Un bel après-midi d’été, ou le temps est resplendissant, comme à mon habitude je ne peux m’empêcher d’avoir des pensées coquines. J’ai une imagination sexuelle débordante et cherche toujours de nouvelles sensations. Très attiré par les femmes, je ne suis pas un adepte de la simple pénétration mais préfère au contraire les préliminaires, les pratiques plus coquines, souvent mes partenaires ont du mal à se lancer, mais une fois mes ébats commencé, elles sont du mal à s’arrêter. J’aime les surprendre quand elles ne s’y attendent le moins et l’effet se fait ressentir. Cunni, face-sitting, ligotage, bandage des yeux, léchage des pieds, gorge profonde, toutes peuvent y trouver le bonheur.
Je décide alors de me connecter sur un tchat de rencontre en espérant pouvoir discuter tout en me masturbant. Les échanges sont nombreux, beaucoup d’hommes sont comme moi et discutent facilement. J’aimerais bien tomber sur une femme qui me réponde, mais comme d’habitude seul les femmes souhaitant se faire un peu d’argent envoient leur numéro sans rien dire d’autre.
Après quelques minutes un mec me contacte, il a un pseudo qui ne cache pas ses intentions : Lopeabaiser. Nous échangeons et discutons de nos fantasmes. Je lui dis que je suis plutôt attiré par les femmes mais que l’idée de dominer un homme au lit me passe souvent par la tête. Pendant notre conversation il me dit aimer être pris comme objet sexuel, comme vide couilles, tout ce qu’il l’importe c’est de satisfaire son partenaire… Moi qui ai des envies de domination, nous sommes sur la même longueur d’onde.
Il me propose de passer chez lui. J’hésite, je n’habite pas loin. Il me dit qu’au pire des cas, on boit un verre et on discute, rien de plus.
J’accepte.
Pendant le trajet, je me refais mon scénario et espère pouvoir lui donner autant de plaisir que je vais en prendre. Je bande déjà et ma queue commence à couler.
Je me gare devant chez lui. Il habite un petit pavillon de banlieue, il me voit arriver et m’ouvre la porte. Il m’a l’air bien sympathique et le courant passe bien. Nous buvons une bière et discutons un peu. Bien sur la discussion arrive rapidement sur le sujet du sexe. Je lui dis que j’y ai pensé pendant tout le trajet et à quel point ça m’a excité.
Il me demande si je veux passer à l’acte, que lui est partant.
Je lui dis que je suis également partant mais que je voulais mener la danse.
Il me propose d’aller dans sa chambre. Je lui demande s’il a une écharpe ou quelque chose pour lui bander les yeux. Il sort un bandeau de son armoire et me répond qu’il aime beaucoup cette idée. Je sens que nous allons passer un bon moment.

Nous nous asseyons tous deux appuyés contre la tête de lit. Je commence à le caresser à travers son pantalon. Je sens qu’il gonfle à chaque effleurement de mes doigts. Son souffle s’accélère et de petits gémissements s’échappent de sa bouche. Je retire son pantalon et son boxer. Je caresse tranquillement son sexe. Il est assez épais et mesure environ la longueur de ma main. Il a pris la peine de se raser avant mon arrivée. Bien que les femmes non rasées ne me dérangent pas, j’aurais surement eu du mal avec un homme poilu. Je le branle tranquillement pendant quelques minutes, je sens qu’il prend du plaisir et cela m’excite également. Je lui dis que je suis venu pour le dominer et que maintenant j’allais commencer à jouer avec lui. Je vois un large sourire se dessiner sur son visage. Je lâche sa queue et prend ses couilles à pleine main. Il sursaute, je suppose qu’il ne s’y attendait pas. Je les malaxe quelques instants et les tapote avec mes doigts. Je sens qu’elles se relâchent et commencent à pendre un peu. Je vois bien sa queue frétiller dans tous les sens, une petite goutte de précum commence à sortir, il aime ça mon cochon.

Je me léve du lit pour me déshabiller.
Je suis maintenant entièrement nu et me met à genoux devant lui, il est toujours assis contre la tête de lit. Je lui mets ma bite en bouche et lui dit que maintenant qu’il est bien excité il va me sucer.
Le bonheur qu’il me procure est instantané, il en est pas à sa première. Sa langue est aussi à l’aise avec mon gland qu’avec mes couilles, il prend ma queue entièrement en bouche. Une vraie salope…
Malgré mes mouvements de bassins qui se font de plus en plus insistants, il encaisse les chocs sans broncher. Il met même ses mains sur mes fesses pour accompagner le mouvement. Après quelques minutes passées à lui baiser la bouche, je sens ses doigts me caresser les fesses et se diriger vers mon petit trou. Je me laisse faire, ma recherche de nouvelles sensations m’a déjà conduite à jouer avec mon cul. Cependant je n’ai jamais réussi à jouir de la prostate.
Je lui demande si mon cul lui plait. Il me répond que oui.
Je retire ma bite de sa bouche et me retourne. Je me cambre légèrement et lui dit qu’avec la dextérité de sa langue, il peut maintenant y gouter. Je confirme rapidement qu’il est très doué avec sa langue, la sentir contre mon anus me donne des frissons. Je me laisse ainsi lécher pendant plusieurs minutes les fesses contre son visage, je ressens maintenant le bonheur que j’ai pu donner à toutes ses femmes pendant que je leur léchais la chatte en face siting. Je reprends un peu mes esprits et vois sa bite toujours aussi frétillante à quelques centimètres de mon visage. Elle était bien humide, et l’idée jusqu’ici folle de sucer un mec me venu. J’ai alors tendu le cou vers elles et l’ai prise en bouche. J’ai eu l’impression que ma bouche était pleine. Je me délectais de chaque goutte qu’il laissait échapper. En bouche, cet aspect laiteux était en réalité plutôt sucré et me permettait de le sucer plus facilement. J’entendais ses râles et me doutais qu’il ne s’attendait pas à se faire sucer aujourd’hui. Il continuait de me faire un anulingus pendant ce temps. Je sentais bien notre excitation monter, mais je voulais encore profiter de ce moment, mon idée de scénario était loin d’être terminée.
Je me retirai pour prendre une capote dans la poche de mon jean. Il m’entendit déchirer l’emballage et commença à se mettre à quatre pattes. Je lui dis de s’allonger sur le dos, que aujourd’hui c’était moi qui dominait, je voulais être au-dessus.

Je lui mis la capot ...

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