Je venais de dépuceler le cul de mon grand rival avec les filles et je l’ai trouvé très délicat. Jules savait caresser tout le corps, son cul était très accueillant et je m’y trouvais bien. Nous ne nous quittions quasiment plus et progressivement il m’a demandé à le féminiser. Je ne m’étais encore jamais montré à lui complètement transformée, avec maquillage, lingerie et tenue affriolante. Je ne lui avais même pas indiqué ce pan de ma vie. Mais il insistait pour que je lui montre comment je me maquillais, même de moins en moins discrètement au bahut. Il cherchait également des tenues moins viriles avec des couleurs pastel. Il ne rechignait pas sur les roses aux multiples teintes, y compris au niveau des shorts, chaussettes et même chaussures ! Nous nous tenions désormais la main quand nous ne croisions personne. Nos câlins étaient de plus en plus complices : nous devinions ce que l’autre voulait et nous lui offrions.
Cela me rappelle cette première fois avec lui. Après m’être délecté de son sperme et l’avoir gentiment sodomisé, je m’imaginais qu’il se rhabillerait et partirait honteusement. Il n’en fut rien. Nous nous sommes chaleureusement enlacés avec beaucoup de douceur, de précautions l’un pour l’autre. Mon envie qu’il me pénètre ne m’avait quitté que quelques instants et sa vigueur recouvrée, c’est moi qui lui dis de me baiser. Inexpérimenté, il s’imagina qu’il lui suffisait de présenter son gland à ma chatte pour me satisfaire. Je m’étais disposé en levrette et lui tournais le dos. Quand je compris son entreprise, un large sourire distendit ma bouche et je serrai mon anus avec vigueur. Au bout de quelques instants, il me dit qu’il n’y arrivait pas. Alors, je lui ai expliqué comment effectuer au mieux les préliminaires nécessaires. Il n’était pas très doué mais j’étais si excitée à l’idée qu’il me pénètre que je ne lui ai rien dit ce jour-là (le passage de la langue d’un clitoris à un anus n’est pas si naturel pour tout un chacun).
J’ai donc relâché mes sphincters et j’ai poussé des petits jappements d’invitation. Jules n’attendait que ça et comme je l’avais pressenti : l’immiscion de son chibre au travers ma rondelle en direction de mon profond me ravit. J’avais l’impression que sa bite et mon cul avaient été sculptés l’un pour l’autre. Son râle me fit comprendre que la sensation était partagée. S’il n’avait éjaculé quelques instants auparavant, je crois qu’il m’aurait envoyé directement la purée au fond. Là, il me fit comprendre à quel point il était prévenant et délicat. Il utilisa son outil de plaisir avec beaucoup de tact. Il était à la limite de virevolter en moi avec une frénésie tout à fait contrôlée. Il faisait preuve de beaucoup d’imagination (comme avec sa langue quand il m’embrasse) et de r ...

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