Arthur reste planté en moi un long moment durant lequel il m’indique que mon cheminement de soumission ne fait que débuter. Il se retire et je sens son sperme qui coule le long de mes cuisses. Il en recueille sur ses doigts qu’il présente à ma bouche. Je sais d’où ça provient (ses couilles, oui mais mon cul !) mais mon esprit réagit vite (je dois me soumettre) et je lèche ses doigts avec une délectation feinte au début avant de trouver l’offrande d’un goût agréable.
Il appuie sur mes épaules pour placer mon visage face à son vit qui s’est ramolli mais possède pour autant un volume encore très conséquent et je comprends pourquoi je sens de l’air entrer dans mon tréfonds et pourquoi ça dégouline entre mes jambes. Pas besoin de mots pour comprendre la consigne et je lui lèche le chibre pour le rendre le plus propre possible. Dès que mon travail est effectué, Arthur range son engin dans son sous-vêtement et referme sa braguette.
Il m’indique de ne pas bouger et va chercher un plug dans un de ses tiroirs. Il me le tend et me dit de me le mettre demain avant d’arriver à mon rendez-vous fixé ici à 10h30. Il claque mes fesses et me congédie. C’est tout juste si j’ai le temps de me rhabiller. En sortant, je croise une jeune femme fort jolie, au parfum subtil. Elle ne me regarde même pas. Je referme la porte derrière elle.
Durant toute la soirée, je ressens des scrupules mais aussi des fiertés d’avoir su dépasser mes limites, des remords de m’être comporté lâchement et des souvenirs agréables de sensations nouvelles… Je me réveille au petit matin sans la gaule et pour cause mes draps sont souillés de ma semence. Je recherche dans ma mémoire les rêves érotiques qui ont pu animer ma nuit mais rien ne vient sur le coup. Je prends mon petit-déjeuner puis ma douche et en lavant mon cul, me revient ce songe durant lequel je me trouvais dos à une queue (une file) d’hommes nus qui tenaient leurs chibres tendus à la main en ma direction. Chacun d’eux me sodomisait rudement. Ils passaient les uns après les autres en moi et déchargeaient le contenu de leurs testicules. Et c’était au suivant de me prendre sans ménagement : mon cul était totalement ouvert et je ne manquais pas de lubrifiant : le sperme s’écoulait entre mes cuisses et ça continuait et continuait encore. Alors que je recevais un mandrin plus long et plus large que les autres, je m’écroulais de bien-être et des giclées de sperme sortaient de ma queue raidie par l’excitation. En repensant à ce rêve, je sens que ma queue se tend de nouveau et je me dis qu’il ne faut pas que j’oublie de m’introduire le plug d’Arthur avant de m’habiller.
L’heure du départ arrive et je prends le métro pour arriver à l’heure au rendez-vous. Je suis en avance et je me dis que le maître n’appréciera pas et qu’il me dira qu’avant l’heure, c’est pas l’heure et après l’heure, c’est plus l’heure ! J’attends quelques rues en contrebas et je me présente devant la verrière à l’heure imposée. Arthur me voit arriver et me fait signe d’entrer. Il me demande de me désaper entièrement et de me positi ...
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