ROSA LE TRAVESTI 2ème PARTIE

JE COMPTE SUR VOUS POUR NOTER CETTE HISTOIRE SVP PAR AVANCE MERCI
Sur les indications de Rosa, Je reviens à côté de Roland Garros et rattrape le boulevard SUCHET non loin de l’endroit où j’ai ramassé mes deux amazones montées comme des bourrins.
Cette fois je mémorise les noms des rues à mesure que Rosa me guide. Je disais donc Boulevard Suchet, ensuite elle me fait prendre à droite l’avenue Victor Hugo jusqu’à la place Charles de Gaulle pour ensuite me faire enquiller le début de l’avenue de Wagram et bifurquer de suite dans le Boulevard de Courcelles, puis dans le prolongement de ce dernier le Boulevard des Batignolles, puis le Boulevard de Clichy et ensuite elle me fait prendre 2 petites rue pour finir par me faire signe de stopper devant un bâtiment en briques rouges.
Hé non ! Je ne donnerais pas l’adresse, Désolée pour les petits malins qui ont pu me croire assez bête pour ça.
Rosa et Loucia descendent de la voiture, je fais de même, mais l’impression que j’avais en conduisant se confirme, le sperme de mes deux partenaires qui m’ont baisé profondément, coule de mon anus et je sens que je suis trempé, quel merde alors, mais visiblement je ne suis pas le seul dans ce cas, Rosa a le même souci, mais elle ne se démonte pas, elle sort de l’essuie tout de son sac, remonte la jupe de son tailleur, enlève son string, et détache la chainette qui retient sa grosse queue, s’accroupit et s’essuie tout simplement ; Quand elle se redresse elle annonce fièrement.
- C’est rien, c’est jus de couille qui coule. Dit-elle en remisant son string et l’essuie tout usagé dans un sac plastique.
je sais bien que l’heure est tardive mais il faut quand même oser se mettre la pine et le cul a l’air en pleine rue, comme çà.
Rosa se dirige vers la porte de son immeuble, ses couilles pendouillent et son gros zob remu à chaque pas qu’elle fait sur ses talons aiguilles.
Elle se décide quand même de baisser sa jupe, mais un mec qui sortait son chien. Lui crie
- Je vais appeler les flics ! Vous n’avez pas honte de vous promener la bite à l’air, espèce de dévergondé ! Pervers ! Dégueulasse.
Du coup Rosa lui fait un doigt d’honneur et remonte de nouveau sa jupe, prend sa bite en main et lui crie
- Tu veux sucer grosse bite sale con ?
Loucia elle ouvre son imper et lui montre sa grosse queue noire, le mec fini par fermer sa gueule et se barre avec son clebs.
Nous rentrons dans le bâtiment et mes deux amazones montent l’escalier avec la bite à l’air. Arrivé au 2ème étage, Rosa ouvre une porte et me fait rentrer, Loucia nous suit.
Je n’ai pas fait trois pas dans le couloir, qu’une porte s’ouvre et une créature aux cheveux blonds, avec des gros seins et une grosse pine qui ballote passe devant moi.
- C’est copine à nous, c’est Georgia. Me dit Rosa
- Vous êtes trois à vivre ici. Demandé-je
- Non quatre. Me répond elle
Rosa appelle
- Joanna ! Georgia !
La blonde aperçu brièvement revient ainsi qu’une amazone brune à cheveux long, elle aussi est complètement à poils.
- C’est copine Alain, lui très gentil. Toi connaître tout le monde maintenant chéri. Me dit Rosa
- Tu veux un café. Me demande Joanna qui semble mieux maîtriser le français.
- Oui Volontiers. Dis-je
Rosa et Loucia qui s’était éclipsé revienne complètement à poils
- Moi aller prendre une douche. Dit Loucia en s’éclipsant
La scène est surréaliste, je voulais connaître le bois de Boulogne, mais je n’aurais jamais pensé me retrouver cette nuit à prendre le café chez quatre travestis à poils

Pendant ce temps avec Rosa, Georgia et Joanna nous prenons un café dans la cuisine, les deux autres étant rentrées avant nous ont déjà pris leur douche.
Quand Loucia réapparaît à poils bien sûr, avec juste une serviette autour des cheveux, Rosa me fait un clin d’œil et me dit
- Toi venir avec moi prendre la douche chéri !
Inutile de vous dire que je ne me le fait pas dire deux fois. Dans la salle d’eau je m’empresse d’enlever mon pantalon et mon slip.
Je regarde Rosa et lui dit l’air catastrophé.
- Holà là ! Là ! Plein de sperme dans mon slip et mon pantalon.
- Donne chéri. Me dit Rosa en prenant mes affaires pour laver mon slip et le fond de mon pantalon avant de les poser sur le sèche serviettes pour les sécher.
Puis nous allons dans la douche tous les deux, Rosa s’agenouille et me suce la bite avidement tout en me rentrant un doigt dans le cul, puis un deuxième, elle me pompe le dard tout en me branlant le cul, et pour tout vous dire j’adore ! Sentant que je vais éjaculer si elle continue, Je la stoppe net.
Rosa se redresse enfin, Puis après nous être frotté le dos mutuellement et nous être roulé bon nombre de patins, Rosa démonte la pomme de douche et la remplace par un embout qui ressemble fort à une canule anale.
- Tournes chéri. Dit-elle
Je m’exécute et Rosa m’enfonce l’embout dans le cul, elle me fait un super lavement avec la douche, elle fait durer et au bout d’un moment mes intestins se relâchent complètement, et je me vide de tout ce qui les encombrait, Rosa recommence trois ou quatre fois l’opération jusqu’à ce que plus rien ne sorte de mes entrailles hormis de l’eau claire ; Puis je sors de la douche et elle me tend une serviette, ensuite elle s’administre le même traitement, quand elle a fini, elle remplace l’embout par la douchette.
Elle sort de la douche et me roule un gadin , puis me prend par la main et me tire pour me faire visiter l’appartement. Comme je connais déjà la cuisine, et la salle d’eau, elle me fait voir les chambres de ses colocataires, puis un salon avec un magnifique canapé en cuir et deux fauteuils plus un téléviseur, la pièce d’à côté est une salle à manger non meublée, mais qui sert de dressing, dedans se trouve des portants avec plein de tenues féminines, et d’innombrable paires de chaussures et bottes de femme. L’appartement est cossu et décoré avec goût.
Rosa m’entraine dans sa chambre et allume un lampadaire avec un abat-jour rouge qui donne une lumière dans les tons orangés.
Nous nous allongeons sur le lit et nous embrassons a pleine bouche, puis nous entamons un soixante-neuf, Rosa me pompe avidement et je fais de même avec sa grosse queue qui me fait baver comme un escargot, mais après quelques minutes, ayant peur de jouir trop vite je mets fin à ce tête à queue, et nous reprenons notre position initiale, nous nous roulons des galoches comme jamais je ne l’ai fait avec ma fiancé.
- Chéri ! Baises mon cul. Me dit-elle
Je me sens bien dans ses bras, sa peau cuivrée et douce sent bon le gel douche.
- Baises mon cul chéri. Demande à nouveau Rosa
Je me positionne alors entre ses cuisses et relève ses jambes en les tenant par les chevilles, puis Rosa guide ma queue jus ...

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