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MAMAN ET MOI

Publié par : gecat le 04/08/2019

Je me présente, je m’appelle Nino, j’ai 23 ans 1m85 pour 80 kilos tout en muscle, je pratique la natation, course à pied, vélo culture physique, je suis en master de gestion et droit, j’habite dans le sud de la France, encore chez mes parents.
Mon père se prénomme Paul, 48 ans, PDG d’une importante entreprise de BTP avec des contrats et chantiers dans toute la France et le monde (Pays du Golf) il est souvent absent de la maison.
Ma mère se prénomme Léa, 45 ans, 1m75 pour 60 kilos, très bien proportionnée avec des formes là où il le faut, une poitrine de 90 D volumineuse, ferme, elle est sportive, piscine, gym et vu la situation pro de mon père, ne travaille plus depuis 5 ans.
Nous habitons sur les hauteurs d’une ville du Var dans une superbe villa construite par mon père vu son métier et donc il y a tout ce qu’il faut, piscine, jacuzzi, terrasse, sauna, etc.
Nous sommes fin juin, il fait déjà très chaud dans le Var, je suis déjà en vacances et donc à la maison avec ma mère, mon père étant en voyage.
Je me lève vers 10 h, ma mère prend son petit-déj sur la terrasse ombragée devant la piscine, elle porte sa nuisette transparente de la nuit et une culotte en dentelle, cela ne la dérange pas et moi non plus de la voir ainsi, c’est souvent que l’été, elle bronze sans soutif sur la terrasse.
Je m’assieds face à ma mère, prends un bol de café au lait, ma mère me tend une corbeille avec des croissants et pain au chocolat, je me sers et déguste., je ne peux pas m’empêcher de regarder les seins de ma mère au travers du tissu de sa nuisette blanche et transparente, ils sont divins, j’ai 23 ans et les femmes bien faites ne me laissent pas insensible même si celle-ci est ma mère, surtout qu’elle ne m’a jamais laissé insensible sexuellement, j’ai toujours été attiré par son corps, mais jamais je n’ai osé ou parlé de quoi que ce soit avec elle.

