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Se jeter à l'eau

Publié par : remiting le 20/03/2021

À l'époque, marié et pépère de famille, mon désir de relations sexuelles avec un travesti restait dans le fantasme. Je surfais parfois sur mon ordi de croupes offertes en verges appétissantes, de bas résille en jarretières... avec le sentiment de faire l'école buissonnière conjugale. Un piment de culpabilité. Et puis, j'ai décidé de me jeter à l'eau,de m'abonner à un site spécialisé.
De nombreuses travesties jaillissaient de l'écran. Des plus débridées aux mielleuses sucrées qui savaient aguicher en finesse, en suggestion colorée. Mais une seule retint mon attention, un petite bourgeoise brune (c'est ainsi que je la surnommais) aux fesses rebondies. Parée d'un chemisier fuchsia, de bas noirs et dans les positions les plus excitantes qui soient. Je bandais derrière mon clavier. Ma femme hantait encore la maison, et je fis un effort pour ne pas me masturber. J'envoyai un mail à la belle. Elle répondit le lendemain. Sans doute parce que j'avais été courtois. Du moins, c'est ce qu'elle m'écrivit. J'étais en fait tellement gêné que je me suis présenté simplement, sans calcul. Mais chacun de mes mots criait :
Je veux te sucer, me faire sucer, te baiser, je veux que tu m'encules !
Nous avons correspondu quelques jours. Elle m'apparut comme de plus en plus sympa, intelligente et douce. Elle était mariée, vivait sa bisexualité comme un plus, comme on vit en parlant deux langues. Monsieur dans la journée et pour son épouse, et madame parfois la nuit quand elle se libérait. Son travail lui permettait ces escapades. Elle représentait une maison d'articles de jardinage.
On s'est donné rendez-vous dans un hôtel en plein après-midi.
Après avoir téléphoné, elle m'indiqua sa chambre. Sa voix sentait bon la salope. J'ai frappé à la porte, elle m'attendait derrière, et ouvrit à la seconde. Le ravissement ! Elle était telle que je l'avais vue en photos. Visage rond et avenant. Rondelette, charnue sans être grasse. Escarpins brillants, bas noirs collants, string rose, chemisier fuchsia, légère perruque brune et boucles d'oreilles noires. Un collier aussi. On s'est serré la main. J'ai dit : - Je te trouve belle... J'avais du mal à avaler ma salive. Elle me proposa une douche, que je pris, même si j'avais déjà fait ça à la maison. Elle m'attendit sur la table de la chambre, jambes croisées, mains derrière son dos. Douche prise, ma serviette encore dans les mains, me suis approché, l'ai embrassée sur un téton qui pointait. Ma serviette m'est tombée des mains. Nous nous sommes enlacés. Sa langue picotante comme un bonbon. Elle se pressait contre moi en poussant de petits bruits de gorge. Je lui ai malaxé les seins qu'elle avait petits mais fermes. Puis lui ai touché la verge. Elle bandait comme un chevreuil. Une jolie bite bien sculptée, rasée. Je me suis agenouillé et l'ai engloutie. Elle a tenu ma tête un instant comme pour me modérer. Effectivement, la fringale de départ passée, je me suis appliqué à lui lécher le gland, puis longer le verge, puis gober les couilles. Rasées elles aussi. Une à une d'abord, puis les deux à la fois. Puis revenir sur la verge, puis repartir sur la naissance des cuisses, l'entre-jambes. Elle couinait doucement. Moi, je bandais comme un drapeau. C'était ma première rencontre avec un sexe masculin. J'ai même échappé un peu de liqueur d'avant-garde, la rosée du plaisir. Elle a dû le sentir parce qu'elle a demandé à me sucer. Elle m'a allongé sur le lit. Elle a tout de suite avalé mon liquide pré-séminal comme un apéritif avant festin. Elle pompait goulument, se laissait aller comme une brave salope. Elle m'entendit penser sans doute parce qu'elle s'arrêta pour chuchoter :
Je suis une salope qui aime ta bite...
Je ne répondis rien, je me laissai manger. D'ailleurs, elle s'aventura sous mes couilles, puis vers mon anus. Et là, là ce fut comme un feu d'artifices. Je bandai encore plus et, sentis ma jouissance devenir femelle. Oui, c'est à ça que j'ai pensé. Je me mis à couiner aussi. Elle mouillait de plus en plus mon anus, sa langue lapait, et je me savais comme aspiré, ne souhaitant qu'une seule chose : me faire enculer. Mais la belle se releva, me montra ses seins tendus, et me demanda de les lui lécher. Ce que je fis à la seconde. Elle m'aurait ...

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