Maître d'un soir...la tournée en campagne, étapes un et deux !
Bear, bien en chair, je vis en campagne, je suis en manque de sexe réel depuis plusieurs jours.
Ici, c'est toujours un peu compliqué de rencontrer au-delà de mon cercle d'habitués.
Parfois, je vais en ville, dans les saunas, cinémas ou sex-shops disposant d'un back-room, ou d'une salle de projection.
Les clubs gays, peu nombreux dans nos régions sont fréquentés par des jeunes gens, avec des musiques trop fortes pour moi, je ne m'y sens pas vraiment à l'aise pour draguer.
Cette fois-ci, j'ai lancé quelques annonces sur les sites de rencontre gays que je visite habituellement pour trouver un bon mâle actif, un amateur de gros ours docile, voire soumis.
Je cherche un plan direct avec un vrai homme, de préférence musclé, trapu, voire enrobé, ou encore de toutes sortes de looks mais bien monté, si possible directif.
J'annonce ma présence sur plusieurs aires de parking non loin de chez moi, et sur mes spots de rencontres habituels.
Deux messages tombent de suite sur« lieux de drague », et le profil du premier contact me plait particulièrement .
Sur ses quelques photos, il a un physique proche du mien, donc bear, il cherche un passif docile pour« un plan cho sans blablas... ! »
Il m'intéresse et je lui envoie dans la foulée un post pour lui proposer une rencontre.
La réponse vient assez rapidement, il me dit être lui aussi intéressé par mon annonce, il a très envie d'une grosse lope soumise me dit-il et me demande, ou plutôt m'ordonne de lui donner mon code d'accès à mes photos privées.
Son ton autoritaire me fait kiffer et je lui envoie un texte en mec docile et l'accès à mes photos où l'on me voit en touze, et d'autres où je suis en action aux ordres d'un maître cuir.
Retour de message direct, je dois me trouver à vingt heures précises, ce soir, sur une petite aire de pique-nique d'une départementale à dix kilomètres de chez moi .
Je devrais être préparé, douché et intimement propre, et apporter un baise-en-ville bien garni.
Il m'attendra dans son véhicule, une petite camionnette grise Peugeot, nouveau modèle.
Mhhh...à la lecture de ses commandements, j 'ai la montée d'adrénaline que je connais bien, et j'en suis émoustillé de partout !
Je lui renvoie une réponse « A vos ordres, Monsieur, j'y serai. » j'évite de l'appeler Maître, c'est un peu prématuré, mais j'en ai bien envie !
A vingt heures moins dix, après m'être préparé, j'arrive sur le lieu du rendez-vous.
La petite camionnette est déjà là, je sens mon cœur battre plus fort d'excitation et me gare derrière lui. Je descends, j'ai chaud partout, le cerveau en vrille, le cul en feu !
J'arrive à hauteur de la cabine, où je trouve mon rendez-vous au portable, un bear visiblement bien en chair, mais pas plus que moi. Il n'a pas de barbe, juste une petite moustache. Dans les années 80, c 'était le look beauf, ça me plait bien, pas envie d'être dominé par un jeune bellâtre genre « Apollon » !
Il baisse sa vitre et me dit :« Tu es en avance salope, je t'avais dit vingt-heures, tu seras puni ! Tu es prête à en prendre comme une bonne lope ? » « Oui Monsieur , je suis à vos ordres »« Appelle-moi Maître, connasse ce soir tu vas être ma pute mâle, c'est compris morue ? »
« Oui Maître, ce soir je suis votre putain ! »
Il me demande de le suivre, de stationner ma voiture sur le parking de l'église du prochain village et de le rejoindre dans son véhicule.« Je suis toujours dans un état d'excitation maximum, mon cœur bat très vite, je sais que je suis en route pour de nouvelles aventures !
A peine partis, il me demande de faire mon boulot de salope « Occupe toi de ma queue, connasse ! »Je sens que cela va être mon surnom de la soirée !
Je tend la main vers sa braguette, le zip est baissé et sa queue est déjà sortie de son slip. Je commence par la caresser et la malaxer, et au fil des kilomètres et de mes caresses elle devient dure comme béton, je sens la mienne le devenir aussi, dure !
J'adore, j'adore cette sensation du sexe au repos qui se mets en érection , il y a là un côté magique qui m'a toujours fasciné, et qui depuis la nuit des temps fascine les partenaires des hommes , les femmes notamment, mais aussi les partenaires homos !
« Je vais m'arrêter, salope. Je vais te tester à la pipe pour voir ce que tu vaut et te donner la punition que je t'ai promis ! »
« De plus, je vois que tu bandes sans que je t'y ai autorisé, tu auras donc une seconde punition car tu aurais dû venir en chasteté ! »
Pour ceux qui ne la sauraient pas, la chasteté cela signifie que le soumis doit avoir son sexe emprisonné dans une cage, en inox ou plastique ce qui empêche toute érection, mais pas toute excitation. Evidemment seul le Maître possède la clef du cadenas qui autorise la libération du sexe de son soumis.
