Ils ont emménagé le mois dernier. Elle est plutôt sexy. Grande avec de longs cheveux noirs, bien bâtie avec un gros cul fin et de gros seins ronds. Elle a flirté avec moi dès le premier jour. Ces derniers temps, j'étais un peu perdu sexuellement, et elle le savait. Mon invitation à prendre un verre s'est terminée par un rendez-vous avec elle et moi dans leur salon. Il travaillait ou c'était l'histoire. Son chemisier s'est ouvert, montrant la plupart du body en dentelle noire qu'elle portait en dessous. Elle a souri et l'a laissé ouvert. La prochaine chose que je sais, c'est que sa mignonne petite jupe de golf était sur le sol et que son chemisier était suspendu à une lampe.

Il était clair dès le début qu'elle était en charge. Je ne pouvais faire que ce qu'elle me permettait de faire. Mais j'étais d'accord avec ça ! Mon visage était entre ses seins, les embrassant et les frottant. Elle m'a poussé entre ses jambes pour lécher sa chatte trempée. Quand je l'ai suppliée de la baiser, elle a dit que ça ne marchait pas comme ça. Si quelqu'un devait se faire baiser, ce serait moi.

Elle m'a emmené dans la chambre où elle avait un gode qui attendait. Elle a dit que j'allais être sa chienne. Je n'étais pas sûr de ce que cela signifiait, alors elle m'a montré. Avec ses magnifiques seins sur mon visage, elle a fait fonctionner le gode dans mon trou de balle pendant qu'elle me branlait. Elle n'arrêtait pas de me demander si j'aimais ça. Je devais lui dire la vérité. "Oui, madame, j'aime ça".

Elle a alors attaché le gode sur le devant de son corps et m'a penché sur le lit. Elle m'a donné un coup de main, pressant ma bite pendant qu'elle m'enfonçait. Elle n'arrêtait pas de me demander si j'aimais ça. Je n'arrêtais pas de crier "Oh putain, oui !".

Je jouissais tellement fort avec ce gode tout le long de mon cul. Je n'avais jamais connu ça avant. C'était nouveau, fou et génial !

Elle utilisait un gros vibrateur pour prendre son pied. Elle aimait que je la regarde faire. Elle a mis mon numéro dans son téléphone sous "nouvelle salope". Elle m'a appelé le jour suivant.

Elle m'a demandé si j'en voulais plus. Je n'ai pas hésité. Cette fois, elle m'a fait porter son corset et sa culotte rouges sexy de la Saint-Valentin. Je n'avais jamais porté de sous-vêtements féminins auparavant mais j'ai vite compris que j'aimais ça. Le sexe était tout aussi pervers. Elle n'arrêtait pas de m'appeler sa "nouvelle salope" pendant qu'elle tirait sur ma queue et me baisait avec une sangle.

Plus tard, elle a envoyé la vidéo sur mon téléphone. J'étais tellement humilié et gêné ! Mais il y avait plein de vues de ses énormes seins rebondissant de haut en bas dans mon visage. Je ne pouvais pas m'arrêter de la regarder. Mais je me suis surprise à me regarder dans le corset et la culotte et à écouter mes cris d'écolière.

Elle a noté sous la vidéo que "La prochaine fois, je vais te faire taire". Et elle a ajouté un "LOL".

Je n'avais jamais été bâillonnée auparavant. Elle a utilisé deux de ses paires de culottes et un large ruban adhésif en tissu blanc. J'étais positionnée face contre terre sur son lit, habillée d'une tenue de femme de chambre d'Halloween. Elle a placé un oreiller sous mon milieu, mettant mes fesses en l'air. Ce jour-là, elle portait un soutien-gorge, une culotte, un porte-jarretelles et des bas noirs classiques en dentelle et en satin. Trop sexy ! Elle a enlevé son soutien-gorge, m'a embrassé et frotté ses seins sur mon visage, et l'a utilisé pour attacher mes mains à la tête de lit.

Avant de me cheviller comme une salope, elle a joué avec mes fesses, en y enfonçant un doigt glissant, puis en me donnant quelques fessées, pendant qu'elle me branlait.

La vidéo était folle ! Elle était sur moi et me baisait comme une femme folle et haineuse. Elle a dit qu'elle allait me baiser comme si je leur devais de l'argent. Et c'est ce qu'elle a fait. Elle n'arrêtait pas de crier : "Tu nous dois de l'argent, salope ! Prends ça !" Et je criais à l'aide, mais j'arrivais à peine à comprendre les mots de ma bouche étouffée et bâillonnée. C'était génial ! J'ai eu mal pendant une semaine. Mais ses seins sur mon visage, sa poigne ferme caressant ma bite et la vision d'elle vibrant jusqu'à l'orgasme étaient tout ce dont je voulais vraiment me souvenir.

La semaine dernière a commencé de la même façon. J'étais habillé d'un tutu rose comme le ferait une jeune fille. Une jupe à froufrous, un haut en satin rose, des leggings roses, un col en satin rose et une grosse tétine de bébé attachée pour me bâillonner.

Cette fois, j'étais assise sur le sol au pied du lit, les bras écartés et menottés à chacun des pieds du lit. Je la regardais tandis qu'elle faisait claquer une cravache sur la paume de sa main, comme si elle réfléchissait à la force avec laquelle elle allait me frapper.

La grosse boule de sucette en caoutchouc glissant remplissait presque entièrement ma bouche. Elle s'est penchée, a défait la sangle qui la retenait et l'a libérée. Je suppose qu'elle a décidé qu'elle ne voulait pas me bâillonner cette fois. J'étais excité de sucer ses seins et de mordiller ses tétons. Je m'attendais à une super branlette et à une stimulation des fesses en même temps.

Elle m'a chuchoté. "Dis-moi que tu feras tout ce que je demande. Dis-moi que tu es ma salope."

"Bien sûr, je ferai tout. Tu es le meilleur coup que j'ai jamais eu ! Je suis ta salope, Madame !"

Elle m'a mis un bandeau sur les yeux. Ses gros seins magnifiques penchés vers mon visage ont été les dernières choses que j'ai vues cet après-midi-là.

Elle était assise sur le sol à côté de moi, embrassant mon cou et me caressant. Je commençais à bander. Je sentais et goûtais le bout d'un gode en caoutchouc qui se pressait entre mes lèvres. "Aujourd'hui tu vas apprendre à sucer une bite comme ma salope. ok"

"Oui, Madame".

Et c'est reparti. Pendant ce qui semblait être des heures. Elle me donnait des instructions et on m'a dit que je ferais mieux d'être attentive. J'ai appris beaucoup de trucs que les hommes aiment et dont je n'avais jamais entendu parler. Le truc le plus important était de l'avaler dans ma gorge. J'ai eu du mal à le faire au début. Mais finalement, épuisé et étouffant, j'ai réussi à la laisser glisser jusqu'au fond. Elle l'a fait entrer et sortir en caressant et en serrant ma bite comme une récompense à chaque poussée réussie. La bite en caoutchouc et moi avions une véritable histoire d' ...

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