En ce temps là j’étais travestie avec un camping car avril 2020

Ce jour là il fait vraiment beau et une petite balade à la Brède me tente.
Je décide donc d’y aller en camping car et avec l’une de mes tenues de petite salope. (carrément genre pute : mini jupe écossaise très mini, chaussures à talon, bas résille noirs, petit haut blanc laissant voir mon soutien gorge, string et bien sur ma perruque blonde )

A mon arrivée, une voiture est garée en bordure du bois et je décide d’aller voir de plus près.
Un homme, à mon arrivée s’éloigne un peu tout en continuant de me mater.
Je le suis donc, mais il ne semble pas décidé.
Après quelques hésitations, je pars faire un tour un peu plus à l’intérieur du bois, mais comme il n’y a personne d’autre, je retente ma chance.
Cette fois après s’être un peu éloigné, il sort sa bite et se caresse lentement en me regardant.
Je m’approche un peu, pas trop, me tourne légèrement et soulève ma mini jupette montrant ainsi largement le haut de mes cuisses gainées de bas résille, puis mes fesses qu’il regarde avec intérêt.
Je vois qu’il hésite, que sa main aimerait bien toucher, mais il n’ose pas avancer plus.
«Tu peux toucher tu sais»
Il se décide enfin
«C’est combien ? … Je n’ai pas d’argent»
«je ne suis pas une pute, juste une salope qui aime la bite alors profites en c'est gratuit! »
Il semble se détendre et avance sa main pour me caresser les fesses.
Docile, et comme j’aime, je me laisse faire un instant, puis je prends sa bite déjà bien dure et le branle doucement.
Il appuie alors légèrement sur ma tête et je ne fais pas prier pour prendre sa bite en bouche et m’agenouillant devant lui commence à le sucer avec douceur.
Très rapidement je sens qu’il se contracte, il va jouir.
Je pense alors qu’il va me remplir la bouche, mais à la dernière minute il se retire et c’est le sol qui profite de son jus.
Bien vite il rentre sa tige dans le pantalon, monte dans sa voiture et disparaît.
C’est seulement à ce moment que je me rends compte qu’un homme nous a observés à peine dissimulé derrière un arbre.
Contrairement à celui qui vient de me quitter qui était probablement un ouvrier du bâtiment celui-ci est en costume chic.
Comme il reste éloigné, je regagne mon camping car, mais il me rattrape rapidement à la porte de celui-ci et gêné me demande si je pouvais lui réaliser un scenario coquin.
Je suis surprise par sa façon de parler et par sa question mais je l’écoute.
Il me demande si j’ai d’autres vêtements moins provocants dans mon camping car et s’il peut m’y rejoindre pour assouvir son fantasme. J’approuve et il m’explique celui-ci.
Bien qu’un peu surpris, j’hésite, mais comme j’aime moi aussi réaliser les fantasmes des mâles, j’accepte et rapidement je m’engouffre dans mon camping car pour me changer : une jupe plissée grise très sage (bien que portefeuilles elle s’ouvre facilement sur le devant), un chemisier gilet, je garde cependant mes bas noirs résille, ainsi que mon soutien gorge et mon string rouge.
L’ensemble est beaucoup plus discret et je ressemble maintenant beaucoup plus à une gentille secrétaire qu’à une salope quoi que l’une n’empêche pas l’autre (je pense alors à ma femme qui était secrétaire de direction très dévouée à son patron !)
Je sors donc comme convenu et fais quelques pas le long de la route.
Rapidement je suis rejointe par cet homme très affable un peu perdu qui me demande la route.
Pour bien lui expliquer je lui propose de lui montrer sur la carte que j’ai dans mon camping car.
Aussi me suit-il dans celui-ci, mais dès que nous sommes entrés son attitude change.
Sa gentillesse, voir sa timidité se transforme rapidement et il commence à me tripoter et me pousse contre le meuble.
Jouant l’offusquée, je tente maladroitement de le repousser et il en profite pour promener ses mains un peu partout sur mon corps s’attardant sur mes fesses bien peu protégées par mon string.
Et il a l’air d’apprécier ce qu’il caresse. Malgré mes protestations bien peu efficaces, il ouvre alors, sans se démonter, mon gilet, le déboutonne, passe ses mains dans mon soutien-gorge, caresse ma petite poitrine, puis me titille le bout des seins et enfin me les mordille.
Je gémis sous la douleur. Un sourire de satisfaction apparaît alors sur son visage maintenant méprisant.
Tandis qu’il me tourne sans ménagement, je sens contre mes cuisses son sexe durcir au travers de son pantalon.
Rapidement il fait glisser mon string le long de mes jambes, dégrafe ma jupe qui rejoint mon string sur mes pieds et après quelques frottements de sa bite contre ma raie, me jette violemment sur le lit.
Il quitte lentement son pantalon tout ...

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