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Ma 1ère fois au camping – ma 1ère sodo

Publié par : hungrycub59 le 18/09/2020

A 21 ans, je rencontre au camping Laurent, qui deviendra mon tout premier petit ami.

Notre rencontre a démarré par un plan sexe dans les sanitaires collectifs, en pleine nuit. Je vous raconte cela :


Cet été-là, je me retrouve quelques jours dans un camping avec de la famille éloignée en plein été dans le Cher. Je dormais dans une tente à côté de la caravane de mon cousin éloigné, sa femme et leur petit gamin de 7ans.
A mon âge, j’étais quasi puceau, jamais embrassé qui que ce soit, juste 6 mois auparavant, j’avais fait l’expérience d’une 1ère fellation, furtivement pratiquée sur un homme de 60 ans que j’avais rencontré sur un site internet qui n’existe plus aujourd’hui.
Donc presque novice niveau sexe mais finalement suffisamment certain de mon attirance pour les hommes. Je me dilatais très souvent l’anus avec ce que je trouvais, jusqu’à de petites bouteilles de déo etc. A cette époque l’internet n’était pas bien développé, les smartphones n’existaient pas, rencontrer des gars de son âge pour commencer, peut-être une histoire n’était pas évident.

Sur un emplacement du camping, visible depuis le nôtre, un peu éloigné malgré tout, s’était installé un suisse d’une bonne quarantaine d’année, grassouillet barbu, dans une caravane également. Je l’avais remarqué car il était seul, ce que je trouvais étrange et en plus venant de suisse… J’imaginai la destination quelque peu exotique ; pourquoi venir sous la même latitude ? De plus il avait une attitude, une manière de se mouvoir qui me laissait peu de toute sur le fait qu’il soit gay.
Cet après-midi-là, il faisait beau mais pas trop chaud. Je lisais seul, tranquille, en petit débardeur et short sur mon transat.

J’entends des pas qui arrivent devant moi, par réflexe, je descends mon bouquin de mon nez et vois passer un grand et beau jeune homme de mon âge, brun, plus costaud et musclé que moi, marchant rapidement avec son sac à dos, ses tongues et son petit short moulant qui lui faisait un cul d’enfer.
Je le mate passer sans pouvoir détourner le regard d’une seconde, même lorsque sa tête se tourne vers moi.
En un éclair je sens le poids de ses yeux qui me passent aux rayons X de la tête aux pieds, un léger sourire, puis il continue sa route pour arriver sur l’emplacement du suisse.

Je me suis tout de suite posé la question de leur relation. Etaient-ils gay ? En couple ? Le gars m’a maté ou ai-je rêvé ? De là où je suis, je ne les vois pas très bien, je me lève donc à plusieurs reprises de mon transat, l’air de rien, pour jeter un œil de leur côté pour observer ce beau gars.
Je les vois se marrer, ils semblent proches, mais rien d’équivoque. N’ayant quasiment jamais parlé ou vu en réel de gay de ma vie, je me dis que c’est peut-être moi qui m’invente une histoire.


Je vous passe les détails, mais j’ai eu l’occasion de le croiser à plusieurs reprises avant la fin de la soirée. Et même une scène qui m’a mise mal à l’aise lorsque les deux, le suisse et le mec semblaient me regarder au loin et parler de moi…
Après le diner j’aimais bien m’isoler un peu et marcher derrière le camping aux abords du bosquet et de la rivière.
Plus tard, j’ai appris qu’il m’avait volontairement suivi, mais à ma plus grande surprise je me retrouve assis au bord de l’eau, le soir tombant à côté de ce jeune homme qui entame la discussion de manière déconcertante pour le grand timide que j’étais à l’époque.

Le temps s’arrête et j’apprends pas mal de chose sur lui, son goût pour le foot, l’origine donc de ce fessier musclé, le fait qu’il était originaire de la même région que moi, qu’il avait rencontré ce pote suisse via un site internet mais qu’ils se voient pour la première fois en insistant bien sur le « en toute amitié ».
Je lui raconte mon histoire, d’ancien obèse et en retour j’ai droit à des compliments sur mon physique. Des compliments de mon point de vue, très inhabituels entre hommes.
La conversation continue jusqu’à de nouvelles allusions sans équivoques à propos de nos amours jusqu’au moment où il me dit que sa mère l’avait mis dehors car il était tombé amoureux d’un garçon mais que l’histoire est désormais finie.

Mon sang ne fait qu’un tour à ce moment, je deviens rouge pivoine, mes tempes palpitent et je tremble. Tout se met en ordre dans ma tête et je comprends d’un seul coup que ce beau mec est gay, qu’il m’a repéré en arrivant, et qu’il me drague depuis 45 minutes.

