Il faut que je vous raconte une histoire qui m'est arrivée dans un camping à Pâques, pendant le mois de mai dernier. Depuis plusieurs années, je vais dans un camping naturiste au Cap d'Agde. On y voit les mecs à poil les plus craquants.

Cette année, il y a eu un jour gris, moche, si bien qu'il n'y avait ce jour là que des promeneurs habillés sur la plage. J'étais assis sur le sable, et au loin je vois une silhouette qui marchait au bord de l'eau dans ma direction. Je mate un peu plus précisément, et je distingue un petit mec de 17 ou 18 ans maximum, complétement nu qui avait l'air très mignon. Plus il s'approchait, plus je pouvais même distinguer qu'il était carrément canon. Sur la plage il pouvait peut être faire 17°, pas plus, ce qui rendait sa bravoure plutôt touchante. Il était assez grand, un peu maigre, mais musclé et sec comme un coup de trique.

Quand on a l'habitude des plages naturistes, on reconnait aussitôt les "novices", et en particulier ceux qui ont dû hésiter un bon moment avant de se décider à larguer le dernier petit vêtement. Ils ont dû d'abord payer l'accès au site, puis ils se jetent un jour dans le bain, mais pas de bol, ce jour là, ce gamin s'était embarqué sur la plage qui fait six kilomètres, entièrement nu et il ne devait pas avoir chaud. La plupart des novices, surtout les garçons, prennent presque toujours avec eux une serviette de plage pour se l'enrouler autour de la taille en cas de... trique intempestive... Lui, il était parti en kamikase, comme une bravade à lui-même, ou pour vérouiller son choix et ne pas pouvoir se "déballonner", ou encore pour faire comme les habitués et jouer les affranchis.

Apparemment, il semblait bien qu'il s'infligeait un petit supplice personnel et le mal qu'il avait pour conserver son naturel lui provoquait un certain plaisir. Tous les novices ressentent la même impression, surtout les gamins de cet âge, et lui n'échappait pas à la règle: les sensasions merveilleuses que procurent les premiers instants alors qu'on se retrouve nu dans le vent, sans rempart à la vue des autres, sont si agréables. À 17 ans on a tellement envie de se montrer, de prouver aux autres qu'on est beau, qu'on est grand... qu'on est un homme.

Alors qu'il marchait résolument sur le bord de l'eau, le vent devait exciter ses sens car lorqu'il fut à environ 20 au 30 métres de moi, et quand j'ai pu bien de détailler, je me suis rendu compte qu'il commençait sérieusement à bander. Sa belle et jeune queue était déjà bien gonflée et se retrouvait carrément déjà à l'horizontale. Les mouvements de la marche devait emplifier son plaisir et la rendre encore plus sensible aux caresses du vent. Les gens qui le croisaient se retournaient sur son passage, mais lui était en pleine fuite en avant et ne pouvait plus que marcher avec sa belle gaule, évidente, énorme, incalmable!

Il était trop craquant! Quand il est passé devant moi, je l'ai bien fixé sur sa queue d'abord, puis dans les yeux. Il avait un beau visage d'ange. Son corps fin et musclé semblait à la fois tendu et souple. Il n'a pu éviter mon regard. Un instant, il m'a regardé lui aussi et j'ai pu entrevoir une certaine détresse dans ses grands yeux sombres. Je lui ai fais un grand sourire et lui ai glissé trois mots pour compatir, mais aussi pour le flatter sur sa "prestance" et lui montrer mon admiration. Un court instant, il a presque ralenti, doutant et se demandant s'il allait s'arrêter et venir vers moi... puis il s'est ravisé et a repris son cours, sans prononcer un signe particulier.

Au bout de 20 ou 25 mètres plus loin, le doute l'a repris. Il s'est assis sur le sable comme pour se donner une forme nouvelle de prestance, et bien sûr en espérant que celà calmerait un peu le feu qui lui embrasait le ventre... Le vent soufflait plus fort et une pluis orageuse s'est brutalement mise à tomber. À priori, rien n'y faisait. Très vite il l'a compris. Il s'est remis en marche. Au moment où il s'est relevé, j'ai bien pu vérifier que sa queue n'avait pas pris le chemin du repos; bien au contraire! Elle semblait à présent carrément plaquée sur ses abdominaux. Une merveille!

