C’est l’automne et comme souvent, l’arrière-saison est agréable. Il y a ceux qui sont matinaux et cherchent les champignons (quand on voit la forme de certains jeunes cèpes, on peut comprendre) et ceux, comme moi qui ramassent les châtaignes et dénichent parfois aussi de jeunes cèpes.
Je suis sous un châtaigner dont les fruits au sol sont de belle taille et je m’affaire à remplir mon sac. Je suis penché et j’entends des bruits de pas derrière moi. Ma priorité est de collecter des fruits et je ne suis pas pressé de me relever et de me retourner d’autant que je repère un de ces jeunes cèpes à la silhouette phallique. Les bruits de pas s’approchent et je sens une main sur mes fesses. La caresse est douce et appuyée. Pourquoi bouder un tel plaisir ? Je me laisse faire et la main passe sous mon pubis pour venir me saisir fermement et en toute délicatesse ma verge et mes testicules. La main me malaxe goulument les bijoux et je reçois un doux baiser dans le cou.
Le plaisir et la surprise sont tels que je décide de fermer les yeux et de me laisser faire. Une deuxième main vient défaire ma braguette et je me retrouve le cul à l’air, en pleine nature, avec la douce et excitante caresse du vent qui s’engouffre dans ma raie et vient titiller ma rosette. Le vent est vite rejoint par une langue habile qui me chatouille la raie en insistant sur mon entrée privative. Cette langue se fait tantôt large et suave, me couvrant de bave tiède et parfois, elle se tend telle une épée et force la porte de la volupté. Je suis penché en avant et mes jambes flageolent sous tant d’attentions exquises.
La langue est désormais accompagnée de doigts complices qui profitent de la bave présente pour s’immiscer en moi. D’abord une phalange qui se fait pousser plus en avant par sa suivante et même la troisième phalange entre avant que toutes ne ressortent. Cette fois ce sont deux phalanges qui entrent mais pas à la suite l’une de l’autre : elles entrent en même temps et sont suivies, poussées vers mon intérieur. Elles se retirent à leur tour avant de réitérer leur mouvement d’avancée, accompagnées par un troisième doigt.
Je maintiens mes yeux fermés et je perçois que la personne qui m’initie est passée devant moi. Je sens une douce tiédeur qui s’approche de mes lèvres. Je ne me trompe pas : il s’agit bien d’une verge turgescente qui sent très bon. Mon appétit sexuel est on ne peut plus réveillé et je ne vais pas réprimer ma curiosité de découvrir, sans les yeux, cet appendice prometteur. Je le colle contre mes lèvres qui s’appliquent à l’engloutir fermement tout en écartant le prépuce de ce gland dont le diamètre augure de délicieuses sensations et dont la finesse de peau lui confère une texture si douce en bouche. Le gland décalotté, je le goûte de ma langue qui lui tourne autour et lorsque j’en ai bien estimé la saveur délicatement musquée, je décide de l’engouffrer au plus profond de ma gorge. Je suis présomptueux et il me vient un haut le cœur. Non seulement, je suis sur le point de m’étouffer mais en plus, je n’ai pas senti les boules qui sont censées suivre ! Le gars a donc une pine d’un diamètre qui me plait et en plus, elle est d’une longueur si conséquente qu’elle est taillée pour me procurer énormément de plaisir anal.
Devant tant de promesses, je suis excité comme une puce et ma bouche coulisse le long de ce pieu sur la plus grande distance que je peux. A force d’être avalée et de sortir de ma cavité buccale, cette bite majestueuse commence à apprivoiser ma bouche et elle y entre de plus en plus profondément au point que je sens désormais ces douces couilles qui viennent tapoter mon menton.
Le gars y prend plaisir et l’exprime par de doux râles. Son gland me paraît si savoureux que j’aurais envie de le sucer jusqu’à plus fa ...

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