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Le chauffard

Publié par : pachapassif le 29/04/2020


Je sentais que la migraine me guettait. Les gens gueulaient et klaxonnaient à tout-va pendant que des motards slalomaient dangereusement entre les voitures. Je me maudissais d'avoir choisi de prendre l'autoroute pour nous rendre à Paris chez nos amis. En 10 minutes, nous n’avions parcouru qu'une centaine de mètres et le bruit des klaxons avaient fini de m'énerver. Nous nous mîmes à notre tour à crier sur tout ce qui bougeait et à pester contre les autres automobilistes. Cynthia prit quand même un moment pour appeler nos amis et les prévenir de notre retard.

Nous étions un couple de33 et 35 ans, Cynthia est une femme sud-américaine, mon épouse femme au foyer et moi-même suis ingénieur. Elle avait des beaux yeux noirs, des traits qui sans être fins n'étaient pas grossiers et surtout une bouche pulpeuse aux lèvres bien roses. Son visage était surmonté par une chevelure noire épaisse qu'elle disciplinait tous les matins en se peignant avec une frange. L'ensemble donnait un visage plutôt plaisant et empreint d'une sorte de beauté naturelle et langoureuse. Son corps par contre n'était plus celui d'une adolescente avec ses courbes voluptueuses, des seins bien fermes et ronds qui remplissaient plus que généreusement les bonnets de ses soutien-gorge, débordant de leur 90C, et des hanches appétissantes surmontant une jolie paire de fesses rebondies et marbrées, un derrière cuivré. Aujourd’hui, elle avait choisi d'enfiler un ensemble soutien-gorge/culotte en dentelle rouge et noire, un top noir en simili soie moulant ses formes tout en offrant un décolleté généreux et un jean moulant parfaitement ses jolies fesses.

Après avoir fait son appel, toujours énervée, elle balança le téléphone sur le siège arrière en remarquant à peine qu'il était tombé sous les sièges. Elle retira sa veste, se laissa aller contre le dossier de son siège et se massa les tempes un long moment tandis que la voiture en plein soleil se réchauffait rapidement.

Notre calvaire dura encore presque une demi-heure puis la circulation se fluidifias d'un seul coup. Soulagés, nous nous remîmes en route et sentîmes une nouvelle énergie nous parcourir. Nous allions être en retard mais nous pourrions quand même arriver dans les délais ! J’ouvris ma vitre pour avoir un peu d'air frais. Autour de nous, les autres conducteurs semblaient aussi contents de voir repartir leur véhicule mais très rapidement quelques excités se firent remarquer. Comme s'ils pouvaient rattraper le retard accumulé pendant l'embouteillage, ils conduisaient comme s'ils étaient seuls sur la route, doublant sans clignotant et klaxonnant furieusement ceux qui avaient le malheur de se mettre devant eux.

L'un d'eux se déporta violemment juste devant nous pour doubler une autre voiture un peu lente par la droite. Je fus obligé de piler et criait :

« Mais putain quel fils de pute !!!»

Nous étions fous de rage, j’avais failli le percuter et le mec semblait s'en foutre complètement. Submergé par la colère je ne pus m'empêcher de la laisser sortir.

Furieux, j’accélérai brutalement pour pouvoir rattraper le chauffard. Je ne quittais pas le gros 4x4 des yeux et je le doublais par la gauche pour l'empêcher de se déporter. Bloqué entre ma voiture et un camion-citerne, on ne pourrait pas la manquer ! Deux hommes d'une cinquantaine d'année et aux visages sévères étaient à bord du véhicule et tournèrent la tête en fronçant les sourcils pour nous observer. Cynthia le gratifia de son plus magnifique doigt d'honneur et ouvrit la vitre côté passager pour pouvoir le traiter de fils de pute. L'homme au volant réagit au quart de tour, virant à l'écarlate et lui renvoya une bordée d'insultes. Satisfaite de sa petite vengeance, j’accélérai encore pour doubler le camion et pour me réinsérer dans la circulation.

Celle-ci était maintenant plus fluide même si l'autoroute restait chargée. Cynthia regarda l'heure sur le tableau de bord et fut un peu soulagée de voir qu'elle n'aurait pas tant de retard que ça. Je vis du coin de l'œil une voiture se rapprocher dangereusement du côté gauche et elle fit un écart et je jurais encore une fois pour l'éviter. Mais l'autre continua à se rapprocher et je fus obligé de continuer à me décaler sur la droite. Je reconnus le chauffard qu'elle avait insulté et qui la regardait avec des yeux haineux. Je sentis une boule se former dans son ventre ainsi qu'un pic d'adrénaline mais tout ce que je pouvais faire pour l'instant c'était de continuer à partir sur la droite.

