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Les années soixante (1)

Publié par : bimurcirc le 23/06/2024

Les années soixante en France. La pruderie le dispute à la pudibonderie. Le bikini fait son apparition sous l’égide statuesque de Brigitte Bardot, puis la mini jupe nous arrive l’année suivante de Grande Bretagne à l’initiative de Mary Quant. Quelle horreur! Mon Dieu! La peau nue apparaît parfois en public… Pas d'internet ni de porno accessible... Une hypocrisie généralisée sur les sujets du cul... Nous sommes à des années lumières de l’époque actuelle.

Je m’appelle Pierre G. J’étais fils unique et nous habitions dans l’Ouest parisien. J’étais dans un établissement scolaire privé de Neuilly tenu par des curés… Nous étions souvent en shorts courts.

- C’est plus sain, nous disaient ils.

Bien évidemment, à l’époque, ce collège n’était pas mixte et n‘accueillait que de jeunes garçons, de milieu aisé.

Quelquefois mon professeur de latin, un prêtre d’une petite soixantaine d’années, l’abbé Q., pendant le cours, devant mes camarades, me faisait monter sur l’estrade pour écrire quelque chose au tableau puis me demandait de venir s’asseoir sur ses genoux, en fait sur ses cuisses, et, tout en continuant le cours, me caressait la peau nue du haut des jambes et le short. Rien de tout cela ne me paraissait surprenant le moins du monde. Et donc je me laissais faire tout naturellement, sans serrer les cuisses, mais au contraire en les écartant pour permettre à cette main de parcourir ma peau, ce qui me semblait tout simplement affectueux…

Mes parents avaient de très bons amis habitant Mexico City. Les P. étaient retenus là- bas, lui par ses activités professionnelles - il représentait un groupe pharmaceutique sur le continent américain -, elle par une maladie qui la rongeait, un cancer des os.

Ils avaient un fils unique, Philippe, qui faisait ses études en France, à Joigny dans l’Yonne, dans un pensionnat catholique. Mes parents l’accueillaient donc chez eux, dès qu’il avait la possibilité de s’en échapper, que ce soit certains week ends ou lors des petites vacances scolaires. A l’époque il avait 19 ans, était plutôt beau garçon, grand, bien foutu et manifestement le savait et en profitait.

Lorsqu’il venait chez nous, il avait une chambre et une salle de bains indépendantes de la mienne. Nous nous croisions donc uniquement dans les pièces communes et il ne pouvait donc y avoir aucune ambiguïté dans l’esprit de mes parents quant à la nature de nos relations.

Philippe a proposé à mes parents, pour les remercier de leur hébergement, de m’aider lorsque j’en avais besoin dans l’accomplissement de mes devoirs ou dans l’apprentissage de mes leçons. Ceci nous a, évidemment et naturellement, rapprochés l’un de l’autre. Il était devenu ainsi le grand frère que je n‘avais pas eu. Je lui faisais donc une absolue confiance, la différence d’âges qui était la notre, me portant à ne rien mettre en doute de ce qu’il me proposait.

Quelquefois, Philippe se rendait chez l’oncle de sa mère, Michel H., et son épouse, Jocelyne, lui âgé d’une soixantaine d’années, elle de quinze ans environ sa cadette, et demeurant à Neuilly, dans un bel hôtel particulier. Ils n’avaient pas d’enfants et n’avaient pas souhaité accueillir leur petit neveu pour des raisons que nous ignorions.
Les week-ends se succédaient ainsi au cours de l’année scolaire, puis en Janvier, alors que Philippe était rentré du Mexique où il s’était rendu pour les vacances de Noël, il a proposé à mes parents de m’amener un Samedi ou un Dimanche chez son grand oncle Michel. Dans la maison de ce dernier, se trouvait, paraît-il, une grande salle de jeux ainsi qu’une piscine intérieure. Le fait qu’un couple sans enfants ait une salle de jeux n’a bizarrement pas surpris mes parents - mais il est vrai qu’à l’époque la suspicion n’était pas la règle -, et ils ont donc autorisé Philippe, dans la mesure où cela ne dérangerait pas son grand oncle et son épouse, à m’amener chez eux.

Ce qui fut dit fut fait.

Et c’est ainsi que deux semaines plus tard, j’accompagnais Philippe pour rendre visite à sa famille.

Une jolie maison dans une impasse. Michel H. vient ouvrir lui même au coup de sonnette de Philippe, ce Samedi en début d’après midi.

- Entrez les garçons! Bonjour Philippe!
- Bonjour mon oncle! Voici Pierre, le fils des amis de mes parents dont je t’ai parlé.
- Bonjour Pierre! Sens toi ici comme chez toi! Nous n’avons pas d’enfants, mais nous adorons, Jocelyne et moi, en accueillir!.

Michel a la soixantaine bedonnante, des cheveux gris, des bras et des jambes encore très musclés. Il est vêtu d’un short et d’un tee shirt qu’il remplit totalement.

