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L’EXTASE AU FOUET

Publié par : isabelleghn le 05/02/2023

Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... c'est une histoire totalement fictive... mise à part l'expérience réelle du fouet reçu dans un cruising-bar SM bien connu de la capitale.

Journal d’Isabelle n°40
samedi 4 février 2023

L’EXTASE AU FOUET

“Isabelle, l’autre jour, j’ai remarqué les crochets dans la poutre, ça sert à quoi ?”
“(sourire) à m’y attacher pour diverses expériences.”
“Comme quoi ?”
“Je sais pas... être fouettée par exemple.”
“Oh, j’en ai très envie.”
C’est après ce dialogue sur lieuxdedrague que mon bel Éros, qui m’avait si bien fait l’amour il y a quelques jours, qu’il me proposa de me fouetter.
Il est venu hier après m’avoir prévenu.
Je savais à quelle heure il devait arriver, aussi j’avais fermé la boutique et je m’étais habillée de façon à être, j’espère, attirante.
Bottines noires, bas blancs, jupe assez courte, crop top qui laissait le bas de mon ventre presque nu, un petit gilet en laine beige et mon large collier de soumise en cuir.
Dès qu’il est arrivé, il m’a plaqué contre le mur, il a glissé ses mains sous le tissu pour caresser mes seins, il a soulevé le crop top et m’a mordillé les tétons. Ses dents me faisaient à la fois souffrir et jouir. C’était une bonne entrée en matière avant de lui offrir mon corps.
C’est après qu’il m’a montré qu’il était venu avec ce qu’il fallait : menottes en cuirs, chaines et bien entendu le fouet. Il avait aussi apporté un bâillon-plug.
— Pourquoi un bâillon ? ai-je demandé.
— Parce que je compte bien te faire crier, et comme ça va arriver, je fermerai ta jolie bouche, me dit-il en pressant de ses doigts mes lèvres de chaque côté pour me rouler un patin fiévreux.
Ayant vu le long fouet d’au moins un mètre, en cuir noir terminé par des lanières fines, il allait certainement me faire tant de plaisir de souffrance.
Je me suis blottie contre lui, le serrant contre moi, j’étais si amoureuse, déjà.
— Allons ! Tu vas d’abord me sucer la bite, Isabelle.
J’ai souri, j’avais tellement envie de lui dire merci. Je me suis mise à genoux, j’ai ouvert sa braguette et j’ai pris son sexe déjà bandant dans la bouche. Je titillais le bout de son gland avec la langue, comme ils aiment tant, et ça le mettait dans un état d’extase, mon bel Éros.
— Arrête ! J’ai pas envie de t’inonder la gorge tout suite. Tu m’as suffisamment excité, ma salope d’amour, me sourit-il en remettant son paquet en place.
Se disant, il prit mes poignets, et y installa les menottes de cuir. Il retira mon crop top. Puis il me prit par les hanches et m’amena sous la poutre où il tendit mes bras pour qu’ils soient bien accrochés, et moi à sa merci.
Il baissa ma jupe aux chevilles. J’étais en position pour recevoir l’hommage de son fouet. Je me dandinais, pour exciter plus encore ses désirs.
Il se positionna derrière moi, m’enserrant de ses bras et collant sa bosse contre la raie de mes fesses et me prenant les tétons encore plus fort. Pinçant de ses ongles les bouts turgescents.
Il me faisait tellement jouir que j’avais un besoin fou de recevoir son fouet, le désir dingue de sentir les traces sur mon dos, mes fesses ou mes cuisses. Je voulais hurler “Fouette-moi ! Fais-moi mal ! J’ai besoin de ton amour.” Mais aucun son autre que mes râles de jouissance ne put exprimer la passion que j’avais déjà de lui, de son amour, de son sexe, de son fouet.
— Bien, je vais maintenant commencer.
Le premier coup cingla mon dos, et je ne m’y attendais pas, mais j’ai crié. J’étais honteuse, car j’avais souhaité recevoir pieusement cette flagellation.
— Alors ? Tu cries déjà ?
— Pardon mon chéri... je suis désolée.
Il me caressa le dos à l’endroit où il avait frappé. Ça me fit frissonner.
— Je continue ?
Je baissai la tête, et doucement :
— Oui, s’il te plaît...
— Je vais toucher ici.
Je sentis sa main s’immiscer entre mes fesses, pour ensuite, du plat de sa main, parcourir les rondeurs.
— Allons...
Le second coup fustigea bien mon cul, mais cette fois je ne criais pas, et même par réflexe, je le lui tendis mieux.
Un troisième coup ...

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