Ma relation avec Mourad, l'homme qui m'avait dépucelé dans les toilettes d'un petit cinéma de quartier, devinrent plus fréquentes et intimes. Après m'avoir défloré avec attention et amour, il m'avait glissé à l'oreille :"Tu es ma petite femme maintenant", et je me sentais de plus en plus sa petite femme...
Le parcours de Mourad était assez exemplaire de ces Algériens qui avaient choisi la France au moment du conflit algérien. Ce beau Kabyle avait fini le conflit avec le grade de sergent-chef, et il avait pu rejoidre la Métropole avec sa mère et sa soeur. Il travaillait comme responsable de la sécurité d'une petite usine chimique des Hauts de Seine, où il assurait une présence nocturne en échange d'après-midis libres après ses matinées de sommeil.
Nous avions pris l'habitude de nous voir tous les jeudis, d'abord dans ce même cinéma où nous nous étions rencontrés, et puis ensuite dans son petit appartement du XVème arrondissement où il me faisait l'amour une ou deux fois (et parfois trois !) lors de nos après-midis amoureux.
Il adorait caresser les soieries de Maman que je portais sous mes vêtements de garçon, et il m'offrit de nouvelles pièces de lingerie (bas, nuisette, corset) que je laissai chez lui, et que j'enfilai avec plaisir dès mon arrivée chez lui.
Il avait aimé mon prénom de Sylvie que m'avait donné l'abbé Musseur, et il fit de moi, une sissy androgyne en fine lingerie rose. J'ai adoré cela !
Et puis, de fil en aiguille, Mourad me présenta à ses amis, tous charmés par mon apparence ambigüe de jeune sissy troublante et équivoque, parée de mes dessous de soie et satin roses, et déjà excitante pour ces hommes mûrs et virils, recherchant dans mon corps une virginité déjà consommée, mais qui les rendait encore plus avides de me posséder.
Je devins donc "Sissy Sylvie" pour le plaisir de Mourad mon protecteur et amant, et pour ses amis à qui il prit l'habitude de m'offrir de temps en temps.
Mourad posta quelques unes de mes photos en sissy sur un site coquin, et il reçut aussitôt plusieurs demandes de rencontres qu'il me montra et dont il selectionna certaines en me demandant si cela m'excitait de rencontrer ces hommes ? J'hésitai sur certaines demandes, mais acceptai l'une d'elle venant d'un médecin d'âge mur, cheveux blancs et beau visage, avec qui je pris RDV pour un soir. Mourad m'aida à me préparer, puis m'emmena en voiture au domicile de cet homme. Je portais un long manteau de laine, recouvrant mon affriolante tenue de sissy en satin rose. J'étais à la fois craintive et excitée lorsque je sonnai à sa porte. Il m'ouvrit, me sourit, et je fus charmée par son allure distinguée, sa gentillesse et son attention à mon égard. J'ôtai mon manteau de laine et il eut une exclamation de satisfaction lorsqu'il découvrit ma tenue de satin rose. Il me fit entrer dans son salon et une fois assis dans un grand canapé il m'offrit un verre de porto, qui m'étourdit un peu, puis il s'assit à mes côtés, où il commença à caresser le satin de ma robe, puis mes bas roses, avant de me prendre dans ses bras pour m'embrasser au moment où sa main droite atteignait ma jolie culotte de satin rose, dans laquelle mon petit sexe était déjà dressé comme un étendard !
C'est lui qui s'occupa de moi, me caressant, prenant ensuite mon petit sexe entre ses lèvres et me faisant jouir dans sa bouc ...

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