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Rencontres lubriques

Publié par : virgile30 le 01/12/2020


Courses alimentaires du samedi dans une grande surface : quel tracas ! J'y vais sans enthousiasme. Adèle ce matin a du se rendre à son bureau pour terminer un travail. Elle ne rentrera qu'à la nuit. J'ai la permission de la journée. Mes emplettes terminées, je passe au rayon lessives et je croise deux dames entre 55 et 60 ans peut-être plus toutes deux bien en chair, l'une - a priori la plus jeune - teinte en blonde et très maquillée, l'autre plus âgée, brune, la bouche soulignée de rouge sombre, le visage ridé mais plaisant. Perchées sur de hauts talons compensés, elles sont en tenue d'été, shorts très courts dégageant des cuisses larges avec un peu de cellulite mais des jambes pas désagréables du tout et surtout de gros seins distendant des tee-shirts moulants sous lesquels ils me semblent libres puisque l'on voit leurs pointes proéminentes sous l'étoffe. Quand je croise le regard de la brune, plus en chair encore que la blonde, elle plonge ses yeux noirs dans les miens de manière très provocante : un regard de femme mûre éprise de sexe après la ménopause. Ses cuisses grasses mais fermes se rejoignent en laissant un triangle vide sous son pubis si étroitement moulé par le short qu'on devine la forme de la fente qui se creuse entre les lèvres de sa chatte. C'est sensuel et ma foi assez salace. Je passe devant elles avec mon caddie, elles s'effacent mais la brune soutient mon regard et me suit des yeux. Tout près de là se tient un homme dans la soixantaine, trapu et un peu rougeaud qui visiblement est avec les deux dames et qui lui aussi me regarde avec insistance. Je me retourne après quelques pas et je vois trois paires d'yeux toujours braquées sur moi. Je feins de revenir sur mes pas comme si j'avais oublié quelque chose et je ne quitte pas la brune des yeux : elle s'efface à nouveau avec un sourire ambigü de ses lèvres minces. Je la salue au passage en lui disant : "vous êtes charmante, quel plaisir de croiser d'aussi jolies femmes". Nous engageons la conversation, j'apprends qu'ils n'habitent pas loin, qu'elle est la femme de l'homme trapu et que la blonde est une amie proche en vacances. Nous payons à la caisse et, de fil en aiguille, en sortant du magasin, ils m'invitent à partager avec eux l'apéritif de midi. La vieille brune se colle contre moi en marchant ce qui ne semble nullement déranger son mari qui, lui, tient la main de la blonde. Les deux femmes marchent en ondulant des hanches et leurs seins se balancent au rythme de leurs pas. Je me dis que ma journée n'est peut-être pas perdue et j'ai une pensée pour Adèle qui pendant ce temps est aux affaires... au moins est-ce ce qu'elle m'a dit !
Je les suis en voiture, c'est à peine à trois kilomètres, jolie maison tranquille et discrète au fond d'une impasse, beau terrain arboré, piscine... Nous entrons, Myriam, c'est le prénom de la brune, me fait asseoir sur le canapé et vient s'asseoir à mes côtés tandis que la blonde, Denise, s'assied en face et que Robert va chercher une bouteille de Martini blanc, quatre verres et quelques amuse-gueules. L'ambiance est sympathique mais un peu tendue car chacun, on le devine, s'attend à quelque chose. Je bois une gorgée en sentant Myriam frotter sa cuisse contre la mienne. En face, Denise et Robert sourient : elle
ouvre ses cuisses sur sa chatte moulée dans le short tandis que lui commence à se masser ostensiblement l'entrejambe.

Encouragé, je pose ma main sur la cuisse de Myriam et la caresse en remontant vers le bord de son short. Elle se trémousse et soudain se penche vers moi et fourre derechef sa langue dans ma bouche. J'ai la confirmation de son appétit immodéré de sexe et de la complicité de son mari. Ce sont des libertins expérimentés sans aucun doute.
Nos langues s'entortillent, sa bouche chaude sent bon. Je suis tout pantelant de désir, je saisis sa moule onctueuse. Elle se dégage et en un tournemain déboutonne son short et le fait glisser à terre. Quel bonheur, son pubis est orné d'une touffe châtain dont les longs poils soyeux dépassent par dessus l'élastique de son mini-string de dentelle rouge et se hérissent sur les grosses lèvres grises de sa vulve entre lesquelles s'enfonce et disparaît la lanière de son string. J'adore, j'avale ma salive, c'est très provocant, très lascif... quelle magnifique salope ! Tout en fourrageant dans ma braguette pour l'ouvrir et sortir mon sexe, je me laisse tomber à genoux devant elle et plonge ma bouche entre ses cuisses ouvertes, dardant ma langue entre ses lèvres pour lécher son clitoris. Un clitoris de rêve, gonflé comme une petite queue dont le gland tumescent se dresse retenu par ses minces liens de chair au dessus de son méat et des petites lèvres roses et rouges, un peu crénelées, qui s'entrouvrent pour offrir l'entrée humide de son con.

Je fouille sa chatte avec appétit, je lèche avec avidité son clito que je sens durcir sous ma langue. Son con est trempé de mouille et de salive, elle coule comme une fontaine., elle gémit de plaisir... Je sors mon visage de son entrejambe pour respirer et je vois derrière elle Robert complètement nu, son gros sexe court et épais tout raide, qui lui ôte son tee-shirt et libère d'un coup deux énormes seins qui pendent lourdement. Elle a de larges aréoles et des mamelons épais érigés. Elle est maintenant nue à l'exception de son string et très désirable dans son état d'excitation. Je replonge mon visage et ma bouche dans sa chatte luisante de cyprine et de salive et je suce son clito en tournant ma langue autour. Elle gémit de plus en plus fort, me prend la tête entre ses mains et la pousse plus encore entre ses cuisses, elle ondule des hanches, arque ses reins, son ventre se tend, je sens sa jouissance monter, elle vient, son gémissement se transforme en cri rauque, en glapissement de plaisir et elle a son premier orgasme. Je sens un jet de mouille m'inonder le visage et la bouche. Elle jouit en femme-fontaine, en éjaculant, et j'avale sa liqueur délicieuse en masturbant mon sexe si gonflé de sang qu'il me fait mal. Elle jouit longuement, elle jouit, elle jouit ! C'est un raz-de-marée qui fait onduler sa croupe et qu'elle semble impuissante à maîtriser.
Robert se masturbe aussi en la regardant : son amie Denise qui s'est mise nue l'embrasse à pleine bouche et exhibe ses gros seins pendants, ses hanches larges, son cul rebondi et son sexe touffu entre ses cuisses grasses.
Myriam s'est écroulée sur le canapé à mes côtés et reprend sa respiration, j'ai le visage trempé de l'écume blanchâtre de sa mouille odorante. Je me colle contre elle, encore à demi-dressé et je tiens dans mes mains ses nichons pesants en les embrassant voluptueusement Après quelques minutes de repos, elle se lève, me prend par la main et m'emmène dans sa chambre. Nous sommes désormais nus, les deux autres nous suivent dans le même état.

Elle me couche sur le dos, me branle doucement pour me faire rebander et vient à califourchon sur moi. Elle est lourde, très lourde, et c'est curieusement bon de la sentir m'écraser du poids de son vaste fessier qui se répand sur mes cuisses. Elle emboîte sur mon membre son con béant et trempé et se met à se secouer sur moi en cadence en poussant des petits cris de jouissance. Son large fessier que j'agrippe à deux mains tremble à l'unisson de la houle de ses reins.
Foin de l'érotisme raffiné que je pratique avec Adèle ou avec mes amants travestis. C'est du sexe primaire, de la baise sauvage, de cette pornographie toute crue qu'ont aimé le divin Marquis avec Justine, Musset avec ses Nuits d'excès, Verlaine, le vieux génie lubrique, avec ses Femmes et ses Hombres, Apol ...

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Mots-clés : En partie vraie, Hétéro, A plusieurs