En tremblant, je lui bredouille quelques mots pour partir vite de cette situation inédite :
_ « bon, je te laisse, il fait noir… les moustiques sont de sortie »
_ « ah, dommage… Je ne t’ai pas choqué avec mon histoire, j’espère »
_ « non, pas du tout… » lui dis-je en me relevant de l’herbe
_ « j’étais bien avec toi… T’es mignon en plus »

A entendre ces mots, les tout premiers mots doux de toute ma vie, mon cœur s’emballe et semble vouloir faire exploser ma poitrine. Laurent se relève également se secoue l’arrière du short et m’attrape la main en me regardant droit dans les yeux.
Je reste figé. Sa main est chaude, puissante, je me sens tellement vulnérable et intimidé. Il fait un pas de plus vers moi pour approcher son visage, incliné vers le mien sans bouger. Et c’est moi qui le premier est venu poser mes lèvres sur les siennes avec douceur.

Je me suis aussitôt retiré et ai regardé autour de nous s’il y avait du monde ou pas. Gros coup de stress, je ne pouvais pas me faire remarquer de la sorte, la peur, la panique m’emporte et je parts à toute vitesse alors que Laurent tente de me retenir et de me suivre un moment.

La nuit tombée, mes cousin, cousines et moi avions pris l’habitude de veiller un peu le temps que le petit s’endorme. Laurent est passé à deux reprises en nous regardant, et en me dévisageant. Tandis que je détournais la tête de peur.

Et c’est à l’heure où je me dirige vers les sanitaires avec ma sacoche de toilette, serviette, une dernière fois avant d’aller dormir que Laurent en profite pour venir me parler.
_ « Ca va ? Tu n’as pas aimé ce baiser ? » me demande t-il avec un sourire magnifique et coquin. « Parce que moi j’ai beaucoup aimé ».
_ « Chutttt, moins fort, t’es fou ? » « Non, enfin si, j’ai aimé, mais j’ai peur »… « je peux pas me faire gauler avec mes cousin, cousine, personne ne le sait pour moi… »
_ « je comprends mais j’ai envie de recommencer à t’embrasser »… « on peut se trouver un endroit discret ? » Rejoins-moi cette nuit »
_ « où ça ? » lui demande-je
_ « ben à la caravane. J’en parlerai à Jérôme. On sera discret »

Après un refus de ma part, un rdv est pris à 1h du matin, aux sanitaires collectifs puisqu’il y a des douches, des pièces qui ferment à clé et donc la possibilité d’être ensemble quelques instants et discrets. Pourquoi cette heure précise ? Aucune idée.


Je pars dans ma tente, à scruter l’heure.
Les 1h du matin sont arrivés, c’est le moment de sortir j’aperçois Laurent dans l’allée patientant et guettant ma sortie. Je lui fais un petit signe pour lui dire de partir le 1er.
Arrivés aux sanitaires, je me dirige vers l’espace douche et lavabos. Après tout, qui viendrait prendre une douche à 1h du matin ? J’entre discrètement, suivi de Laurent dans un grand espace lavabo individuel qui se verrouille de l’intérieur.

Une fois en sécurité, je découvre la volupté et l’épaisseur de ses lèvres.
Nous nous embrassons de très très longues minutes. Nos langues se touchent, il tient ma tête avec ses deux mains et les miennes se posent sur ses hanches. Ce moment était fantastique, une découverte totale pour moi. Très timide au début, mes mains passent en dessous de son Tshirt et Laurent qui était vraiment bouillant mais respectueux et tendre, tente des manœuvres de plus en plus osées mais très progressivement en surveillant ma réaction et mon consentement.

Il est beau. Des poils noirs de son torse ressortent du col de son Tshirt. Il a de gros bras musclés. Il me plait terriblement, je semble lui plaire également. En tout cas, il me désire, je le sens.
Après ces longues minutes de baisers, l’excitation étant à son comble, je lui passe la main sur le paquet et découvre une bosse énorme. Vraiment énorme. Je lui desserre la ceinture, son short tombe et je m’accroupie pour venir plaquer mon visage sur son boxer.
Je sens cette odeur de lessive et de légère transpiration, je frotte mon visage sur ca verge toute dure dont un bon morceau sortait de son caleçon noir maculé de petites taches de mouille. Sans le baisser je viens passer quelques coups de langue sur son très imposant prépuce ; Laurent garde toujours une main derrière mon cou et l’autre sur l’épaule.
Je libère sa très large queue, Laurent en profite pour enlever short et boxer qui lui restaient sur les chevilles et je me retrouve avec une magnifique queue sous le nez que je m’empresse de venir mettre en bouche.

J’y vais doucement, mais Laurent est très excité. Je lui dis à plusieurs reprises de se taire car il est très expressif à chacun de mes coups de langue et vas et viens sur sa verge. Il enlève son Tshirt et je découvre un corps bien fait, épais, pas trop musclé mais très poilu. La virilité incarnée.

Laurent m’attrape le bras et me relève. Il est nu. Moi pas encore. Il me désha ...

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