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souillure en forêt

Publié par : polisson33310 le 11/07/2022

J’avais fait connaissance du Monsieur sur un site internet. C’était un monsieur d’un âge avancé, idéal pour avoir une ascendance naturelle sur moi. Il m’avait avoué aimer exhibé son soumis ce qui n’étais pas un problème pour moi. Ce jour là, il m’avait donc donné rendez-vous en forêt dans un lieu connu pour être fréquenté par des hommes excité. Il m’avait demandé de venir juste avec un teeshirt et mon petit short en coton sans rien dessous. Je devais simplement emporter avec moi mon petit tablier de soubrette.
Arrivé en forêt, il me fit descendre de voiture et me fit mettre totalement nu. Puis il prit mon petit tablier de soubrette, en satin blanc, bordé d’une petite dentelle. Il le passa autour de ma taille et le noua dans mon dos. Il en profita pour caresser mon petit cul. « Salope, tout à l’heure tu verras, tu sentiras mon gros sexe dans ton trou de salope, mais pour l’instant, j’ai d’autres projets pour toi. Il me guida à l’arrière de ma voiture. C’était une toyota RAV4 et l’ouverture de la porte du coffre était singulière car, au lieu de s’ouvrir vers le haut, elle s’ouvrait sur le côté comme une portière de voiture. Ainsi, il l’ouvra et le plancher du coffre qui ne possédait ni bordure, ni marche, offrait une assise idéale.
« Assieds toi salope. »
Le Monsieur ne manqua pas de remarquer une petite tâches sur mon tablier de soubrette.
« Mais tu mouilles salope ! »
« C’est pas ma faute Monsieur . »
« soulèves ton tablier, et astiques toi salope ! »
« Mais Monsieur, si quelqu’un vient… ? »
« Si quelqu’un vient, et bien il pourra te mater salope, c’est tout ! »
Et ce que je craignais ne tarda pas à arriver. Un premier monsieur s’approcha timidement, mais l’envie de me mater était trop forte et il se planta devant moi en train de m’astiquer. Le Monsieur passait sa main à travers son pantalon pour caresser la grosse bosse difficile à dissimuler. C’est alors que mon maître se tournant vers lui, s’adressa à lui.
« Si vous avez envie de vous branler, surtout il ne faut pas hésiter. En plus, quand vous aurez envie de jouir, ma salope soulevera sa petite queue pour vous présenter ses burnes et vous pourrez les souiller en jutant dessus. »
Le Monsieur remercia, ne se fit pas prier, sortit un énorme sexe de sa braguette qu’il se mit à masturber vigoureusement. Il avait d’énorme couille de taureau, pas des burnes ridicules comme les mienne.
Mais très vite, un second, un troisième puis plusieurs messieurs approchèrent pour jouir du spectacle. Quelques minutes plus tard, ils étaient 3 en train de se branler entre mes cuisses que mon maitre tenait bien ecartées. D’autres messieurs se tenaient un peu en arrière faute de place, mais ne perdaient rien du spectacle.
Mon maître ne manqua pas de me préciser :
« Une chose salope, tu peux t’astiquer, mais je t’interdis de juter. Tu juteras à la fin si j’estime que tu l’as mérité et selon mes directives. »
« Oui monsieur »
Un des messieurs commença à gémir, très rapidement suivi par le second et le troisième. Mon maître me lança alors :
« Salope, écartes bien tes cuisses, soulève bien ta petite queue et présente bien aux messieurs tes petites précieuses à souiller ».
Je m’exécutais et aussitôt je sentis mes petites couilles innondés sous de chauds jets de sperme. Elles étaient dégoullinante de sperme. Il faut dire que les messieurs avaient de vrai grosses couilles de taureaux, certainement très pleine de semence à féconder.
Puis les 3 premiers messieurs se reculèrent pour laisser la place aux autres monsieurs qui s’étaient tenu en retrait jusqu’à présent. Alors qu’il s’apprétaient sans même me demander à se positionner entre mes cuisses, mon maitre leur proposa une alternative.
« Non Messieurs, on ne va pas se limiter aux burnes de ma salope. Que pensez vous de son torse, de ses petites pointes ? »
Bien entendu, il acquiessèrent.
« Allez salope, mets toi sur le dos, en travers du coffre. »
La largeur du coffre ne me permettant pas de m’allonger, je me retrouvais les pates relevées, mon cul tournée vers la fenêtre, mon trou bien en vue.
Les messieurs s’approchèrent et commencère à se branler juste au dessus de mon torse. Le coffre était suffisamment haut pour leur permettre en même temps de frotter leur gros sexe sur mon torse.
« Salope, t’aime ça, n’est-ce pas ? »
« C’est pas ma faute, c’est ma petite queue qui me chatouiller et ça me rend salope »
Quelques minutes plus tard, les messieurs jutèrent sur mon torse et ne manquèrent pas de frotter leur gros sexe contre mes petites pointes.
Après qu’ils eurent jouient, ils manifestèrent le désir de me voir juter. Mais mon maître ne l’entendais pas ainsi.
« Ecoutez Messieurs, ma salope jouira mai ...

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