- Nous sommes à la piscine avec Jocelyne. Philippe, emmène Pierre jouer dans la salle de jeux, et, quand vous en avez envie, venez nous retrouver!

Philippe m’a ainsi amené dans une grande pièce pleine de jeux les plus divers. Bien que n’étant pas dépourvu de ce genre de choses chez moi, tant s’en faut, j’étais émerveillé et je devais avoir des étoiles dans les yeux. Philippe gentiment m’a chaperonné et a joué avec moi pendant probablement une à deux heures.

Puis nous sommes descendus à la piscine où se trouvaient Michel et Jocelyne. Tous les deux totalement nus, allongés sur des chaises longues, les cuisses largement écartées. Jocelyne se lève aussitôt, et viens vers nous.

- Bonjour Philippe! Bonjour Pierre! Philippe nous a beaucoup parlé de toi!

Elle nous embrasse gentiment l’un et l’autre, tout a fait naturellement. C’est une grande et belle femme, aux yeux verts et aux longs cheveux blonds, à la poitrine ronde très généreuse, qui tient bien en place, avec des aréoles larges et sombres, de gros bouts très saillants ainsi qu’une touffe très fournie au dessus de la chatte de laquelle dépassent deux lèvres gonflées, luisantes et roses. Je suis évidemment troublé… Je n’ai jamais vu d’adulte nu, homme ou femme, autrement que sur des magazines pornos se transmettant en cachette… Je regarde donc aussi discrètement que possible, alternativement l’un et l’autre. Michel est resté allongé, une grosse bite molle et lourde écrasant une énorme paire de couilles. Le gland est a peine sorti du prépuce : je n’en ai jamais vu ainsi, je suis circoncis… Il est totalement lisse!

- Pierre vient avec moi à la cuisine! Il est l’heure du goûter! dit Jocelyne. Je la suis donc docilement, fasciné par la profonde raie de son cul qu’encadrent deux globes aussi ronds que fermes. Le mouvement de ses hanches est lascif…lorsqu’elle marche, elle écarte légèrement les cuisses, ce qui me donne de derrière une vue imprenable sur ses limaces pendouillantes qui brillent de mouille. Elle me fait asseoir et me prépare de quoi rassasier mon jeune appétit pendant que je la détaille, recto et verso, sans qu’elle fasse quoi que ce soit, bien au contraire, pour cacher tous ses attributs…

Quand elle se penche vers moi pour verser du lait dans mon verre, ses gros seins sont si proches de mon visage que je pourrais presque les lécher, ou en mordre les tétines arrogantes. Je sens ma bite qui se soulève légèrement à la vue de ce spectacle. Elle le remarque, mon short devenant trop petit, ne fait aucun commentaire, mais regarde le tissu qui se tend, se poste debout en face de moi et écarte bien les cuisses, tout en s’humectant la bouche de ses lèvres…je n’en perds pas une miette! La salope en profite…elle se montre, elle aime manifestement cela. Les lèvres roses de sa chatte se détache du buisson fourni, et pendent de telle sorte qu’il est impossible de les ignorer.

- Prends ton temps, mon garçon! Je sais que Michel doit parler quelques instants avec Philippe.

Je déguste aussi bien la vue que mon goûter. Je sens une douce chaleur envahir mon entrejambe…

- Philippe ne t’avait peut être pas dit que lorsque nous sommes chez nous à la piscine, nous sommes tous nus. J’espère que cela ne te gêne pas?
- Non Madame, pas du tout.
- Appelle moi Tante Jocelyne s’il te plait! Et sens toi ici comme chez toi!
- Merci beaucoup, c’est délicieux.
- Je vois, dit-elle en matant ostensiblement mon short tendu. Je rougis, car je la vois sourire en me regardant droit dans les yeux.
- Bon! Tu as fini, viens donc à la piscine rejoindre Philippe et son oncle.

Je me lève et la suis, le regard toujours collé à son cul et à cette raie qui doit cacher un trésor que je ne vois pas…Lorsque nous arrivons près d’eux, Philippe se relève. Il a enlevé ses vêtements et se trouve lui aussi nu comme un ver. Je m’aperçois qu’il a un bel engin épais à moitié raide, le gland sorti, totalement lisse lui aussi à ce niveau.

- Philippe, emmène Pierre au vestiaire se changer s’il te plait! Et propose lui de prendre une douche avant de se baigner.

Philippe me dit de le suivre dans une pièce sans porte, juste à côté des deux chaises longues de Michel et Jocelyne qui se sont rallongés tous les deux. Je suis aussi fasciné par le cul et la raie de mon ami. Tout est ferme et lisse.

- Tiens, déshabille toi là, pose tes affaires sur cette chaise et passe sous la douche avant de mettre ton maillot. Je pense que tu préfères le garder?
- Heu, je sais pas.
- Écoute, garde le cette fois ci et quand tu te sentiras à l’aise, tu l’enlèveras.

Me voici tout nu, je traverse la pièce, un peu gêné car je sens les regards des trois se poser sur mon anato ...

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