L'autre me força à m'engager sur la sortie d'autoroute et m’emboita le pas. Je compris qu'il me suivait mais je ne comprenais pas bien pourquoi. Je tentais de le semer dans les rues de la ville mais il avait nettement plus d'expérience de conduite que moi et il ne la lâcha pas d'une semelle. Cynthia voulut attraper son portable mais ne le trouvant pas elle se souvint qu'il était tombé sous le siège derrière elle. Pas d'échappatoire de ce côté-là. Ce petit jeu dura une dizaine de minutes durant lesquelles la peur de Cynthia ne fit qu'augmenter. Nous avions quitté les rues principales pour de petites rues secondaires peu fréquentées et finalement à un carrefour, là, je fis une erreur et m'engageais dans une voie sans issue. Me retrouvant face à un mur de briques, je voulus faire marche arrière mais l'imposant 4x4 de mon poursuivant eut tôt fait de me bloquer la sortie.

Nous vîmes les portes s'ouvrir et les deux hommes sortir, l’un tenant un cric à la main. Il était assez fort et portait un costard cravate. Grisonnant, il souffrait d'un début de calvitie et portait la moustache. Cynthia se pencha en arrière et voulut récupérer son téléphone pour appeler les flics mais le chauffard frappa un grand coup sur sa portière qui la fit sursauter.

« Sors de là salope !!!».

Cynthia hésita un instant mais il remit un grand coup de cric dans sa portière et je fus obliger de déverrouiller les portes en tremblant. Ils ouvrirent les portes avant d'un seul coup et le moustachu l’attrapa par le bras pendant que je sortais moi de mon côté, je n’en menais pas large car les types étaient grand et costauds

« Coupe le contact et sortez de la caisse connards !!!».

Cynthia et moi obéissions fébrilement et Cynthia se retrouva bientôt en dehors de la bagnole, tremblante et en face d'un homme furieux qui brandissait un cric devant son visage. Mon agresseur me tordait le bras pour m’immobiliser, je voyais bien qu’ils en voulaient surtout à mon épouse.

«Je ne sais pas qui t'a appris à être aussi malpolie mais je vais te donner une leçon...

- Pitié laissez-moi tranquille...

- Ta gueule ! Leçon n°1 : appelles-moi Monsieur.

- Mais... »

Il lui mit une baffe et lui rappela :
J’essayais d’intervenir et je reçu une baffe

« Oui Monsieur ! Et t'a intérêt à faire ce que je dis.

- Ou...oui Monsieur..., parvint-elle à articuler.

- Leçon n°2 c'est pas une salope de ton genre qui va m'insulter alors tu as intérêt à te faire pardonner...»

Il la reluqua des pieds à la tête en sifflotant et utilisa son cric pour palper ses seins.

« Salope oui mais pas la plus moche... ça a l'air bien ferme sans être dur... C'est des vrais ?

- Ou...oui ! répondit une Cynthia terrifiée.

- Oui qui ? demanda-t-il en brandissant le cric.

- Oui Monsieur! ajoute-t-elle précipitamment.

- Bien je vois que t'apprend vite. Montre un peu ta lingerie, enlève-moi ton corsage salope et à genoux !»
Là je compris que cela allait mal se terminer, pour elle et je me permis de dire de ne pas lui faire de mal, que n’était en fait que des insultes de conducteurs.
Toi ta gueule et ferme là, on va s’occuper de toi aussi car en fin de compte c’est toi qui conduisais.

Cynthia s'exécuta mais trop lentement à son goût et il fit glisser lui-même son soutif en dentelle qui rehaussait juste un peu sa poitrine et accompagnait somptueusement le galbe généreux de celle-ci. L'homme siffla encore d'admiration puis il défit sa ceinture et sortit son sexe. Gloria secoua la tête en demandant pitié mais l'autre menaça de « tabasser sa p'tite gueule en cœur » et elle obtempéra. Écartant à contrecœur ses lèvres, Cynthia pris en bouche le sexe dodu du chauffard.
C’est une des rares fois que je vois ma femme sucer un mec, même moi elle me suce que très rarement.

« Applique toi salope... Sinon je te refais ta jolie p'tite gueule. »

Alors elle s'appliqua, faisant rapidement gonfler le sexe de l'homme dans sa bouche. Il n'était pas spécialement long mais très large, avec un gros gland. Tandis qu'elle le suçait, l'autre lui malaxait les seins, glissant sa main entre la peau et le tissu du soutien-gorge. Parfois il attrapait sa tête à deux mains pour mieux l'enfoncer sur sa queue et, de temps en temps, l'homme lui faisait lécher ses deux grosses couilles ou son périnée entre ses cuisses et son anus. Cynthia avait envie de vomir mais elle parvint à se retenir, prenant les deux grosses boules dans sa bouche o ...

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