Histoire vraie.
En 2017, j’ai rencontré Bernard sur un site libertin. Il avait bien une quinzaine d’années de plus que moi et m’avait contacté pour un trio avec une de ses nombreuses maîtresses. On s’était rencontré pour se connaître. C’était un libertin depuis toujours bien que marié, adepte de clubs échangistes, chercheur physicien de renom (je l’avais googelisé..). Nous avions de suite sympathisé car malgré la différence d’âge et hormis le sexe, nous avions plusieurs passions communes.
Autour d’un verre, il me dit qu’il avait trois maîtresses régulières ; une pharmacienne qu’il amenait régulièrement en club, la femme d’un général qui s’ennuyait et Thérèse. Elles avaient toutes dépassé la soixantaine voire plus, mais elles aimaient le sexe. Pour la clubarde, je lui avouais que je ne connaissais pas ce milieu et que, spontanément et sans réfléchir, cela ne m’attirait pas. Mais banco pour les deux autres.
Quelques temps plus tard, l’été arrivait et il m’invita à boire un verre avec Thérèse dans un pub couru près des plages. Il me donna en fin de journée, pour qu’elle me rencontre et qu’elle voie si je lui plaisais.
J’étais un peu en avance et je me mis dehors pour profiter du soleil et de ma bière fraîche. Je les vis arriver au loin, et je trouvais qu’il formait un couple étonnant. Lui en costume, pas très grand, chauve et rondouillard, elle en jupe blanche fendue sur le devant et un top bariolé, grande et élancée, cheveux frisés auburn. En arrivant, on se fit la bise. Elle sentait divinement bon, elle était légèrement maquillée et avait une voix extraordinaire. Un peu mondaine mais rieuse.
Bernard partit prendre un verre pour eux et nous fîmes connaissance avec Thérèse. Elle me dévisageait, et j’avoue que j’appréciais d’avoir des lunettes fumées pour qu’elle ne me vit pas loucher vers ses seins libres de toute entrave sous son top. Ils n’avaient pas l’air très gros, mais joliment dessinés. Elle était veuve, sans entrave ; elle habitait en région parisienne mais venait régulièrement dans ma ville où elle avait hérité d’un appartement. Elle me dit tout de go qu’elle ne comprenait pour quelle raison Bernard voulait faire un trio avec moi ; libertiner n’était pas trop son truc à Thérèse, et que ça la gênait car nous avions une différence d’âge importante.
Il est vrai que je ne savais pas lui donner un âge. Elle était très alerte et encore très belle, mais je pense qu’elle avait plus de 70 ans.
Bernard était revenu et nous parlions de choses et d’autres tout en glissant quelques remarques ambigües. Le jour déclinait et la chaleur était moins intense. Bernard se leva soudainement :
- Je dois y aller. Tu peux raccompagner Thérèse ?
- Oui sans souci.
- A bientôt.
Et il partit, nous plantant là. Thérèse me dit :
- Des fois, je ne comprends pas ce qu’il veut, ni ce qu’il fait.
- Tu veux rentrer ?
- Je prendrais bien un autre verre.
- J’y vais.
Nous discutâmes longuement, sympathisant et nous racontant notre vie.
Mais la soirée avançait et elle voulut rentrer.
- Tu veux connaître mon appartement ?
- Avec plaisir.
Et nous partîmes pour rejoindre ma voiture. Je conduisais tranquillement quand mon téléphone sonna. L’appelant était une de mes filles, qui me dit qu’une autre de mes filles était aux urgences, victime d’un malaise. Je lui dis que je quittai mes copains et m’y rendais. Je raccrochai et me tournai vers Thérèse penaud.
- Bon, ce sera une autre fois ?
- Avec plaisir.
Je la raccompagnai chez elle et rejoignis ma fille aux urgences. Rien de grave heureusement.
Quelque temps plus tard ce même été, Bernard me rappela. Thérèse nous invitait chez elle pour un apéro ! Il était au courant de notre mésaventure précédente et elle lui avait dit qu’elle souhaitait me revoir.
