Je suis plus attiré par les femmes mais, il y a un énorme mais. Je ne sais pas si je suis attirée par elles pour les tenir dans mes bras ou pour être à leur place et pouvoir m’offrir pour donner du plaisir.
Un jour que j’avais l’envie de connaître cette sensation je suis parti courir en forêt vêtu d’un maillot et d’un short pour seul vêtement. Vous savez, ces shorts légers échancrés et moulant les fesses, le fait d’être nu dessous me moulait le fessier de façon, je pense, fort agréable à regarder et qui pouvait susciter l’envie de toucher, de caresser.
Je ne courrais pas vraiment je marchais et mon allure tenait plus du pas de promenade. J’avais choisi un bois où il était dit qu’il était possible de rencontrer du monde. Peu de temps après mon début de balade un homme petit avec des cheveux grisonnant m’adressa un sourire en me croisant ; sourire auquel je répondis. Je fus surpris de le retrouver à la croisée des chemins sans vraiment savoir si c’était moi qui avais, inconsciemment, rebrousser chemin ou bien lui qui avait accéléré le pas pour me rattraper.
Nous avons engager la conversation, il avait une voix douce, et nous marchions cote à cote comme deux amis qui se connaissaient de longue date. Nous avons parler de tout et de rien puis le sujet se porta sur la fréquentation du lieu réputé pour être un lieu de rencontre. Je jouais l’étonné quand il m’avoua avoir remarqué que je ne portais rien sous mon short. Je crois me souvenir que j’étais gêné et une certaine peur m’envahit. Pourquoi étais-je venu là ? Mes craintes furent de courte durée et quand il me prit la main pour m’entrainer dans les bosquets je savais que le moment était arrivé.
Il me caressa les fesses et m’embrassa dans le cou ce qui provoqua en moi un plaisir inconnu ; mon short glissa et je me retrouvais nu est ce lui ou moi qui l’avait retiré ? Alors je m’enhardi et posa la main sur sa braguette. Je sentais son sexe gonflé d’envie et c’est à partir de ce moment que j’ai perdu pied. J’allais enfin savoir si je pouvais donner du plaisir à un homme comme je le faisais depuis si longtemps avec les femmes.
Je me suis accroupi et après avoir sorti son sexe de son écrin je le pris en bouche. Une sensation de plénitude m’envahit quand j’ai senti ses mains caresser ma tête en guise de contentement. Je le suçais avec application faisant jouer mes lèvres et ma langue au long de son pénis et titillant son gland joliment proportionné. Il m’arrêta et me releva. Sortant un préservatif de sa poche, il me regarda en souriant et me demanda si j’acceptais de me faire sodomiser. Grand moment de doute et un frisson de panique me parcouru mais ne voulais-je point m’offrir ? Seulement j’ ...

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