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Les années soixante (2)

Publié par : bimurcirc le 23/06/2024

Me voici donc nu comme un vers, le regard des trois autres tourné vers moi et mon entrecuisses : le traitement que lui avait infligé Michel aussi bien que ses propos m’avaient fait réagir…Les trois se léchaient les babines - aux sens propre et figuré du terme - d’envie, d’excitation et de pensées lubriques. J’avais la bite raide, j’étais nu et totalement exposé…

Après avoir nagé un moment, je devais reconnaître que ce que m’avait dit Michel était juste et que la sensation de l’eau sans obstacle était un vrai plaisir…si j’avais connu le terme à l’époque, j’aurais dit jouissif.

En sortant, j’étais donc toujours dans un bel état…Circoncise, ma bite était fine mais avec déjà un gros noeud. Mes couilles n’étaient pas grosses mais très rondes et très fermes, la peau très tendue.

Les trois se touchaient, sans aucune gêne, et sans chercher à se cacher, en matant mes parties. Ils se léchaient les lèvres, la langue à peine sortie... Les voir ainsi, sans que je sache pourquoi, a accru mon excitation et donc ma bandaison… j’étais maintenant vraiment raide, le noeud et les couilles gonflés.

- Ca t’a fait du bien, mon chéri, m’a dit la vieille salope tout en continuant à se triturer la moule. Tu es en pleine forme!

Philippe s’est levé ; il était assis entre les cuisses de Michel.

- Viens que je te rince et te fasse du bien.

- Je l’ai ainsi suivi jusqu’à la douche. Les deux vieux se sont rapprochés. Après avoir fait coulé l’eau depuis le pommeau zénithal, et m’avoir placé dessous, Philippe s’est mis rapidement à genoux devant moi, m’a pris la queue dans la bouche sans que j’ai le temps de faire quoi que ce soit pour m’y opposer, tout en se paluchant la pine de la main droite et a commencé à me sucer le dard a fond pendant que je voyais les deux vicieux s’astiquer la bite et la moule d’une main, se malaxer les tétines de l’autre. Je ne bougeais pas, tellement cela me faisait du bien, était agréable et que le spectacle que m’offrait les deux vieux pervers me fascinait. Je matais la queue veinée de Michel dont le gland était totalement sorti et luisant, autant que la chatte ruisselante et les grosses mamelles aux bouts durs et proéminents de Jocelyne. Philippe faisait tourner la langue autour de la hampe, autour du noeud, sortait ma bite de sa bouche pour cracher dessus avant de la renfourner jusqu’à toucher les couilles avec ses lèvres. Au bout d’un moment de ce régime, j’ai crié en crachant mon jus. Au même instant, Philippe a reculé son visage pour permettre aux deux vieux de voir la sauce qui giclait de mon noeud. J’étais cramoisi. En même temps que soulagé…et j’ai bien sur adoré. Philippe s’est relevé.

- Lave toi et rhabille toi, m’a t il dit, pendant ...

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