J’arrivai vers 20h00 avec une bouteille de blanc bien fraîche. Bernard m’ouvrit torse nu, bedonnant et en sueur. Elle habitait un appartement ancien en rez-de-chaussée dans le centre-ville, vieillot. Elle en avait hérité de sa vieille tante et la déco n’avait pas dû changer ! Il faisait très chaud dans l’appartement, me dit-il. Thérèse cria un « J’arrive » et Bernard me dirigea vers la salle à manger à droite ; les rideaux étaient tirés, la grande fenêtre donnait sur la rue et le soleil couchant cuisait la pièce à petit feu. J’entendis un « Coucou » dans mon dos et me tournai. Thérèse me sourit, absolument nue.
- Il fait une chaleur atroce dans l’appart’, je ne supporte plus un vêtement.
- J’adore ton accueil, lui dis-je en l’embrassant sur la joue.
Les rides sur son corps montraient que le poids des ans avaient fait son œuvre mais elle avait dû être une femme remarquable. Elle était mince, ventre plat, petits seins bien dessinés que j’avais entrevus lors de notre apéro précédent couronnés de tétons rose pâle, une toison poivre et sel frisotante taillée, jambes longues et musclées. Elle devait être adepte du bronzage intégral, son corps bronzé ne révélait aucune trace de maillot, je ne vis qu’une trace blanche entre ses fesses quand elle se tourna et partit vers la cuisine.
Bernard se mit à l’aise et tomba son short. Il était nu. Pour ne pas être en reste, je me déshabillai. Il ouvrit ma bouteille de vin et Thérèse arriva avec la mise en bouche et les verres. Bernard nous servit et nous trinquâmes à l’été. En levant son verre, Thérèse jeta un œil sur mon sexe rasé et sembla apprécier. Elle s’assit et croisa les jambes. Bernard partit vers la cuisine chercher un autre plat et en revenant, il se pencha et embrassa Thérèse sur le sein. Elle gloussa et le gronda comme un garnement qu’il était, il faut bien le reconnaître. Par solidarité masculine, je me levai et embrassai son autre sein. Son téton ne bandait pas mais était dur comme la pierre. Elle gloussa à nouveau et me traita de fripon. Fripon ! Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas entendu ce mot !
Nous passâmes une demi-heure à discuter, nus dans un salon surchauffé à picoler un excellent blanc. Thérèse, sans doute sous l’effet de l’alcool et de la chaleur, commençait à s’animer et à parler plus fort, riant de nos bêtises et plaisanteries et en matant de plus en plus ouvertement mon sexe et celui de Bernard. Il semblait que l’alcool aidant, elle avait oublié ses réticences sur mon « jeune » âge et son aversion des trios.
J’avais une vue directe sur son sexe que je trouvais délicieux à regarder. Je me demandais in petto s’il avait bon goût. Elle se leva et partit vers la cuisine, Je la suivis et me glissai derrière elle dans la cuisine exigüe, laissant mon sexe frotter sur ses fesses. Elle ne dit rien et je m’enhardis ; posant ma main gauche sur ses fesses et la droite sur son sein, je me penchai et l’embrassai goulûment. Sa langue chercha la mienne, tendue et farfouilleuse. Libérant ses mains, elle posa le plat pour me caresser le sexe qui se mit au garde-à-vous instantanément. Bernard arriva et se colla sur ses fesses. Elle était prise en sandwich par deux hommes en rut, elle feulait d’une respiration de plus en plus courte.
- La chambre est juste là, dit-elle.
Bernard connaissant les lieux, nous précéda et notre entrâmes dans la chambre plongée dans la pénombre. Elle s’allongea sur le dos et Bernard entreprit de la doigter. Je fis le tour du lit et m’agenouillai à la hauteur de la tête de Thérèse, me penchant pour lui lécher la chatte. Elle me masturbait pendant que je la léchais, les yeux clos et perdue dans son plaisir.
Son sexe avait bon goût et je pris du plaisir à lui administrer une minette royale. Bernard appr ...
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