Bonjour,
Je me prénomme Christian, je suis né en 1964 et je célèbre pleinement ma bisexualité, une identité dont j'ai pris conscience en 1999, année de mon affectation en Martinique.
Mon cheminement personnel, loin d'être une simple acceptation passive, est une affirmation joyeuse et vibrante de qui je suis.
Bien que je n'aie pas encore révélé cette part essentielle de moi à ma femme, mon intimité ne saurait être définie par le silence.
Mon expérience de 1980, vécue lors d'un séjour estival en camp d'ados, marque un tournant, un souvenir longtemps refoulé, mais qui aujourd'hui, loin d'être une ombre, éclaire ma trajectoire.
Depuis, je n’avais pas eu d’occasion de vivre une relation intime avec un homme, ayant refoulé ces souvenirs, comme s’ils étaient « mauvais ».
Mon séjour sur l’île aux fleurs marqua un tournant inoubliable, j’avais alors 35 ans.
Une initiation aux plaisirs homosexuels, offerte par un amant tendre et attentionné, marqua le début d’une exploration sensuelle.
J’ai ensuite choisi de faire une pause, de laisser le temps au temps, une parenthèse de réflexion, attendant l’éclosion d’un désir aussi fulgurant qu’une étincelle.
Mais le destin, farceur malicieux, avait d’autres plans pour moi.
Ironie du sort, au moment précis où le désir refit surface, intense et irrésistible, mon compagnon s’éclipsait pour des vacances inopinées.
Un coup dur, certes, mais pas de quoi me décourager !
L’attente, au lieu de me consumer, a attisé ma soif de rencontres. Je me suis alors plongé dans le monde vibrant et excitant de la communauté gay en ligne.
Les échanges virtuels, brûlants et passionnés, ont alimenté cette attente fébrile, transformant chaque message en une promesse de plaisir à venir.
L'opportunité d'une nouvelle aventure s'est présentée sous la forme d'un jeune homme noir, de vingt-cinq ans, rencontré en ligne, une rencontre imprévue qui a ravivé mon désir.
Son profil était irrésistible, et ses messages encore plus.
J'ai décidé de saisir l'instant présent, de briser les barrières de la timidité et de l'attente.
Je me suis rendu chez lui dès la première invitation, j'ai cédé à l'urgence de mes sens, me précipitant dans l'intimité de son corps, dans la chaleur de son lit.
Cette fois, pas de tergiversation, pas de jeu du chat et de la souris, pas question d’attendre !
J’avais soif de sensations, de plaisir, et je ne voulais plus perdre une seule seconde.
L'urgence du désir m'a précipité dans une valse effrénée : douche express, toilette rapide, vêtements enfilés à la hâte – le short, audacieusement dépourvu de sous-vêtements –, et me voilà, en pleine nuit, fonçant vers un rendez-vous incandescent.
Il m'attendait, j'en suis certain.
À peine le moteur coupé, il surgit, silhouette sombre sur le pas de sa porte, m’attirant dans son univers.
Avec son mètre quatre-vingt-dix, il dominait mon mètre soixante-treize comme un géant.
Imaginez la scène !
Sa présence écrasante, une silhouette qui s’impose, une stature qui inspire à la fois la crainte et l’excitation.
Il rayonnait d'une puissance brute, une force physique qui m'a fasciné.
Il me fit rapidement entrer et se déshabilla, m’invitant à faire de même, ce que je fis sans hésiter.
Ses vêtements ont volé, les miens aussi, et nous voilà nus, au milieu de nos habits éparpillés, sa bouche s’empara de la mienne, m’embrassant avec une fougue intense dans un baiser ardent.
À son désir impatient, je compris que la nuit serait longue et torride.
Il libéra enfin mes lèvres, s’éloignant légèrement, me laissant admirer la beauté de son corps : une sculpture d'ébène, musclée, souple, gracieuse, la quintessence de la jeunesse masculine noire.
Puis mon regard, irrésistiblement attiré, a glissé vers son bas-ventre.
Et je découvris ses dimensions… près de vingt-cinq centimètres de longueur, cinq ou six de diamètre.
Son imposante virilité confirma les mythes de la virilité masculine noire.
Là, sous la lumière tamisée, se dessinait la promesse d’un plaisir intense, une invitation silencieuse à la découverte.
La beauté brute de son sexe, sa forme, sa texture, tout vibrait d’une énergie palpable, d’une promesse de sensations exquises.
L’ampleur de ses attributs suscita en moi une vague d’excitation mêlée d’appréhension.
Un véritable monstre !
Un monstre magnifique, un défi palpitant, une promesse de sensations intenses.
J’ai hésité un instant, face à l’ampleur de la tâche, à la puissance brute qui se dressait devant moi.
Pourrai-je vraiment accueillir une telle présence en moi ?
L’idée était à la fois terrifiante et excitante, une promesse de sensations inconnues.
Mais je me suis dit : à l’instant venu, je me laisserai submerger par cette force brute, par cette énergie débordante.
Ce n’est pas tous les jours que l’on se trouve face à une telle opportunité, face à une telle promesse de plaisir.
Ce géant, ce monstre, allait me révéler des choses sur moi-même que je ne soupçonnais même pas.
Je me préparais à une expérience inoubliable, une aventure sensorielle intense qui promettait des sensations inégalées.
Loin de me rebuter, cette perspective audacieuse m’attira irrésistiblement.
Une vague de chaleur a envahi mon ventre, dès que j’ai pris possession de ce membre impressionnant.
La sensation était à la fois intense et incroyablement excitante.
Il me proposa de l’accompagner dans sa chambre attenante pour approfondir la découverte de nos corps. Je le suivis volontiers, sans lâcher son magnifique membre qui m’hypnotise. Nous montons sur son lit où je peux savourer pleinement son sexe.
Je le suçais avec une ferveur insatiable, tandis qu’il explorais mon anus avec une dextérité qui me laissais sans voix.
Son expertise était évidente ; sa maîtrise m’a conduit au sommet du plaisir avec une facilité déconcertante.
L’intensité du moment était palpable.
Je ne pouvais pas mesurer le temps, seule comptait la sensation de sa verge dans ma bouche.
Chaque mouvement de ma langue, experte dans l’art du plaisir, une exploration savoureuse de son gland, du délicat méat au robuste prépuce, était une promesse de plaisir décuplé.
La taille imposante de sa virilité me défiait, mais je m’appliquais à l’engloutir p ...

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