Après nos premiers ébats sexuels, Paul avait bien léché le banc sur lequel il avait giclé son sperme. C’était propre. Par contre, nous avions sérieusement besoin d’une bonne douche. Nous y allâmes main dans la main en nous regardant tendrement et en nous embrassant plusieurs fois avant d’y parvenir.
Paul me savonnait tandis que je lui prodiguais le même soin. Bien sûr nous insistions sur nos parties sensibles, intimes. Alors que je me tenais dans le dos de Paul, je lui savonnais toute sa partie ventrale, du cou jusqu’aux pieds. Quand je suis remonté, mon chibre a commencé à visiter par lui-même la raie de Paul. Je me frottais sur le dos de Paul pour le savonner avec la mousse dont Paul m’avait couvert le corps et ma bite débutait une nouvelle érection. Désormais nous étions propres ; il ne restait plus qu’à nous rincer.
Paul remit la douche en fonctionnement et s’évertuait à faire partir la mousse de ma peau en s’appliquant avec ses deux mains. Il eut tôt fait de constater que ma vigueur reprenait et il se baissa, mit ses deux mains sur chacune de mes fesses et engloutit une nouvelle fois ma bite avec sa bouche. Il ma taillait une pipe délicieuse et je bandais si fort que j’ai cru que j’allais le soulever avec mon pieu agissant tel un cric ! Il continuait et cette fois, je ne sentais pas la semence vouloir quitter mes couilles pour lui remplir la bouche. Je me délectais de ce plaisir et appréciais grandement le savoir-faire inné de Paul. Cette lope avait décidemment une langue experte, vigoureuse et délicate.
Il continua longuement à s’appliquer et à me faire beaucoup de bien. Puis il me regarda dans les yeux avec un air suppliant et je compris sur le coup ce qu’il voulait. Je l’aidai à se relever et nous nous sommes longuement galochés avec une tendresse certaine et la volonté de faire exploser la bite de l’autre. Pendant ce temps je commençais à exciter la rondelle de ma femelle. J’alternais de nouveau les doigts dans son cul, la profondeur de leur enfoncement et la direction de leur progression dans le tréfonds de ma salope. J’y enfilai tantôt, un, deux et trois doigts. Paul couinait de plus en plus fort et au bout d’un moment, il me supplia de le féconder. Je le fis se pencher et s’appuyer sur le mur de la douche et je l’ai transpercé d’un coup, cette fois encore. J’allais, venait et tournoyais même en lui. Plus ça allait et plus mes mouvements s’accéléraient. Lui, poussait des cris si forts que j’en étais excité davantage.
Pris dans nos ébats, le monde extérieur n’existait plus pour nous : nos deux corps avaient fusionné et nous étions voués à ce que nos couilles se vident dans des giclées de torpeur, pareil à un feu d’artifice grandiose. Et pourtant, nous fûmes sortis de notre communion par une apparition.
En effet, nous étions si concentrés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, que nous n’avons pas vu arriver l’homme de ménage. Il racla sa gorge à plusieurs reprises, jusqu’à ce que nous l’entendions entre deux cris de Paul. Nous nous sommes retournés, Paul et moi, dans un même mouvement (mon dard restant planté dans le cul de ma femelle). L’homme était de belle taille. Il portait une combinaison de travail bleu clair. Il portait une barbe finement taillée et sa bosse trahissait l’émotion que nous lui avions procurer. Cet homme d’une quarantaine d’année, à la peau noir ébène, nous fixait sans dire un mot. Il descendit la fermeture éclair de sa combinaison jusqu’à son entrejambe. Il n’avait rien sous sa combinaison, enfin, en termes de vêtements, car pour le chibre, c’était taille XXL !
Les yeux de Paul, à cette vue, faillirent exploser et son regard passait de l’étonnement, à la peur, à l’attirance. L’homme se débarrassa de sa combinaison et s’avança vers nous. Il présenta son chibre à la bouche de Paul qui l’engloutit avec toute la dextérité dont il savait faire preuve. L’énorm ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur