Malgré mon envie folle de l’engloutir immédiatement, je pris mon temps pour admirer l’objet de mon désir, le caressant, le frottant contre ma joue, le humant… J’étais en train de le rendre fou et je sentais que tout son corps frémissait maintenant. Avec douceur, je pris sa bite dans la bouche. Il poussa aussitôt un gros soupir d’aise. Tenant simplement la tige d’acier à sa base, je m’amusai à repousser le prépuce à l’aide de ma langue jusqu’à ce qu’enfin le gland rose et brûlant soit totalement en contact avec mon palais.
- Tu es une bonne petite pute, me dit-il, une bonne petite pute suceuse !
- Ne me traite pas de pute s’il-te-plait.
- Pourtant c’est ce que tu es manifestement !
Je continuai de le faire bénéficier de mon savoir buccal mais cette obsession à vouloir me dominer commençait à me chauffer les oreilles. Cependant, ma langue enveloppait son gland et le faisait baigner dans un flot de salive.
- Petite salope ! Tu la dégustes bien, hein ? Avoue que tu aimes, et se penchant vers moi, le visage tout près du mien, il ajouta, …petite pute.
Très fier de cette insulte qu’il considérait sans doute comme le summum de l’humiliation, il ne s’attendait pas à ce que le saisisse par le cou et le projette dans le fauteuil. Avant qu’il ait le temps de réagir, je lui plaquai le dos contre le dossier en lui tenant fermement les deux épaules et déclarai :
- On va voir qui de nous deux est la petite pute !
Désormais, les choses pouvaient dégénérer. Avec vigueur j’avançai ma bite vers sa bouche et, contre toute attente, il la prit aussitôt sans opposer la moindre résistance. Il l’engloutissait même avec voracité de sorte que je me pris à lui tenir la tête et à commencer à lui baiser la bouche. Les rôles étaient inversés et mon excitation prenait le pas sur la raison. A ce rythme, j’allais jouir en peu de temps. Pour me laisser le temps de reprendre mes esprits, je le fis se lever, ce qu’il fit sans résister, et lui ordonnai de se déshabiller. Il n’avait pas perdu son air suffisant et me toisait tout en quittant son uniforme. Quand il fut nu, je le fis se tourner, se pencher sur le fauteuil. Prenant appui sur les accoudoirs, il m’offrait ainsi une vue magnifique sur son cul, tout aussi magnifique d’ailleurs. J’y posai la main bien à plat et commençai à caresser les deux collines blanches. Ses fesses étaient fermes et douces. Soudain, sans qu’il s’y attende, je lui collai une bonne claque sur la fesse droite. Il se cambra en gémissant. La trace rouge de mes doigts apparut petit à petit. Je poursuivis mes caresses puis renouvelai la fessée, alternant l’une et l’autre sans régularité pour qu’il soit surpris à chaque fois. Immanquablement, il gémissait, tortillait du cul mais restait offert, victime consentante à ce traitement pervers. J’aurais pu lui dire que c’était lui maintenant la pute mais je n’en fis rien. Quand je jugeai qu’il avait les fesses assez rouges et douloureuses, je me penchai pour y déposer des baisers et passer doucement ma langue pour adoucir son sort. Il m’en sut gré.
Ce traitement l’avait fait débander et désireux de retrouver le magnifique objet dont il était pourvu dans toute sa splendeur, je m’accroupis à nouveau et le fis se tourner vers moi à nouveau. Tout en continuant de caresser à deux mains ses fesses endolories, je pris son petit morceau de chair entre mes lèvres. Je pris un plaisir immense à le sentir gonfler à nouveau. Lui qui tenai ...
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