Cela fait maintenant 4jours que je porte la cage de chasteté que Youssef m’a imposé lors de notre dernière rencontre. Pour l’instant, j’ai réussi à éviter que ma femme s’en aperçoive. Cela veut donc dire que je ne l’ai pas baisée depuis un certain temps. Pour qu’elle ne se doute de rien, j’arrive toutefois à la faire jouir presque chaque soir. Je lui dis que je suis fatigué par le boulot mais je me glisse tout de même sous la couette. Ma bouche se colle à sa chatte et je m’applique à lui faire un bon cunnilingus comme elle aime. Une fois qu’elle est bien chaude et ouverte, ma main s’empare du gros godemichet que j’ai caché sous l’oreiller. Je glisse l’énorme sexe factice dans sa chatte, j’actionne la vibration au maximum et en moins de 5 minutes elle est emportée par un violent orgasme. Quelques instants plus tard, elle est endormie. Mon sexe est fortement compressé dans sa cage d’acier inoxydable et je suis frustré de ne pas pouvoir bien me branler pour soulager mes pulsions de mâle.

Les jours passent et je suis de plus en plus en manque. Je mets un sms à Youssef lui demandant de me libérer de ma cage. Il me répond « Dis moi quand tu peux passer dans ma chambre en tenue de salope. On verra alors ce qu’on peut faire. ». Je décide alors de poser une demi journée de RTT pour le voir.
En ce mardi matin, je me lève comme d’habitude et je fais comme si j’allais au boulot. Ma femme se prépare de son côté pour aller également au travail. Nous sortons ensemble de l’immeuble et comme tous les matins, tandis qu’elle se dirige vers la voiture qu’elle prend pour rejoindre son lieu de travail, je me dirige vers la station de métro. Mais au bout de quelques minutes, en vérifiant qu’elle est bien partie, je reviens à notre appartement et me prépare pour rejoindre Youssef qui ne travaille pas ce jour.

Une fois transformée en belle petite salope, je monte discrètement au 7ème étage et frappe à sa porte. Il m’ouvre et je découvre une nouvelle fois qu’il n’est pas seul à m’attendre. Il y a là avec lui deux autres hommes plutôt âgés. A peine suis-je installé sur le petit canapé que Youssef me demande de soulever ma mini jupe pour montrer ma cage de chasteté à ses copains. Puis il leur dit en rigolant « Cette petite salope ne peut plus baiser sa femme, quand elle sera bien en manque c’est nous qui nous en occuperons ».

Dans l’immédiat, c’est moi que Youssef a l’intention de bien baiser et de partager. Je me retrouve donc vite en porte jarretelles et bas noirs, haut perchée sur mes escarpins. Youssef dit à ses potes « Regardez là comme elle est bandante avec sa cage. Une vraie petite femelle privée de son clito ! ».
Bien vite je me retrouve à quatre pattes sur la moquette de la chambre et Youssef se place derrière moi. Je suis un peu serrée mais cela l’excite et il me donne des claques sur les fesses en me traitant de tous les noms. L’un de ses copains se place devant moi et me glisse son gland circoncis entre les lèvres. Je m’applique à bien sucer cette belle queue qui gonfle dans ma bouche. Soudain, Youssef tend une petite clé à son deuxième copain et lui dit « Tiens Mamadou, libère son clito et profites en un peu ». Le dénommé Mamadou se glisse sous moi, ouvre la serrure et libère mon sexe. Quel bonheur de ne plus sentir cette horrible cage me compresser le sexe. Mamadou me branle doucement et, une fois que je bande, il me tète le gland. Youssef me dit « Oui petite salope, Mamadou aime bien pomper comme toi. Mais rassure toi, il va ensuite bien te niquer ».

Faute d’avoir baisé Florence ma femme depuis une semaine et d’avoir pu me masturber, je ne tarde pas à jouir de longs jets de foutre dans la bouche de Mamadou. Pendant l’heure et demi qui suit, je vais sucer et me faire baiser par les trois hommes. Ils m’obligent à prendre des positions variées et mes deux orifices sont sans cesses occuper. Cela m’excite et je supplie mes trois amants de poursuivre en leur disant que je suis leur petite salope, leur petite pute, leur bourgeoise et qu’ils peuvent abuser de moi. Alors que je pense pouvoir repartir tranquillement une fois que les trois hommes sont vidés de tout leur foutre, Youssef dit à ses copains « Attrapez moi cette petite salope, on ne va pas la laisser repartir comme ça ! ». J’ai beau résister, les deux copains réussissent à m’immobiliser par terre tandis que Youssef remet la cage de chasteté en place. Je proteste mais il refuse de m’écouter et me flanque dehors. Lorsque je redescends à mon appartement, je suis vannée et j’ai le cul en compote.

Pendant la semaine qui suit, Florence prétexte ne pas être en forme pour refuser le cunnilingus et le godemichet que j’ai pris l’habitude de lui administrer. Pour être honnête, la situation ne me gêne pas trop car ainsi elle ne s’est toujours pas rendue compte que je porte une cage de chasteté. Si elle s’en apercevait, je me demande bien ce que je pourrai inventer pour justifier la situation. Peut-être qu’un truc comme « Je m’impose moi-même le port de la cage car je trouve que cela stimule ma libido lorsque je l’enlève. Quand je porte la cage, je te désire plus fort et quand je la retire, je suis encore plus endurant ». Le problème c’est que si elle me demande de vérifier ma virilité, je vais être bien embêté pour retirer la cage puisque c’est Youssef qui a la clé. Bon, pour l’instant, je ne vais pas me prendre la tête avec ça !

Ce soir je suis très surpris car au moment de se mettre au lit, je vois que ma femme a mis l’une de ses nuisettes les plus sexy. Elle est jaune paille presque transparente, lui arrive au ras des fesses et se noue devant avec un petit lacet noir. Je suis d’autant plus intrigué qu’elle ne l’a met que très rarement. Une fois au lit la lumière éteinte, je tente une approche pour la caresser et la faire jouir de ma main mais elle me dit « Non chéri, je suis vraiment crevée ce soir. Nous avons une réunion tout l’après-midi ». Elle m’embrasse puis se tourne de son côté. Je suis excité mais je n’ai même pas la possibilité de me branler puisque ma queue n’est pas accessible.

Vers 23h00 ou 23h00, dans un demi sommeil, j’entends Florence qui se lève ; je pense alors qu’elle va aux toilettes pour un petit besoin nocturne. Mais je l’entends qui enfile sa chemise de nuit et qui sort le plus discrètement possible de la chambre. Je suis ...

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