Je ne suis plus tout jeune et donc on me traumatise en me rappelant chaque jours que le covid m attend à chaque coin de rue.
J avoue que je n ai aucune envie de jouer avec le feu mais que pourtant vivant la vie n aurait plus beaucoup de gout sans relations
J ai néanmoins beaucoup plus sélectionné et donc ralenti.
et tant bien que mal j ai passé le confinement et le déconfinement. mais c était bien pauvre en relation à mon gout malgré quelques bonnes surprises.
Puis j ai dû me rendre à Paris ayant regroupées toutes mes obligation sur une seule journée j ai passé 2 nuits à l hôtel, où plutôt 2 longues soirées à trainer.
Désolé pour vous mais rien de bien spectaculaire seuls les monuments à Paris gardent leur splendeur d antan. quand vous y revenez après 10a d absence et que vos réseau ne marche plus qui plus est en cette période les approches paraissent trop risquées pour un vieux monsieur lol
Si tout c est donc bien passé et si j ai beaucoup apprécié le respect du port du masque à Paris (métro et lieux publics) il n en fut pas de même des trajet en train où hélas la SNCF se contente de rappeler toute les demi heures l obligation du port du masque et de menacer d amende en cas de contrôle (mais des contrôles il n y en a pas même pas des billets et le masque à 90% semble inconnu.
A mon retour j ai donc décidé de me mettre en quatorzaine.
Mais c est toujours quand vous ne cherché rien que les choses arrive.
Il y avait déjà 10 jours que je trainais mon ennui quand un appel m a réveillé. Un jeune avec qui j avais passé une soirée il y a bien longtemps (avant le covid) qui m avait laissé un bon souvenir mais que ça. Il venait au nouvelle et victime sans doute lui aussi de la raréfaction des "coups" s 'était soudain souvenu d un vieux très à cheval sur l hygiène lol.
Dépassant mon envie de le dévorer tout cru et soucieux de lui montrer que je n était pas à sa disposition (pourvu qu il insiste) je lui dis être encore en quatorzaine. (j apprendrai plus tard que cette phrase avait fait écho chez lui qui s avère très prudent également)
Bon sang un jeune gourmand prudent que demander de plus on discute et bien sûr on décide de fêter ma fin de quatorzaine par un petit repas chez moi.
Quatre jours plus tard on se retrouve avec de bonnes résolutions de prudence mais une grande envie de passer une soirée moins morose.
Le repas se passe à apprécier plats et vins et à discuter débriffer sur la soirée que nous avions passée ensemble et ...

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