Il s'est éloigné. Je me suis dit: "Toi mon petit bonhomme, tu n'iras pas très loin. À 150 mètres, tu vas tomber sur les panneaux qui indiquent que le site naturiste prend fin alors tu devras faire obligatoirement demi tour!" Sa marche s'est ralentie. Je l'ai vu s'arrêter et lire les informations, puis rester un instant figé. Il avait compris qu'il allait devoir retourner sur ses pas sous cette pluie forte qui finissait de le démoraliser. Il allait devoir à nouveau affronter tous les regards qu'il avait croisés auparavant.

Il n'a pas réfléchi longtemps. Il avait sûrement un sacré caractère et des couilles... et il est revenu dans l'autre sens, décidé à parcourir à nouveau les six kimomètres de la plage.

La pluie avait complétement rinçé son joli torse qui brillait. En s'approchant, j'ai bien vu qu'il commençait sérieusement à avoir froid. Ses seins pointaient, tout petits, mais sa belle queue, elle, était complètement et irrémédiablement droite comme un I, gonflée comme jamais. Il est repassé devant moi. J'étais debout, comme prêt à l'accueillir. Je lui ai fait mon plus beau sourire pour l'encourager à répondre à ma sollicitude afin qu'il trouve le courage de s'adresser à moi. Bordel que ce petit con était beau! Il est venu vers moi. Enfin! Ce n'était pas encore la détresse complète, mais ça y ressemblait bien.

— Bonjour. Je crois que j'ai été un peu optimiste avec le temps.

Il parlait avec naturel mais sa voix ne parvenait pas à masquer totalement le trouble qu'il éprouvait. Il s'est arrêté à trois mètres. Ses cheveux étaient tous plaqués et collés sur son visage. Il avait plein d'eau dans les yeux, mais sa queue était encore bandée à mort...

— Vous pouvez m'aider? Je me suis embarqué... et c'est la vraie galère...

— C'est dur de calmer ces choses-là à ton âge!

— Heuuu... Oui...

— En même temps, je te félicite! Tu es courageux... c'est irrésistible hein de se retrouver tout nu sur une plage? Tu devais en rêver depuis longtemps, mais ton plan ne devait pas se dérouler comme ça...

— Oui, c'est la première fois que je me suis décidé à essayer la plage naturiste. J'avais pensé que je parviendrais mieux à me contrôler, mais... je ne pensais pas que j'allais avoir autant de mal à LA calmer...

Il était décidémént si mignon, si naïf:

— Pourquoi veux tu la calmer? Laisse la vivre sa vie!

— Mais...!?

— Suis-moi, je suis au camping, à 50 metres juste derrière la barrière de dunes. Je vais te préter de quoi te rechauffer.

Je l'ai accompagné à mon camping car. En chemin derrière les dunes, nous étions davantage à l'abri du vent et comme par magie, la pluie a cessé aussi vite qu'elle était venue. Le garçon retrouvait peu à peu son calme, mais sa queue était toujours extrèmement et fièrement dressée.

— Je ne comprends pas, elle devrait se calmer. Ça ne m'est jamais arrivé un truc pareil.

— Laisse aller! Plus tu y penseras et moins tu parviendras au résultat... Et puis il faut la comprendre, si ça fait des années qu'elle attendait sa liberté, elle en profite!

Il a eu un sourire qui en disait long. En réalité quelque chose dans sa situation finissait tout de même par lui plaire: il voulait se prouver qu'il était un homme, montrer qu'il était beau et fier de son corps: Quelle autre situation aurait pu mieux servir sa cause...

— C'est plutôt flatteur, tu sais... Tu ne peux pas imaginer combien de mecs aimeraient avoir un cadeau comme celui-là entre les jambes!

Nous sommes entrés au camping par une portail qui donne directement sur la plage.

Je l'ai fait entrer sous l'auvent du camion. À l'abri, il régnait une ambiance calme et douce. C'était bon, on n'entendait plus le vent dans les oreilles. Le garçon s'est planté là, tout embarrassé de se retrouver dans cette situation particulière. Son sexe était à nouveau complétement plaqué contre son ventre, le gland complétement découvert. Je le regardais trembler sur ses jambes. Il avait des cuisses et un petit cul tout musclés, des épaules sèches mais larges, un corps bien dessiné. Il m'a regardé, ne sachant plus quoi dire pour commenter son "aventure". Il tremblait de froid et sûrement aus ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite