(ceci est la suite et la fin du récit qui raconte la première fessée de Sylvie, telle que je l’ai vécue, sous l’angle de vue du fesseur que je suis).
Nous roulons pour nous éloigner des habitations. Je lui demande de garder les cuisses écartées pendant le trajet en lui précisant qu’il en sera toujours ainsi lorsque nous serons ensemble : pas de culotte et cuisses toujours maintenues écartées. La proposition a l’air de lui convenir, elle écarte sagement ses cuisses. J’aurais à la reprendre deux ou trois fois avant d’arriver à notre destination, les cuisses reprenant tout naturellement leur position initiale, genoux l’un contre l’autre. Ce n’est pas en quelques minutes que l’on corrige des années d’éducation : assise, une femme en jupe maintient ses jambes serrées l’une contre l’autre.
Nous explorons la campagne environnante à la recherche du coin propice à nous laisser aller. Nous empruntons de divers chemins : celui-ci trop près d’une maison, celui là trop en vue de la route principale, l’autre difficilement praticable, bref il nous faudra dix bonnes minutes à errer hors des routes goudronnées pour enfin terminer notre parcours au bout d’un chemin en impasse, voisin d’un champ de maïs.
Je sors de la voiture et en fait le tour pour ouvrir la portière de Sylvie. Je lui demande d’aller sur l’avant de la voiture et de prendre appui de ses deux mains sur le capot, penchée en avant. Ainsi en position je relève sa jupe pour la remonter jusqu’à sa taille. Je découvre ses deux cuisses trapues surmontées de deux petites fesses rondes, elles encadrent son petit abricot lisse et rose. Sans un mot de plus, je lui donne une claque sur chacune des fesses. Claques mesurées, je ne suis pas un sauvage et une bonne fessée se doit d’être progressive. Pour que le plaisir soit complet pour le fesseur comme pour la personne fessée, il est important que la fessée s’inscrive dans la durée et ne soit pas expédiée. Je dose donc l’intensité à ce que je ressens de l’envie et de la résistance du fessier que j’ai sous la main.
Je lui fais des séries de 10 claques espacées de pauses pendant lesquelles je masse ses fesses pour l’apaiser. Ses fesses se teintent d’un beau rouge rosé, un régal. Je masse sans jamais toucher le sexe. On ne mélange pas tout, sévérité et plaisir. Malgré tout, contre toute attente, au terme de quelques une de ces séries, j’entends Sylvie me dire :
- C’est trop bon, je ne pensais pas que ça me ferait autant d’effet
Suite à cet aveu, je profite de la pause suivante pour dégrafer mon pantalon et sortir mon sexe. Je lui demande alors de se relever et de me faire face. Elle découvre mon sexe et ne montre aucun signe de surprise. Elle reste immobile, le regard interrogateur.
- Que penses tu que tu dois faire maintenant ? lui dis-je.
- Te sucer ?
- Tout à fait
Elle se met accroupie devant moi et prends mon sexe dans sa bouche. Là encore je dois lui rappeler que ses cuisses doivent rester écartées offrant son entrecuisse à mon regard. Elle me suce et me branle en même temps avec douceur. Je lui laisse l’initiative de faire comme elle l’entend, elle caresse, elle lèche, suce et branle, changeant de rythme à sa guise mais toujours très douce.
Je lui demande de reprendre position sur le capot de la voiture. Sagement elle se penche de nouveau, pose ses mains devant elle sur le capot après s’être relevée la jupe sur la taille. Après cette fellation, mon sexe pointe vers le ciel, raide. Je repends la fessée là où nous l’avions laissée par une première série de dix claques, cinq sur chaque fesse ou cuisse. A la pause suivante, placé derrière elle, sans qu’elle ne le voie je revêts mon sexe d’un préservatif. Du bout d’un doigt j’affleure à peine son petit abricot tout rose, parcourant sa fente sur sa longueur. C’est le premier contact avec son sexe, un effleurement presque imperceptible mais elle frémit. Ce simple geste entrouvre ses deux lèvres, le haut de mon doigt en ressort mouillé. Si j’avais encore un doute, il venait de s’envoler : elle est prête à la pénétration voire la souhaite.
Je me place derrière elle et la pénètre ainsi. Tout d’abord, je n’introduis que le gland. Pénétration sans difficulté, son sexe gonflé et humide et sa position la mettent dans des conditions favorables. Je fais quelques va-et-vient lents, juste avec mon gland qui entre et sort. Je prends mon temps sentant l’impatience de Sylvie à se sentir pénétrée totalement, sur toute la longueur de mon sexe, dans toute la profondeur de son vagin. De mon gland, je la taquine un moment, la fais attendre, évitant les coups de reins qu’elle donne en arrière pour engloutir mon sexe, je veux décider moi seul du moment où ma pénétration va être totale.
Je la pénètre enfin totalement dans un mouvement lent. Elle n’a de nouveau que cette phrase :
- C’est trop bon.
Simple mais tellement encourageant. Je la besogne ainsi jusqu’à ce qu’elle jouisse avec pour effet immédiat de moi-même me relâcher et jouir. No ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur