Suite de la Partie 2.
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Je vis mon Homme se dévêtir à son tour jusqu'à voir son slip tomber à ses pieds . Soudain il m'apparut nu, et je découvris, stupéfait et enivré de bonheur, mon Homme arborer une queue magnifique, roide à souhait , dressée fièrement sur des grosses couilles en boule . J'ignorais qu'un homme pût avoir de si grosses couilles sans que cela fût une hérésie médicale . Chaviré de bonheur : je ne m'étais pas trompé , ce monsieur était l'Homme que j'espérais de tous mes voeux comme Maître et Mari .

Il m'appela .
Mon chéri, viens t'asseoir sur mes genoux.
Je m'assis sur ses genoux. Je me sentais pleinement pédé , douce sensation confortée par la totale discrétion du lieu et du Monsieur mon Homme , et ressentis au plus profond de mon être cet évènement comme chose délicieuse . Sur les genoux de mon Homme. Un bel homme , un beau Monsieur homosexuel au corps bien découplé , aux pectoraux affirmés , à peine velu, ni trop costaud ni maigre , d'une peau plutôt claire , pas polu sinon un peu des jambes -- comme moi -- , visage triangulaire plus que rond de type dit " avantageux" , un Monsieur à qui on a envie de dire doucement à son oreille " Chéri, mon amour, je t'aime" . Ou encore " Chéri, encule-moi" . Dans la rue, j'avais été moi . Sur ses genoux, j'étais un autre moi, un vrai pédé heureux de l'être car je n'étais pas seul , là, entouré des bras de mon Homme tant désiré .
Il caressa mes seins, titilla mes tétons en les serrant . La douleur me fit mal mais me fut ravissante en ceci que j'étais -- enfin -- nu devant un Monsieur homosexuel d'âge mûr qui allait être mon Homme . A la vérité, il l'était déjà .

Puis il me caressa le dos de sa main gauche et de la droite tira sur le bord du prépuce de ma queue qui banda d'autant plus fort . Il me prit la tête qu'il approcha de son visage . Il posa ses lèvres sur les miennes ,doucement, puis à pleine bouche m'embrassa . Extase ! C'était la première fois qu'un Monsieur homosexuel m'embrassait . Je passai mon bras autour de son cou , en amoureux et l'embrassai à mon tour . J'avais redouté ce moment des lèvres humides : comment allais-je réagir ? Rejet ou acceptation consentie ? Au vrai, ce fut une splendeur d'émotion : je pouvais, je pus me laisser aller à mes inclinations sans culpabilité ni gêne . Nous étions le couple par moi tant recherché et rêvé, lui nu , queue en érection, me tenant sur ses genoux, moi nu , queue au demi-repos , dans ses bras de mâle mari.

Le temps cependant passait vite, inéluctable . Regardant la montre à mon poignet, je constatai qu'il ne me restait qu'une autre moitié de temps avant d'avoir l'obligation de rentrer selon mes horaires de train nocturne habituels ,de façon à ne pas éveiller quelque soupçon que ce soit .
L'ayant compris autant que deviné, mon Homme me garda nu sur ses genoux , désirant commencer mon éducation .
" Mon chéri, tu as une peau douce , une peau douce de gentille femelle-pédé .Je veux faire de toi mon pédé . Veux-tu être pédé et plus spécifiquement mon pédé personnel ? Réponds et dis-le moi .
-- Oui, Chéri, je veux être pédé et ton pédé . Dans tes bras, Chéri, sur tes genoux, je me sens déjà pédé tout à toi ,pour toi .
Mon chéri, tu dois comprendre que ta bouche, tes tétons, tes fesses, ton cul, la raie de ton cul, ta rondelle seront ma propriété personnelle .
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