Dans l’échancrure de la porte de la chambre, se tenait une créature de rêve, dont j’avais le plus grand mal à imaginer que sous sa féminité exquise et raffinée, pouvait se cacher monsieur l’abbé Musseur !
Le visage admirablement maquillé (ses yeux ourlés de mascara, aux paupières lourdement surlignées de khôl noir, ses lèvres brillantes d’un rouge carmin profond, ses pommettes légèrement ourlées d’un brush rosé) la femme qui se tenait devant moi était entièrement travestie en religieuse, une coiffe de voile noire encadrait son visage maquillé, et elle portait une longue tenue de soie noire qu'elle souleva pour me faire découvrir les jarretelles qui retenaient deux longs bas de nylon noir fichés dans des escarpins lacés à la cheville et terminées par des talons aiguille de près de quinze centimètres de hauteur… Ainsi juchée sur ces escarpins effilés, « elle » paraissait d’une taille extravagante. Elle portait de longs gants noirs qui lui remontaient au-dessus des coudes, et je découvris entre les replis de son voile soyeux un collier de cuir noir, clouté de rivets d’acier chromés, et portant un large anneau en son milieu qui lui enserrait son cou voilé. J’étais subjuguée par cette apparition. La bouche ouverte, fascinée par la sensation de sensualité et de puissance qui se dégageait de son allure, je restais muet face à elle.
« Elle » s’avança lentement vers moi et je me levai face à elle ; elle me dépassait de plus d’une tête, et je devais lever mon visage vers le sien pour suivre son regard sur moi.
« Sylvie, dit soudain la voie grave de l’abbé sortant de la bouche maquillée de cette créature, c'est ton nouveau prénom que tu porteras pour moi, et je vais t’initier au plaisir, mais d’abord tu vas t’agenouiller devant moi et tu vas jurer de ne rien révéler de ce qui restera notre secret. Tu es prête ? » Je murmurai un « oui » impressionné et m’agenouillai devant elle. Elle releva alors de ses deux mains sa soyeuse soutane de voile noir et mes yeux étaient exactement au niveau du slip de dentelle noire qui terminait son corset ; à travers le tulle transparent je découvrais ce sexe que j’avais déjà pris entre mes lèvres la semaine passée, et un nouveau frisson me traversa le corps ; Elle me fit alors jurer le secret absolu sur nos rencontres, et rajouta un serment qu’elle me fit répéter à haute voix : « Moi Sylvie, doit obéissance totale et complète à ma Maîtresse Madeleine ici présente. Elle a droit de punition et de rétorsion sur moi en cas de désobéissance à ses ordres ; je lui dois aussi une complète fidélité et une totale soumission à son bon vouloir. J’accepterai tous ses ordres et toutes ses envies sans protester mais en la remerciant de penser à moi. Lorsque nous serons ensemble, je ne devrai l’appeler que « Maîtresse » sauf si elle m’autorise à utiliser son nom à certains moments. Je jure de respecter ce serment. »
Elle me fit relever, me prit dans ses bras, et se penchant vers moi, m’embrassa à pleine bouche d’une façon passionnée qui m’amena à m’abandonner totalement dans ses bras.
Puis elle me prit par la main, et me ramena avec elle dans la grande chambre dont elle ferma la porte à clé derrière nous. Elle s’assit sur le bord du lit, et d’un doigt de son long gant noir, elle dégagea son sexe de sa petite enveloppe de tulle noire. Il se dressa vers le ciel, son gland rose profond se dégageant doucement de la chair de sa hampe.
« Prends-le dans ta bouche et caress ...
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