Jules en est à enlever ma petite culotte avec la bouche et je sais qu’il va réussir car celle-ci convient à une telle pratique et Jules est un orfèvre en la matière. Une fois la culotte arrivée à mes genoux, j’aide mon Jules et lui réclame un doux baiser sur les lèvres afin d’être récompensé de mon aide. Il ne s’attarde pas sur mes lèvres mais redescend vers mon gland bien tendu vers lui. Il l’enfourne goulûment et fait tourner sa langue autour. Il serre ses lèvres juste en dessous et aspire fort afin que mon sang vienne le gonfler. J’adore cette sensation et il le sait.
Connaissant Jules, il est parti pour une longue et sensuelle fellation qui risque fort de se terminer par une éjaculation en bouche si je le laisse faire. Alors je décide de lui titiller la rondelle afin de détourner sa concentration. Jules n’est pas dupe et il enfonce ma queue dans sa bouche, lèvres serrées et langue virevoltante. Pendant ce temps, je lui introduis une première phalange dans l’œillet puis une deuxième et je commence à vriller de droite et de gauche avant de recroqueviller mon doigt et de le sortir. Bien qu’il ait la bouche pleine, Jules pousse un léger gémissement de surprise agréable. Nous avons beau être très complices, il nous arrive encore de nous surprendre (heureusement).
Je continue à travailler l’œillet de Jules tandis qu’il me suce et me suce encore. Je sens l’excitation monter et je sais que si je ne retire pas ma queue de sa bouche, je vais l’inonder de toute cette semence que j’ai produite depuis ma dernière offrande. Je le repousse avec le plus de tact possible et je l’installe de façon à le féconder. Ma bite placée à son entrée, je pousse délicatement et je maintiens mon gland au niveau de ses sphincters (je connais son cul par cœur). C’est à cette endroit que c’est le plus serré et Jules contrôle parfaitement ces muscles-là. Il commence à les comprimer et les relâcher selon un rythme que je ne reconnais pas tout de suite. Il s’agit d’une de ses chansons préférées et lorsque je comprends je lui susurre les paroles dans le creux de l’oreille. C’est une chanson très érotique, très coquine.
Là encore l’excitation monte d’un cran et il me faut faire retomber la tension si je veux que notre câlin perdure. Je sors ma queue et la rentre à peine plus profondément cette fois. Je ressors et rentre de nouveau en gagnant en profondeur. Jules m’indique son plaisir par ses gémissements et surtout par ses mots doux qu’il n’utilise que lorsqu’il est envahi par un ...

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