirs.
Je restais seul un certain temps avant qu’il ne revienne, j'avais juste le temps de m'inquiéter et de me demander ce qu’il pouvait encore préparer. Enfin lorsqu'il revint, il m’enleva mes liens sans un mot, me fis lever et m’ordonna de le suivre. Après l'immobilisation sur le canapé, je retrouvais péniblement ma mobilité.
Nous redescendimes jusqu’au réduit dans le garage, celui ou j’étais arrivé, il y avait toujours l’établi, mais une couverture posée en deux avait été posée par terre ainsi qu’une gamelle en inox à moitié pleine d’eau.
- donne tes mains
je lui tendis mes mains, il m’attacha les poignets entre eux
- Allonge toi donne tes pieds
Je m’allongeais sur la couverture, et lui tendais mes pieds, mes chevilles eurent le même traitement que mes poignets. Puis il passa une corde dans les liens des main ...
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