Je suis arrivé depuis quelques minutes à cette fête privée où je ne connais personne, invité par une charmante inconnue croisée à la terrasse d’un café quelques heures auparavant. L’ambiance est bouillante et je me fais offrir une boisson dont je ne reconnais pas le goût mais qui contient beaucoup d’alcool. Ils sont tous tactiles et que ce soient les mecs ou les nanas, je me fais peloter de partout. Presque tous sont déguisés et je reconnais enfin celle qui m’a invité.
Elle me prend par la main, et me dit : « Loig, je ne me suis pas présentée tout à l’heure. Moi, c’est Camille ». Et elle m’embrasse directement sur la bouche et me roule une gamelle d’enfer. Je suis très sensible à ce genre d’attention et je bande direct. Elle a une main qui me caresse la nuque et de l’autre, elle vient constater son effet au niveau de mon sexe. Elle n’est pas déçue.
Une de ses amies arrive sur ces entrefaites et nous sépare. Camille nous présente : « Loig, je te présente Maryline, notre hôtesse ». Celle-ci se dit enchantée, blablabla et nous indique : « Loig, tu n’es pas déguisé. Camille, emmène-le dans ma chambre et trouve-lui une tenue ». Camille me fait grimper les escaliers en me poussant par les fesses, en appuyant bien. Arrivés dans la chambre de Maryline, elle me demande de me déshabiller. Je m’exécute et elle me demande de retirer aussi les chaussettes et le boxer. Je lui rétorque qu’elle y va un peu vite et elle me répond : « Ne t’inquiète pas, je sais ce que veut Maryline et je ne vais pas te violer tout de suite. Je suis patiente. ».
Elle me roule une nouvelle pelle avec beaucoup de volupté et je bande de nouveau. Il est évident que je perle au niveau de mon gland. Elle le remarque et prélève cette goutte de nectar du bout du doigt avant de la porter à sa bouche. Je la vois se délecter et elle me dit avec un grand sourire coquin : « J’adore ».
Elle fouille dans la commode et me tend une magnifique culotte toute en broderie très transparente en me disant de l’enfiler. Je m’exécute et elle me tend ensuite une mini-jupe d’un vert très printanier suivie d’un chemisier blanc presqu’aussi brodé et transparent que ma culotte. Elle me demande ma pointure et va dans la pièce à côté. Je fais le curieux : il y a des étagères sur toute la hauteur de chacun des murs et elles sont pleines de souliers féminins aux différentes pointures. Elle me choisit des escarpins aux talons assez larges et pas trop hauts, de couleur rose. Elle m’en chausse et me fait reculer pour mieux m’admirer. Elle revient vers moi pour coller de nouveau ses lèvres aux miennes et nos langues se retrouvent pour une nouvelle sérénade érotique. Mes mains se promènent alors de sa nuque au bas de son dos avant de venir caresser ses fesses des plus magnifiquement galbées et si fermes que je ne peux m’empêcher de m’insinuer dans sa raie. Elle me repousse avec délicatesse et m’invite à m’asseoir face à elle, avec entre nous, une petite table sur laquelle de nombreux produits de maquillage sont posés.
Elle me maquille sur tout le visage et une fois son entreprise échue, elle me prend par la main pour me lever et me diriger vers un grand miroir. Elle se place à côté de moi et me dit : « Regarde : tu ressemble autant que moi à une femme. »
Je n’ai pas le temps de dire un mot suite à cette stupéfaction qu’elle m’entraine vers l’escalier et me mélange à la foule non sans m’avoir incité à boire un nouveau verre de cet alcool au goût surprenant. Je ne m’en rends même pas compte mais elle m’abandonne aux mains d’un des convives qui commence à me peloter. Ma tête tourne un peu et il y a cette ambiance… Le gars est très mignon mais j’ai l’impression qu’il me prend vraiment pour une nana. Je tente de lui expliquer que je suis déguisé en travesti par Camille pour la soirée mais il est très entreprenant et il me prend la bouche avec beaucoup de conviction.
Il me galoche si bien et avec une telle fermeté que je sens ma verge qui se tend de nouveau dans ma jolie culotte de dentelle. Ses mains vont et viennent sur tout mon corps et j’adore. Camille arrive et nous sépare gentiment en indiquant au mec : « C’est mon mec : tu me le laisses ». Le regard du gars est hagard, presqu’horrifié. Camille lui prend la main et la plaque sur ma bosse bien dure avant de lui tourner le dos et de me reprendre par la langue. J’adore. Ma verge est si souvent tendue depuis mon arrivée qu’elle en est presque douloureuse et je me demande quand est-ce qu’elle va pouvoir se ramollir.
Camille me refait boire un verre et au bout de quelques minutes, je sens que ça tourne. Je ne maîtrise plus. Tout mon corps est chaud bouillant et je n’ai qu’une envie : le rafraîchir. Je demande à Camille de m’aider à sortir dans le jardin où de nombreux invités s’amusent, tous plus tactiles les uns que les autres. En descendant les escaliers, je sens des mains qui me caressent de partout et Camille trouve enfin un petit coin de pelouse où m’allonger.
Je me rends compte qu’un attroupement se forme autour de nous. Tout tourne dans ma tête et j’essaye de fermer les yeux pour que ça cesse, en vain. Camille se place au-dessus de mo ...

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