Voilà, j’etais un homme hétérosexuel marie 2 enfants, une vie normale. Il a une douzaine d’années, la soixantaine, une vie sexuelle a l’arrêt, ma femme n’éprouvait plus d’envies.
En navigant sur internet sur divers sites dont vous devinez lesquelles, diverses et variées, ma libido se réveilla à nouveau. En passant dans le rayon lingerie d’un grand magasin je m’arrêta devant celui des bas et collants, j’ai ressenti une sensation étrange dans mon bas ventre. Troublé, en rentrant chez moi, je pris une paire collants et les enfilât, j’ai eu la gorge qui se serra et carresa mes cuisses lentement, ça m’a fait frissonner et remonta ma main vers mon sexe, celui ci était déjà petite erection et ne mis que quelques secondes pour se tendre et devenir bien dur, j’ai retiré ma main car déjà je ressentais cette merveilleuse sensation et cru que j’allais jouir. Puis je me suis mis devant le grand miroir pour m’apercevoir que mes jambes ressemblaient à celles d’une femme, longue et lisse, le relief de mon sexe prisonnier m’impressionna je voulais le cacher mais comment faire. Je m’imaginais être femme et ressentir des sensations féminines. J’étais de plus en plus excité et éprouvais des difficultés à me retenir, j’avais presque une douleur dans le ventre mais je trouvais ça merveilleux. Je me retourna pour voir mes fesses, et enfermé dans ce collants je les voyais tout à fait autrement, celles d’une femmes. Je me suis réellement feminine. Je suis retourné face au miroir, me caressa doucement le sexe et j’ai senti la jouissance monter et arriva à l’explosion j’ai poussé un cri tellement la sensation était intense, et inonda mon collant, le souffle haletant et mis quelques secondes à retrouver mon souffle.
Par la suite, j’ai passé beaucoup de temps regarder les dessous feminins, je voulais essayer un soutien-gorge et une petite culotte en dentelle et des portes jarretelles.
Puis un jour je décidais d’aller dans une boutique, ce que je fis, non sans appréhension, et prétextant que c’était un cadeau pour ma femmes, la vendeuse me mis à l’aise et me présenta un ensemble. Je n’arrivais pas à bien m’exprimer et une fois de plus elle pris les devant et me dit, si vous voulez vous pouvez les essayer. J’avais les joues en feu, et sort de son comptoir vers le salon d’essayage en me faisant passer devant elle, referma le rideau. J’étais pris au piège ne sachant plus quoi faire, honteux, je voulais m’échapper mais impossible. Le rideau s’écartant à nouveau j’étais toujours habillé. Elle me rassura e ...

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