Ma voisine a des cuisses puissantes et lorsqu'elle m'étreint je sais que je dois être endurant car elle ne me libérera pas avant d'avoir eu entière satisfaction. Assez âgée, la soixantaine, cela ne l'empêche pas d'aimer se faire monter par un homme. Petite, bien dodue, avec d'opulentes rondeurs autant en haut qu'en bas, ses formes m'obsèdent et m'excitent autant dans mes pensées que lorsque je la vois.

L'invitation à venir boire un café était un beau prétexte à m'attirer chez elle. A un moment où elle préparait ce breuvage dans sa cuisine, je me suis trouvé derrière elle, et je ne pus m'empêcher de l'enlacer, mes mains empoignant sa voluptueuse poitrine. La massant à la fois avec douceur et avidité, mes doigts sentirent durcir aussitôt la pointe de ses tétons. Elle ondula de la croupe, me faisant ainsi bien bander. Enfin, pas tout à fait ; ma queue était déjà bien redressée auparavant, mais elle se raidit bien plus au contact de ses agréables mouvements. Mon massage du haut et son massage du bas nous mirent tous deux dans tous nos états. Bien vite je baissais mon pantalon et comme elle n'avait qu'une petite robe légère et bien courte, style "ras du cul", et ne portant pas de culotte (elle avait du prévoir la situation) mon membre trouva sans hésiter le chemin de sa chatte et s'y introduisit d'autant plus facilement qu'elle mouillait déjà pas mal. Les quelques petits va et vient de pénétration firent monter rapidement nos désirs réciproques. Elle se pencha en avant pour mieux me tendre son derrière, j'abandonnais alors ses seins pour la tenir par les hanches, et mes mouvements devinrent plus rapides, plus profonds, s'accélérant au rythme de ses gémissements, de ses encouragements oraux, de ses couinements. Avant que d'éclater en elle, je me retirais momentanément pour la doigter et humidifier mes doigts avec sa mouille et lubrifier ensuite son autre trou. Je la repris alors pour lui mettre ma queue dans son cul qui ne demandait que çà et j'éjaculais violemment en elle, pendant que sa cyprine inondait le carrelage de sa cuisine.

Il était temps de reprendre quelques forces, et nous pûmes nous attabler pour boire tranquillement le café, assis face à face. Au bout d'un moment je sentis son pied venir caresser mon entrejambes et je devinais à son sourire quelques pensées lubriques qui devaient lui traverser l'esprit. Cela réveilla en moi un regain d'ardeur. Elle fit tomber sa cuillère par terre, et disparut sous la table pensais-je pour la ramasser. Mais juste après je sentis un bien-être monter en moi, la bouche d'une femme peut ainsi souvent apporter bi ...

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