« Tu en as une dans ton baise en ville ? »« Oui Maître »« Alors tu la mettras dès que l'on se sera arrêtés ! »
Nous arrivons dans une forêt, il stoppe sur une aire de parking où il y a des panneaux « Eaux et forêts », l'on ne peut accéder plus loin à cause des barrières obstruant les chemins carrossables.
Prudent, il se gare en marche arrière pour pouvoir repartir facilement en cas de nécessité, visiblement il connaît bien l'endroit !
« Tu sors, et tu te mets à genoux derrière les portes de la camionnette » et il me met alors la main au sexe. «Tu bandes saloperie, je ne t'ai toujours pas autorisé à bander ! Je vais t'apprendre la soumission, espèce de morue ! »
« Maintenant, tu te la mets encage, pétasse! »
Je bandes encore plus fort en entendant ses insultes, j'aime les mots crus et être ravalée au rang de lopette !
Je m'agenouille et pose la cage pendant qu'il ouvre les portes, et prépare la voiture. « Baisse la tête, baisse les yeux, mains dans le dos , connasse !»
J'ai quand même le temps d'apercevoir l'intérieur du véhicule. C'est un mini donjon, sommairement équipé, au fond contre la cloison de la cabine, dans la largeur, il y a un coffre qui sert de banquette. Au milieu un banc, genre cheval d'arçon mais ouvert en V, la pointe vers l'avant et de chaque coté, parterre, des sortes de gouttières, je suppose pour y mettre les jambes.
Sur les parois, divers crochets, lanières de cuir, chaînes, mousquetons etc.. .
Il s'agit d'un H1, c'est-à dire la hauteur la plus petite pour une camionnette et les grandes tailles doivent baisser la tête à l'intérieur , c'est mon cas ! »
« Montes et mets toi sur l'arçon, sur le ventre, et cul vers l'extérieur. »
Il ferme les portes derrière moi et va s'asseoir sur le coffre-banquette, dont la cloison fait office de dossier. J'ai la tête juste devant sa braguette, pas besoin d'être devin pour imaginer la suite !
Il sort sa queue, toujours en érection, j'en ai tellement envie qu'instinctivement j'ouvre la bouche ! Il me la mets direct dans le fond de la gorge, tout au fond, tellement au fond qu'il touche la glotte et que j'en ai un haut-le-cœur !Il s'en fiche : « Allez fais ton boulot de lope, suce moi ça pétasse! »
Je me reprends et le suce avec tout mon savoir faire, acquis au fil des années dans les glory-hole de saunas ou sex-shops. Généralement, avaler une dizaine de bites ne me fait pas peur !
Mon record étant de 24, sous la férule d'un Maître qui, désirant me voir à l'abattage, recrutait tout l'après-midi des candidats dans le sauna pour me faire exploser mon chiffre !
Au bout de quelques minutes, il sort son téléphone, et dit à son correspondant que c'était ok !
Je me demande intérieurement ce qui pouvait être ok, il me dit c'est le premier d'une longue série tu vas nous servir de vide-couilles et c'est ici la première étape de la nuit !
Effectivement pendant que l'on frappe aux portes arrières il téléphone à un nouveau partenaire !
« Entre ! On fait comme dab ! »
Je ne voyais même pas qui était rentré et je senti rapidement une verge aller et venir dans ma raie culière.
« Mets lui du gel, avant de l'enculer, et préserve-toi !"
Une fois ma chatte anale préparée, le mec s'introduit en moi direct, sans autre précaution, et maintient sa queue tout au fond de mon rectum !
Je hurle de douleur et reçoit immédiatement une paire de baffes !
« T'es faite pour prendre connasse ! T'inquiètes ça va aller beaucoup mieux avec les prochains une fois que ta chatte sera dilatée et le passage bien ouvert ! ».
La douleur fini par se calmer, et les va-et-vient me font jouir de plus en plus, mais dans la cage de chasteté mon sexe bloqué ne pout s'épanouir, et me fait de plus en plus mal, mais un mal de maso, excitant, très excitant !
Il téléphone trois fois de plus, me fait sucer et baiser à nouveau, mais le dernier coup de fil c'est pour annoncer notre arrivée, je suppose donc que l'on va bouger.
Effectivement, après que le dernier visiteur eût exprimé sa satisfaction « Elle est bonne celle-là, rappelle moi si tu recommences une tournée avec cette salope ! »
le Maître descend de voiture non sans m'avoir passé des bracelets de cuir aux poignets, aux chevilles, et attaché aux crochets dans le sol de la voiture.
Pendant qu'il roule, je réfléchis à ce qu'il vient d'être dit « Une tournée !
»Soudain , j'ai la révélation !
Il fait une tournée campagnarde ! Comme le boul ...
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Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur