Un homme rédigea sur un cahier au format écolier des souvenirs de sa première rencontre puis de son expérience de relation homosexuelle avec un Monsieur d'âge mûr , élégant, sensuellement dominateur qui le combla de contentement et de plénitude sentimentale et sexuelle .
Il nous le confia , emballé dans une chemise en papier cartonnée et simplement fermé par un élastique .
Nous le publions ici sans rien changer ni des mots ni des ponctuations . Ecrit sur un mode personnel, il désignera l'auteur ,qui ne livre pas ses nom et prénom, par le seul " Je" . Nous n'en dirons pas plus .
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II
Je me propose de donner ici à lire , en respectant au mieux les chronologies et les évènements , sans cependant dire les lieux exacts ni les dates précises , ce qui constitua ma découverte fortuite mais heureuse des plaisirs masculins homosexuels initiée par un Monsieur d'âge mûr après que j'eusse atteint un peu plus que mes dix-huit ans . Auparavant, je n'avais aucune inclination avérée pour une faveur quelconque avec aucun de mes camarades masculins ; nous avions le même âge et partagions les mêmes modes de vie sans qu'une étroitesse fût née entre l'un et l'autre , non plus qu'aucune connivence révélant une ambiguité d'attitude ou de rapprochement .
Je viens d'avoir dix-huit ans et m'apprête à gagner la Fac de ma ville capitale située à une dizaine de kilomêtres pour débuter des études universitaires . Le temps est au beau en ce mois de septembre finissant et je m'efforce de tempérer mes inquiétudes de futur étudiant qui signifient une graduation chassant mon temps scolaire de prime jeunesse par des promenades d'après-midi dans des prés voisins de mon lieu de domicile , par un chemin arboré peu et rarement fréquenté .
Par un jour de plein soleil d'été indien, au ciel d'azur de carte postale , je découvre au fond d'un champ un cabanon de bois à demi effondré ,occupé par un banc et ce qui fut un support à treille . La curiosité m'y porte ,comme une nostalgie idéelle d'une campagne abandonnée . Au dehors, rien, nul vent . Des haies lointaines enserrent le pré rectangulaire dont on devine qu'il est bordé au sud par un ruisselet ,ombragé des frondaisons de frênes et de noisetiers . La vue ne porte pas plus loin , comme si j'étais au bout du monde avec comme seule voie celle du retour au chemin d'accès . Je suis là, assis depuis peu de temps , me croyant seul depuis le début du chemin et de ma balade.
Soudain, j'entends des pas .Quelqu'un approche , c'est évident . Quelqu'un dont la stature s'encadre dans l'ouverture de ce cabanon agreste . De ma taille , soit environ 1.70 m, chemise blanche ouverte au col sous veston gris , pantalon sombre, visage dur quoiqu'avenant sous des lunettes de vue , cheveu maigre et blanchi . Ce monsieur donne l'idée de la cinquantaine à peine marquée , costaud sans être bedonnant et me regarde fixement . Son complet , étrange sous cette tiédeur et dans cette fin de sentier , ne peut être que celui d'un promeneur ,urbain égaré ou curieux de cette sente oubliée . Immédiatement, l'idée naît qu'il n'est pas là par simple hasard . Pourtant je ne l'ai ni vu ni entendu derrière moi .
Il me questionne en me tutoiyant : " Tu te promènes ?" et, sans me laisser le temps d'une réponse ajoute " Je t'ai vu marcher dans le chemin et rentrer dans cette cabane. Je viens quelquefois et je t'ai déjà aperçu ici" .
Ce propos m'intrigue , m'inquiète, me désarçonne : ce monsieur n'est pas là par le fait du hasard ni pour les plaisirs de la campagne . Il ne m'accorde aucun temps de réflexion et poursuit son questionnement : " Tu as quel âge ?" . Spontanément, ma première parole sera de décilner mon âge , " 18 ans" . A quoi il répond " C'est bien".
Ce " C'est bien " me paraît énigmatique et dit avec suavité , comme un sourire caché , rassurant . Je le prends en confiance :ce monsieur m'est source d'intérêt , une façon de sympathie attirante . Immédiatement, je me persuade qu'il ne nourrit aucune agressivité dangereuse . Au contraire, son regard me donne à penser qu'il s'intéresse réellement à ma personne , à moi exclusivement . Pas aux oiseaux ni au soleil ni aux berbes . Il est d'évidence là pour moi , intrigant.
Il s'approche , et ostensiblement regarde vers moi . Je devine un mouvement dans sa braguette de pantalon , avec un gonflement perceptible . Aussitôt, à cette vue subreptice , sans que je n'en puisse mais, je sens ma queue bander et se raidir dans mon slip . Il me contemple puis , décidé, aimable et directif, me commande .
" Mets ta main sur ma queue ", " Ouvre ma braguette ".
Sans un mot, subjugué, je lui obéis et obtempère , sans gêne ni crainte ni honte de faire ce qu'il exige . Je pose ma main sur sa braguette, défais les boutons, étire les tissus pour laisser apparaître un slip blanc qui gonfle sous la poussée de sa queue raidie .
" Caresse ma queue " . Je passe et repasse ma main droite sur le slip .
" Baisse mon pantalon et baisse mon slip" .
J'obéis immédiatement , complaisant , assuré de la bonne volonté du monsieur . Ce que je suis en train de vivre, là, dans ce cabanon isolé, sans âme qui vive alentour, dans l'illusion de la sécurité , m'emporte de contentement car je sais que ses ordres vont se poursuivre . Je défais sa ceinture , baisse pantalon, tire le slip vers le bas et tout soudain une queue roide se déploie devant mes yeux , une queue épaisse , dans ses poils blanchis déjà, une queue bientôt droite, fière, ravissante à voir et regarder .
" Branle-moi" . J'agis en m'exécutant . De la main gauche je m'agrippe à sa jambe et je masturbe de la main droite .
" Caresse mes couilles" . Je caresse de ma main gauche tout en continuant les va-et-viens de la droite . Le gland ne se découvre pas et la vue du prépuce me ravi . L'homme le devine : " Continue" . Je continue .
Je continuerai jusqu'à ce qu'il souffle un jet de foutre formidable qu'il détourne vers ma gauche pour éviter mes joues .
Il se rhabille , reboutonne son pantalon, resserre sa ceinture puis me dit " Sois là demain à la même heure" . Il part .
Je suis chaviré de belle émotion. Chaviré et heureux . Ce monsieur fut courtois et avenant à ce point que je découvre le plaisir d'avoir vu une grosse queue, de belles couilles odoriférantes et d'avoir branlé un monsieur attrayant qui ne m'a pas fait peur.
Je repartirai peu après lui, laissant un temps raisonnable pour le laisser disparaître .
Ma fin d'après-midi, ma soirée , ma nuit furent emplies de ces souvenirs visuels et olfactifs avec l'idée et l'envie de recommencer le lendemain . A l'heure dite , je suis assis sur le banc du cabanon ; le monsieur arrive , vêtu à l'identique avec son veston jeté à l'épaule , me commande comme la veille et comme la veille je lui obéis sans crainte . Avec engouement je le masturbe . Puis , sans la moindre réflexion pensée, je me penche sur sa queue : je suis à vouloir la prendre dans ma bouche , spontanément, par envie et par appétit sensuel du toucher des lèvres . Il arrête mon mouvement de sa main, fixe un visage attentionné à un bruit possible derrière nous , se rhabille et me dit d'être là encore le lendemain . Y eut-il réellement un bruit ? Après , je ne vis personne ni animal .
Le lendemain passera sans lui et les jours suivants : il ne viendra pas et je ne le reverrai jamais .
Mon goût s'est constitué , a pris forme et une vision m'est présente : si les gars de mon âge me sont totalement indifférents, j'ai compris avoir une inclination pour les hommes mûrs penchés vers les plaisirs homosexuels et je me propose de regarder dans cette direction des plaisirs ; mais avec silence et discrétion .
C'est ainsi que je reviens quelques jours après m'ayant construit une scène à réaliser pour la vivre de tous mes sens .
Dans ce cabanon, un jour de beau temps sans fraîcheur ni pluie, je me dévêts puis je sors au dehors en slip . J'ai une idée, effrayante, terrible d'angoisse et férocement incontournable à la fois : je veux ôter mon slip et apparaître nu, totalement nu face aux arbres et au ciel . J'ai nourri l'idée de m'exhiber nu durant quelques secondes pour mon propre plaisir de l'exhibition à vocation ouvertement homosexuelle en pensant être le sujet d'observation d'un monsieur d'âge mûr qui viendrait s'intéresser chaleureusement à moi . La crainte est envahissante d'être vu et dénoncé par une autre personne malintentionnée mais , de volonté sûre, je la domine l'espace de quelques secondes : j'enlève mon slip et suis follement heureux d'être et m'exhiber nu avec mon espoir secret . Brûlant de peur, je remets mon slip puis retourne au cabanon me rhabiller . Personne n'était présent, aucun dénonciateur certes mais hélas aucun Monsieur d'âge mûr et de goûts homosexuels pour m'avoir aperçu avec l'idée de m'enlever et emmener chez lui pour ses plaisirs sensuellement homos ...
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