La belle italienne commença par m’embrasser avec fougue. C’était à la fois plus passionné et plus tendre que le baiser qu’Anita m’avait offert la nuit précédente.
-Il faut apprendre à embrasser, mon petit coq français, me dit-elle. Ta langue va trop vite et pas assez profond. Ça doit ressembler à une caresse. Effleure mes fesses en même temps.
Elle avait décidé de me donner un vrai cours et je me promis d’être bon élève. Ma langue se fit plus calme, allant chercher la sienne avec une gourmandise retenue. Elle s’en saisit et l’aspira comme elle aurait savouré un bonbon.
-Fais-moi la même chose, murmura-t-elle.
J’obéis avec joie et petit à petit, je découvris grâce à elle les mille et un plaisirs du baiser profond.
-Maintenant, joue avec mes seins, demanda-t-elle.
Ayant retenu la leçon, je ne me jetai pas sur ses magnifiques tétons comme un vautour mais, bien au contraire, bien qu’avec maladresse, je pris mon temps pour descendre le long de sa gorge, constellant sa peau bronzée de petits bécots bruyants. Elle rit, satisfaite semblait-il. Quand j’arrivai à ses mamelons, je m’efforçai de les lécher avec douceur, traduisant par ma langue tout le plaisir que j’éprouvais à m’occuper d’eux.
-C’est bien, tu es doué, me glissa-t-elle à l’oreille. Continue.
Sa respiration se faisait plus rapide, des gémissements commençaient à échapper de sa gorge offerte. Après quelques minutes de ce divertissement préliminaire, elle reprit la chaîne et m’entraina au fond de la pièce. Là, elle s’installa dans une bergère, les jambes écartées posées sur les accoudoirs et me fit m’agenouiller devant elle.
-Maintenant applique la même leçon à ma chatte qu’à ma bouche.
Je m’efforçai donc à mettre en pratique ses préceptes, variant à l’infini les nuances de mon touché lingual, tantôt titillant du bout de la langue, tantôt léchant de toute sa surface, alternant l’intensité, la rapidité, la profondeur … de mes lèvres, je saisis les siennes, étirait les petites gourmandises de chair brune. J’étais pleinement captivé par mon doux ouvrage quand je sentis une main se poser sur le bas de mes reins. C’était une main large, légèrement rugueuse et sans me retourner, je devinai qu’il s’agissait de celle ...

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