Depuis toujours, j’ai été obsédé par Diego, le mec de ma sœur Elena. À 27 ans, Diego est l’archétype du mâle alpha hétéro : grand, cheveux noirs bouclés, yeux verts perçants, et un corps sculpté par des années de crossfit et de surf. Ses pecs bombés, ses abdos taillés comme du marbre et ses biceps saillants font tourner les têtes. Il est toujours entouré de ses potes, à parler de foot, de soirées et de cul, avec une assurance virile qui me rend fou. Cela fait quatre ans qu’il est avec Elena, et chaque fois que je le vois, mon imagination s’emballe : je fantasme sur sa queue – que j’imagine épaisse, longue, et prête à me défoncer. À 22 ans, je suis Luis, mince mais musclé grâce à la salle, avec un cul rond et ferme qui, je l’espère, pourrait l’attirer.

Cet été, on a décidé de partir en camping à Ibiza, sur une plage sauvage près de Cala Comte : Elena, Diego, mon grand frère Mateo et moi. Après trois jours sous le soleil brûlant, l’ambiance est chaude, entre baignades et soirées au clair de lune. À la piscine du camping, je mate Diego en maillot de bain bleu moulant. Son torse luisant d’eau, ses abdos dessinés et la bosse impressionnante sous son maillot – une queue qui semble faire 20 centimètres au repos, épaisse comme une canette – me font bander dans mon propre short. Ma bite de 17 centimètres, fine mais dure, tire contre le tissu. Diego et Elena annoncent qu’ils rentrent à la tente pour se reposer. Quinze minutes plus tard, épuisé par la chaleur, je décide de les rejoindre.

En approchant de la tente, je marche sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit. Mais à peine je soulève le rabat que j’entends des gémissements rauques :

**Diego :** « Oh putain, continue, ma belle, suce-moi fort ! »

Mon cœur s’arrête. Ma queue durcit instantanément dans mon short. Je me fige, écoutant.

**Elena :** « Bébé, j’ai mes règles, pas moyen de baiser. Contente-toi de ma bouche. »

**Diego :** « Merde, fais chier, j’ai besoin de vider mes couilles ! »

Les gémissements reprennent, plus intenses. Diego grogne, sa voix grave vibrant dans l’air : « Ohhh, je vais gicler ! » J’imagine sa bite de 20 centimètres, veinée et luisante, dans la bouche d’Elena. Sans réfléchir, je glisse ma main dans mon short, empoignant ma queue raide. Je me branle frénétiquement, synchronisé avec ses grognements, et quand il hurle son orgasme, je jouis aussi, trois jets puissants de sperme inondant mon boxer. Je file discrètement vers ma tente, le cœur battant, pour me changer.

Quelques jours plus tard, Elena et Mateo partent faire des courses à Sant Antoni, me laissant seul avec Diego. On joue au beach-volley sur la plage, torse nu sous le soleil écrasant. La sueur perle sur son torse musclé, accentuant chaque courbe de ses pecs et de ses abdos. Je retire mon t-shirt, dévoilant mon corps affûté – pecs définis, abdos naissants et un cul bombé dans mon short de sport. Diego me scanne, un sourire en coin.

**Diego :** « Putain, Luis, t’as pris du muscle, mec ! Les meufs doivent kiffer ce corps. »

Il passe un bras autour de mes épaules, tapant mon biceps. Puis, en riant, il me claque le cul légèrement. « Allez, on va se doucher, ça devient intenable cette chaleur. » Ce geste anodin fait pulser ma bite, et je le suis, l’excitation montant.

Dans la tente principale, je m’allonge sur un matelas gonflable, encore en short, pendant que Diego prend sa douche dans la cabine extérieure. Il revient, vêtu d’un boxer noir moulant qui laisse peu de place à l’imagination : sa queue de 20 centimètres, même au repos, forme une bosse massive, et ses couilles lourdes pendent visiblement. Ses cheveux mouillés gouttent sur son torse, et il s’assoit à côté de moi, son parfum de gel douche emplissant l’air.

**Diego :** « Rien de mieux qu’une douche fraîche, hein ? »

Il me claque à nouveau les fesses, plus fort cette fois. Je ris, jouant le jeu : « T’as un problème avec mon cul, Diego, ou quoi ? »

**Diego :** « Bah, entre mecs, c’est pour rire, beau gosse. Mais avoue, ton cul bombé, il attire l’œil ! » Il me fait un clin d’œil, et mon excitation explose. Dans un élan de courage – ou de folie – je pose ma main sur la bosse de son boxer. Nos regards se verrouillent. Sa queue tressaute sous mes doigts, durcissant légèrement.

**Diego :** « C’est quoi ce délire, Luis ? »

Je ne retire pas ma main, sentant sa bite grossir, atteignant 20 centimètres de long et 5,5 centimètres d’épaisseur, le gland large pressant contre le tissu. « Juste une blague, beau gosse, » dis-je, provocateur. « Et on dirait que t’aimes ça… »

**Diego :** « Retire ta main, mec. »

Mais son ton manque de conviction. Je commence à malaxer doucement sa queue à travers le boxer, sentant les veines saillantes sous mes doigts. Il grogne, attrape ma gorge d’une main ferme et murmure à mon oreille : « T’es en train de jouer avec le feu, petit. » J’adore ce danger. Je serre plus fort, et il m’embrasse soudain, sa langue envahissant ma bouche avec une passion brute. Je lui rends son baiser, grimpant à califourchon sur lui, frottant mon cul contre sa bosse.

Diego arrache mon t-shirt, ses mains explorant mes pecs et mes abdos. Il me soulève comme si je ne pesais rien, me portant jusqu’à ma tente tout en continuant à m’embrasser. Il me jette sur le m ...

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