Ce jour-là, je m’étais habillée un peu plus salope que les autres jours, j’étais tellement en manque de bite, que je désirais ardemment qu’on vienne me fourrer la gueule… au moins ! Jupe mi-longue aux couleurs chaudes, chemisier col en “V” à boutons, assez serré, si bien que ça faisait ressortir encore plus mes seins naissants. J’avais aussi mis un collant résille noir aux fesses nues, des escarpins rouges et mon collier d’esclave avec son anneau.
J’étais donc tranquillement en train de travailler à un nouvel ouvrage à paraître, lorsque la porte de mon établissement s’est ouverte.
C’était un homme d’une trentaine d’années, le visage souriant. Grand, svelte, apparemment musclé, ni trop ni trop peu, et il était visiblement d’origine arabe ; ce qui n’est pas fait pour me déplaire…
Je me suis levée pour l’accueillir.
— Bonjour monsieur, vous désirez ?
Il était toujours souriant, et avec un œil malicieux, il m’a répondu directement…
— Toi ! J’ai vu ton annonce sur un site, et tu m’as tellement excité, que j’ai voulu te voir tout de suite.
Disant cela, il s’approcha de moi, les mains en avant et il a saisi mes tétons qui pointent toujours au travers de mes vêtements.
— T’as de beaux nichons, ma salope, me dit-il avec gourmandise.
Moi, évidemment, et même si sa manière était assez abrupte, je ne pouvais faire autrement que de me mettre tout de suite à genoux devant lui ; la tête bien en face de son paquet déjà assez gros.
— Mmmmh, gémissais-je.
— T’en as envie, hein la pute ?
J’ai levé la tête.
— Oui…
— Medhi !
— Oui… Medhi.
Alors que je commençais déjà à ouvrir sa braguette pour en libérer son chibre tendu ; tout en continuant à me saisir un téton avec fermeté, il m’a donné une claque. Pas une méchante claque, une claque de mâle, presque avec tendresse.
— Pour toi ça sera “Monsieur Medhi”, hein la chienne ?
— Bien Monsieur Medhi, ai-je dit juste avant de prendre sa queue dans ma gueule.
Il a ouvert mon chemisier, et il a commencé à triturer mes tétons encore plus fortement.
— Allez, suce-ma bite à fond.
Je faisais au mieux, parce qu’il était pourvu d’un engin assez... proéminent.
— Allez… bouffe-moi ça !
Avec une main en appuyant sur ma nuque, il s’est plongé dans ma gorge.
— Là ! C’est bien… bonne pute !
Il allait et venait comme un piston du Creusot.
J’avais, j’avoue, du mal à ne pas déglutir mon déjeuner, mais j’en profitais un maximum de cette queue. Ça me manquait tellement depuis des semaines de “ceinture”.
— Allez... continue toute seule, fais-moi jouir… je vais bien asperger ta gueule de mon foutre… salope !
Il a repris mes deux tétons. Il les tournait, ...

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