J’ai choisi de dévoiler quelques épisodes de ma vie cachée, parce qu’il est plus facile de le faire derrière son ordinateur plutôt qu’à visage découvert. Certes j’aurai pu écrire des histoires imaginaires saupoudrées de petites scènes totalement obscènes sorties tout droit de mes phantasmes les plus pervers. Mais ma vie secrète d’homo, est tellement riche en souvenirs inavouables, qu’il est inutile de me lancer dans des histoires inventées de toutes pièces. Mes rencontres sexuelles au hasard de ma vie sont, pour certaines, bien plus impudiques.
En 2004, je suis envoyé en déplacement pour 1 mois à Rodez, une chambre est réservée à mon nom dans un gîte tout proche de ma future mission. Avant de me présenter au chef de projet et à l’architecte, je décide de prendre possession de ma chambre, et d’installer mes affaires. Le gîte est désert et personne pour me réceptionner, j’entends du bruit dans une pièce voisine, et pensant qu’il s’agissait du propriétaire j’entre, non sans avoir frappé avant. « Oups, excusez-moi », je referme immédiatement la porte, un homme chauve la soixantaine grassouillet était en train de se faire enfiler, à quatre pattes sur un canapé. L’enculeur de service environ le même âge, se retire précipitamment, la queue encore raide, ultra gêné par la situation en tentant de se couvrir. Sans demander mon reste, je change mes plans et pars directement à mon RDV, me disant que pour la chambre on verrait plus tard.
La secrétaire me fait attendre, le chef et l’archi sont en retard, mais ils ne vont pas tarder, me dit-elle. Ma mission démarre très mal, car, lorsque la porte du bureau s’ouvre enfin, un grand moment de solitude s’installe. Les présentations sont inutiles puisque se sont les deux types du gîte. L’architecte prend immédiatement congés, certainement honteux de me recroiser. Le petit grassouillet chauve esquisse un sourire en me serrant la main, « désolé, pour tout à l’heure, on ne vous a pas entendu frapper ». Je souris, et pour détendre l’atmosphère je lui réponds : « Il n’y a aucun problème, d’ailleurs j’aurai bien voulu être à votre place », son visage s’illumine, il garde ma main dans la sienne, « à cause de vous on n’a pas pu terminer notre petite affaire » me dit-il sur le ton de la plaisanterie. Je desserre mon ceinturon je sors ma bite, immédiatement il est à genoux en train de me pomper et de me lécher les couilles. Confiant, je lui dis « tournez vous si vous voulez je veux bien vous baiser », il ferme la porte du bureau à clé et descend son pantalon, penché sur son bureau. Il couinait comme un petit porcelet à chaque coup de bite, « je suis une bonne salope à jus, tu peux faire tout ce que tu veux avec mon cul » ok, je l’ai ramoné comme on baise une bonne lope et j’ai déchargé dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte, visiblement il en aurait bien voulu un peu plus. Il dégoulinait de sueur et sa respiration était haletante mais avec un sourire reconnaissant il continuait à m’aspirer les boules, je me suis retourné et il m’a dévoré la rondelle comme un mort de faim. Sa petite bite violacée était toujours au garde à vous, alors avec un grand plaisir, je me suis agenouillé à mon tour et je lui ai vidé les couilles jusqu’à la dernière goutte. Les présentations avec le chef de chantier avaient certainement fait trop de bruits, la secrétaire tapait à la porte. Nous nous sommes rhabillés et mon boss a enfin ouvert la porte.
La tension étant redescendu, la secrétaire déposait le dossier du chantier pour lequel j’étais venu tout en me dévisageant, j’ai demandé la permission de déposer mes affaires au gîte puisque je n’avais pas osé le faire avant, « oui, oui allez y, le gîte est à ma sœur, vous prenez la chambre à droite au 1 er étage, ca vous ennuie si je passe ce soir avec l’architecte ? On pourrait parler du chantier » no prob ...

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