Nous discutons de ce que nous allons faire chacun de notre journée, le petit-déjeuner terminé, ma mère de dit qu’elle allait prendre sa douche, je lui dis que moi aussi.
Je me dirige vers ma chambre, enfile un short sans sous-vêtement et voilà. Je sors de ma chambre et file vers l’escalier pour descendre au RC, en passant devant la chambre de ma mère, j’aperçois la porte de celle-ci entre ouverte et entend le bruit de l’eau de la douche, je ne peux m’empêcher de jeter un œil dans la chambre en passant la tête par l’entrebâillement et comme le bruit de l’eau continue, je pénètre dans la chambre, elle est dans la pénombre, la chambre de mes parents possède une terrasse, sans bruit, je me dirige vers celle-ci, entre-ouvre le volet sort sur la terrasse et repousse le volet, me cachant juste derrière celui-ci, j’ai vu sur la douche et sur l’ensemble de la chambre.
L’écoulement de l’eau s’arrête, j’aperçois au travers de la paroi floutée ma mère saisissant une serviette de bain pour s’essuyer, elle sort de la douche, elle est magnifique, mes yeux se posent sur son entrejambe et la surprise, elle est totalement épilée, lisse sans aucun poil, je ne pensais pas que ma mère s’épilait, je suis surpris et agréablement surpris, je mate sa lourde poitrine ferme avec les tétons qui se dressent, on dirait qu’elle bande, elle se parfume devant sa glace, elle enfile un bas de bain en triangle devant, derrière tenu par des lacets de chaque côté et un tee-shirt qui lui arrive juste au-dessous des fesses, sans soutif, il fait déjà très chaud, elle se peigne ses longs cheveux bruns et sort de la chambre, je sors de ma cachette, file dans le couloir et descends au RC où ma mère est couchée sur un transat avec un journal à la main.
Je me couche sur le transat à côté d’elle pour une petite bronzette., ma mère s’assoit sur le transat et me demande si cela ne me choque pas si elle enlève son tee-shirt, je lui réponds que non, que je l’ai déjà vue les siens à l’air, elle le retire et se rallonge. Moi, je suis torse nu en short, elle ne porte plus que son bas de maillot de bain, cela devient chaud. Mon short de boursoufle, je bande comme un malade, je pense à son corps, je le regarde, le désire.
L’heure du déjeuner arrive.
Je dresse la table à l’ombre de la terrasse, l’un en face de l’autre, nous nous installons et déjeunons en parlant de tout et de rien, ma mère est restée les seins nus pour déjeuner et je ne peux pas m’empêcher de poser mes yeux dessus, dans mon short, ma queue est dure et me fait mal.
Ma mère me regarde et me dit « Un souci ?», je crois qu’elle a remarqué que je matais ses seins depuis le début du repas. « Non » lui répondis-je, « Pourquoi ?» « Tu crois quand même pas que je n’ai rien vu, que tu dévores mes seins des yeux » me dit-elle « ils sont tellement magnifiques, papa a de la chance » lui répondis-je, « tu veux que je me couvre « dit-elle « non pas du tout » lui répondis-je. Léa : Tu vas quand même pas me dire que je te fais de l’effet mon fils ? Nino : heu franchement si maman. Léa : J’ai 45 ans, les filles de ton âge sont bien plus sexy que moi, tu n’as pas de copine en ce moment ? Nino : non pas en ce moment maman.
Léa : Tu as déjà fait l’amour avec une ou des filles ? Nino : Oui bien sûr. Léa : Et alors tu as pris du plaisir tu as aimé ? Nino : ho que oui !
Léa se lève et débarrasse les couverts, qu’elle met dans le lave-vaisselle. Elle nettoie la table, me demande ce que je vais faire cet après-midi, je lui réponds qu’il fait trop chaud pour sortir, que je vais rester là à l’ombre et me reposer, Léa me dit idem pour cette journée pour elle.
Nous reprîmes nos places sur les transats, allongés à l’ombre, un bouquin chacun dans les mains avec les écouteurs dans les oreilles pour moi Nino.
Je bandais toujours et cela se voyait sous mon short, il était environ 14h30.
Léa me fit signe d’enlever mes écouteurs, Léa : si je comprends bien, tu fantasmes sur moi depuis un petit moment ? Nino : Oui depuis mes 16-17 ans, Léa : Mais tu me voyais souvent dénudée sans soutif avec des bas de maillot de bain très petit non ? Et tu fantasmais quand même ? Nino : Oui parce que je ne t’ai jamais vue nue, tu ne t’es jamais baladée nue dans la maison ni bronzée nue. Léa : Et tu aimerais que je le fasse ? Nino : Franchement oui j’aimerai bien. Léa se leva de son transat, se mit face à moi les jambes mises écartées, elle prit les liens de chaque côté de sa culotte de maillot de bain et tira en même temps dessus et les lâcha, le bas du maillot de bain tomba à terre, dévoilant sa chatte lisse et totalement épilée, et voilà dit Léa. Elle était totalement nue devant moi son fils Nino.
Léa : Vu la forme de ton short, je vois que cela ne te laisse pas indifférent. Léa enjamba le transat une jambe de chaque côté et remonta au niveau du visage de Nino. Léa courba légèrement les jambes pour que sa fente vienne toucher la bouche de Nino. Léa : Lèche-moi, lèche-moi la fente, le clito vas-y mon fils. Je commençais par lui lécher avec ma langue les petites lèvres, ensuite j’enfonçais ma langue dans sa fente, avec mes mains j’écartais sa fente pour mieux la lécher, je trouvais son clito, je le suçais, le titillais de ma langue avec mes doigts je le fis jaillir pour le lécher de ma langue, j’enfonçais ma langue dans son intimité, elle commençait à gémir, Léa : Ho oui encore, ça vient.
Je continuais à la lécher avec de plus en plus d’ardeur, je sentis Léa se contracter sur ses jambes, se raidir et lâcha un hurlement de plaisir en disant : oh oui que c’est bon je jouis, mon fils me fait jouir, Léa mouillée comme jamais, elle se retira et se coucha sur son transat, complètement vidée.
Léa : Mon salaud, quel amant fais-tu. Léa s’assit sur le bord du transat de mon côté, elle vit la bosse de short et qu’il était aussi mouillé, Léa passa sa main sur mon short, elle saisit le lien qui le serrait à ma taille, le tira, puis passa sa main à l’intérieur de mon short, elle fut surprise par mon sexe, je ne suis pas super bien monté, mais bon je me défends (20 centimètres de long X 5 de diamètre environ), elle se leva et prit mon short à 2 mains et le descendit puis me l’enleva totalement, j’étais couché nu face à ma mère. Elle me fit descendre les jambes pendantes de chaque côté du transat.
Mon sexe était dressé comme un mat gonflé, dur.
Léa le prit dans sa main droite et commença des va-et-vient lents de haut en bas jusqu’à mes couilles, elle savait y faire, elle pencha sa tête entre mes cuisses et me lécha les couilles tout en me branlant, elle accéléra de plus en plus ses mouvements d’un poignet ferme et de l’autre main, elle me caressait le bout du gland bien humide, je sentais le plaisir de la jouissance monter, je gémissais Nino : Oui, oh oui encore hum et quand Léa sentait que j’allais jouir, elle ralentissa ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Pénétration vaginale, Jeunes, Mûrs