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Première branle entre hommes

Publié par : oscar29 le 14/03/2022

J’ai toujours été passionné par le travail du bois. Tout jeune, j’adorais tailler des écorces, des branchettes pour en fabriquer de petits objets. Par chance, à quelques centaines de mètres de chez ma mère, il exitait une mesuiserie appartenant à deux frères, Michel et Henri. Nous les connaissions très bien. Aussi, à partir de mes douze ans, j’avais l’habitude de passer mon temps libre chez eux. Ils m’ont ainsi appris à manier les outils et initié au travail sur les machines.
Tout en travaillant, nous discutions bien sûr et, pour moi dont le père avait quitté la maison depuis longtemps et se préoccupait assez peu de notre sort, cette compagnie masculine comblait un manque incontestable.
Quand je fus un jeune homme, vers 15/16 ans, les conversations devinrent naturellement plus libres et osées. Pour parler simplement, on avait pris l’habitude de parler cul entre mecs et comme plus jeunes, ils avaient largement profité de leur pouvoir de séduction auprès de la gent féminine, ils avaient des tas d’anecdotes à me raconter qui contribuèrent à faire mon éduction.
Un jour, l’un des deux, Michel, lança au détour d’une conversation : « Quand c’était la mode des pantalons serrés, Henri avait un sacré avantage. Avec la bite qu’il a, ça lui faisait un de ces paquets qui affolait toutes les nanas ! » et il éclata de rire. Cette petite phrase, sans aucune arrière-pensée je pense, me troubla inexplicablement et resta curieusement gravée dans ma mémoire. Le soir, dans la solitude de ma chambre, je l’entendis à nouveau et imaginer la braguette gonflée d’Henri provoqua chez moi une érection intense. Pour moi qui ne m’étais toujours intéressé qu’aux filles, cette circonstance fut dérangeante mais je ne pus réprimer une envie folle de me masturber pour libérer l’excitation qui me tenaillait.
La fois suivante, alors que j’étais seul avec Henri, je ne pus m’empêcher de regarder plus attentivement l’entre-jambes du menuisier. A part un petit renflement, sa combinaison bleue de travail, assez large, ne laissait pas deviner de surdimension de son organe. Mais quand le moment s’y prêta, je glissais :
- Michel m’a laissé entendre que tu étais particulièrement bien membré ? ...
- Il a dit ça ?
- Oui, juste comme ça. Il parait que tu affolais les nanas.
Henri partit d’un grand rire mais machinalement il passa sa main sur son paquet.
- Sacré Michel ! On est aussi bien monté l’un que l’autre sauf que j’ai plus de tendances exhibitionnistes que lui et j’ai toujours eu plaisir à mettre mon joujou en évidence.
Et sans un mot de plus, il ouvrit le zip de sa tenue et travail et je pus constater que le jean qu’il portait dessous était effectivement bien rempli. De plus, une zone blanchie marquait l’usure des frottements sur le côté droit de la braguette à boutons.
- Voilà, dit-il, ce qui affolais les nanas … et quelques mecs aussi, je dois dire.
Et il referma le zip de sa combinaison bleue.
A partir de ce jour-là, je n’eus plus qu’une idée en tête : réussir à voir cet objet mystérieux qui m’affolait à mon tour. L’occasion se présenta, sans préméditation, un jour à j’arrivai à l’atelier un peu plus tôt que d’habitude. La salle des machines était déserte et avant de me mettre à mon bricolage, je décidai de satisfaire un besoin naturel. Je me dirigeai donc vers les toilettes. La porte était entr’ouverte et je vis qu’Henri occupait déjà les lieux. Et là, de profil je pus enfin admirer son sexe d’où s’échappait un puissant jet d’urine très jaune. Je restais pétrifié, admiratif … Quand le liquide doré eut fini de couler, il secoua son vit et le massa pour en faire couler les dernières gouttes mais le massage se poursuivit bien plus longtemps que nécessaire et le quinqua poussa deux ou trois gémissements étouffés. Sa teub était désormais bien dure et jamais je n’aurais imaginé qu’il tel engin pût exister. Il faut dire que je n’avais jamais vu que le mien à l’époque. Ma teub de seize ans était tendue elle-aussi mais le chat qui entrait dans l’atelier me tira de ma contemplation et je m’éloignai à pas de loup. Quelques instant plus tard, Henri me rejoignit au centre de l’atelier.
- Salut Fiston. Tu vas bien ?
- Salut Henri. Oui, et toi ?
- Ca va. Tant qu’on bande ! Tiens, au fait, ça t’a plu ?
La question m’avait cueilli à froid. Parlait-il bien de ce que je venais de voir ? Je fis l’innocent.
- Euh … quoi ?
- Tu sais bien, bonhomme. Pas de souci et même si tu veux la revoir c’est sans souci, à une condition… que tu me montres aussi la tienne. Donnant-donnant.
Je ne répondis rien, me contentant d’un sourire gêné et je me dirigeai vers mon établi. Mais, j’étais incapable d’effectuer correctement le moindre travail. Je devais reprendre mes mesures plusieurs fois, je n’arrivais pas à fixer mes pièces, un vrai massacre. Je sentais le regard d’Henri, presque tout le temps fixé sur moi, et j’en étais d’autant plus perturbé. A un moment, il s’approcha de moi pour me proposer son aide et tout en bricolant avec moi, il lâcha en souriant :
- A te voir, je ne me serais jamais douté que tu aimerais la bite.
- Mais … non … c’est pas ce que tu crois …
- Ca va, t’inquiète pas, ça reste entre nous. Et si je t’ai fait cette proposition tout-à-l’heure, c’est que ça me plairait bien de voir la tienne, tu sais. T’es devenu plutôt mignon et si tu voulais faire autre chose que scier du bois …
J’étais tétanisé. Il en profita pour venir se placer derrière moi. Il ne s’appuyait pas vraiment et je sentais à peine son torse contre mon dos. En revanche, je sentais parfaitement sa virilité contre mes fesses. Il posa sa main sur ma hanche, la fit descendre puis glisser sur ma braguette. Son geste était doux, sensuel, comme lorsqu’il caressait une planche fraîchement rabotée. Et il ne put que constater que je bandais moi aussi. Je n’avais jamais touché personne, ni femme ni homme, puceau comme à mon premier jour et jamais je n’aurais imaginé que ce serait avec un homme que je ferais mes premiers pas. Mais j’avais une réelle affection pour lui et une confiance qui chassa soudain toute appréhension. Je reculais légèrement le b ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Branle, Ados, Mûrs