L'histoire d'un garçon déluré 2 : Bruno et moi

C'est au court d'une de mes nombreuses investigations de la quête ultime de l'amour entre hommes que je le vis. J'étais allé une nouvelle fois au Labyrinthe, je traînais devant le rayon des films gay ne sachant que choisir. Lorsqu'un homme m'accosta gentiment, il était différent de ceux que j'avais l'habitude de m'envoyer en l'air. Il était classe voilà tout; vêtu d'un costard loin d'être bon marché, soulier vernis, lunettes de marques et en plus belle gueule et sourire ravageur.
"_Salut, tu attends quelqu'un ?"
_Euh, non, personne. Balbutiais-je, timidement.
_Je m'appelle Bruno et toi?"

Nous fîmes connaissance au beau milieu des DVD X et des sextoys. Il me raconta qu'il possédait un restaurant gastronomique dans le centre ville et qu'il était un client privilégié ici, puisqu'il avait organisé l'inauguration du Labyrinthe. Impressionné, je l'écoutais avec l'attention d'un fan devant son idole. Il m'avertit de suite qu'il était en couple avec un homme, mais cela ne me posais pas de problème. Son compagnon s'affairait en cuisine pendant que lui s'occupait de la gestion et de toute la partie événementielle. Après ses présentations inhabituelles, il revient à moi:
"_Ça te dirait de passer un peu de bon temps avec moi dans la salle réservée aux couples?"
Sans me faire prier davantage, j'acceptais volontiers son invitation. Il se dirigea vers l'employé présent ce jour là et revint avec la clef du bonheur sans même avoir payer.
Une fois dans la plus luxueuse pièce de cet établissement, il commença par m'embrasser tout en me déshabillant et je fit de même. Une fois nu, je le trouvais magnifique, un corps parfait sans défauts, la peau légèrement hâlé, son sexe était incroyablement beau aussi et avait des proportions bien au-delà de la moyenne. Lui aussi me complimenta sur ma plastique, que les garçons comme moi ne couraient pas les rues par ici. Il prit mon sexe dans sa main et le frotta contre le sien. Je bandais comme pas possible! Il commença à me masturber doucement et je lui rendit la pareille. Puis, il me demanda ce que j'aimais. Jamais personne ne m'avait demandé cela auparavant et j'en restais bouche bée. Il insista et je répondis que j'aimais faire ce qu'on attendait de moi. Il me sourit et me dit que lui savait s'adapter aux désirs de ses partenaires. Qu'il avait l'habitude d'être souvent sodomisé, que son compagnon était plutôt actif et que ça lui convenait très bien mais qu'il pouvait être un mâle dominant selon les circonstances. Il s'agenouilla et commença à me tailler une pipe et mon dieu qu'il savait bien si prendre! Mon sexe devenait comme un roc sous l'effet de ses délicieuses succions, mes grosses bourses se contractèrent au point de devenir douloureuses. Je sentais la jouissance me submerger peu à peu et me dégageais de justesse. Il se remit debout et je pris sa place en m'agenouillant à mon tour. Son sexe était si épais que j'en avait mal à la mâchoire mais je m’efforçais d'être à la hauteur de sa prestation. Avec mes grosses lèvres, il y avait peu de place pour accueillir un tel morceau de chair dans ma bouche et je me demandais bien comment il allait bien pouvoir me la rentrée à l'intérieur si tel était son intention. Je devais avoir l'air complètement ridicule, ma bouche charnue écartelée qui bavait de stupre ayant toute les peines du monde à contenir cet énorme braquemart. Voyant mes difficultés à le gober, il s'écarta de moi pour me laisser reprendre un peu d'air et alla chercher une pochette de gel lubrifiant dans la poche de son pantalon. J'en profitais pour me mettre sur la banquette en quadrupédie pour m'offrir à lui.
"_Je me doutais bien que tu étais un bon petit passif. Railla-t-il.
_Essaye de ne pas me faire mal, s'il te plaît. Le supplie ai-je.
_Ne t'inquiète pas, je vais y aller doucement. J'ai l'habitude."
   Il m'enduit la raie des fesses avec le gel et enfonça un doigt, puis deux pour me préparer doucement.
"_Ça posera pas de problème pour toi, ça se voit que tu as l'habitude de te faire prendre par derrière. Pas vrai ?"
   Rouge de honte, je n'osais répondre.
"_Pas vrai? salope ! Réponds moi!
_Oui, c'est vrai ! Avouais-je.
_Maintenant, c'est mon tour! J'en ai assez de me faire baisé. Aujourd'hui c'est moi le baiseur!"
   Et il introduit son gourdin dans mon cul, doucement comme il me l'avait promis, par palier le temps que mes entrailles s'habituent à ce nouveau corps étranger plus gros que d'habitude. C'est alors que je me rendis compte affolé qu'il n'avait pas mis de capote. Je voulu me dégager mais il me retenait par les hanches.
"_Tu as oublié de mettre un préservatif ! invoquais-je pour qu'il arrête.
_Ne t'inquiète pas, je suis sain. Et tu vas voir c'est encore meilleur comme ça !"
Et, il s’enfonça intégralement en moi. Jamais, je n'avais encore pris un tel morceau da ...

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